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Située au cœur de la province de Namur, Eghezée regorge de trésors à découvrir. Promenez-vous le long des nombreux sentiers de randonnée qui traversent la campagne vallonnée, idéale pour une escapade en plein air. Pour les amateurs de patrimoine, ne manquez pas de visiter l'église Saint-Martin, un édifice historique impressionnant.
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Circuit petit patrimoine - Cortil-Wodon
4.4 km

Circuit petit patrimoine - Cortil-Wodon

« Le petit patrimoine populaire, ce sont de petits éléments construits, isolés, ou faisant partie d’un ensemble. Ils donnent un éclairage sur les usages, les coutumes ou les périodes passées. Ce sont par exemple les sépultures d’intérêts historiques locales, dans les cimetières, les potales, les chapelles, les kiosques mais aussi les arbres commémoratifs, les pompes à bras, les anciens panneaux directionnels, les porches de fermes, les monuments aux morts, les céramiques ornementales ou les vitraux. En tant que témoin de leurs racines, ces éléments génèrent de la reliance et de l’attachement pour ceux qui les côtoient. C’est pourquoi ces objets doivent aussi pouvoir être vus au départ de l’espace public. » Mathieu Bertrand, directeur de la Maison de la mémoire et des patrimoines de Beauvechain Voici le résultat de deux années de travail réalisé par un groupe de bénévoles motivés, soutenu par la Commune de Fernelmont, la Fondation Rurale de Wallonie et le GAL Meuse@Campagnes, dans le cadre du Programme Communal de Développement rural. 10 promenades, une par village, au sein de la commune de Fernelmont. Ces balades et les informations qui s'y trouvent ont été portés et apportés par des bénévoles amoureux de patrimoine, mais une information erronée, tronquée ou qui n'est plus d'actualité est toujours possible. Si cela devait être le cas, merci de nous contacter.

3.8 km
31 Rue Saint-Martin 5380 Fernelmont
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Circuit petit patrimoine - Tillier
5.4 km

Circuit petit patrimoine - Tillier

« Le petit patrimoine populaire, ce sont de petits éléments construits, isolés, ou faisant partie d’un ensemble. Ils donnent un éclairage sur les usages, les coutumes ou les périodes passées. Ce sont par exemple les sépultures d’intérêts historiques locales, dans les cimetières, les potales, les chapelles, les kiosques mais aussi les arbres commémoratifs, les pompes à bras, les anciens panneaux directionnels, les porches de fermes, les monuments aux morts, les céramiques ornementales ou les vitraux. En tant que témoin de leurs racines, ces éléments génèrent de la reliance et de l’attachement pour ceux qui les côtoient. C’est pourquoi ces objets doivent aussi pouvoir être vus au départ de l’espace public. » Mathieu Bertrand, directeur de la Maison de la mémoire et des patrimoines de Beauvechain Voici le résultat de deux années de travail réalisé par un groupe de bénévoles motivés, soutenu par la Commune de Fernelmont, la Fondation Rurale de Wallonie et le GAL Meuse@Campagnes, dans le cadre du Programme Communal de Développement rural. 10 promenades, une par village, au sein de la commune de Fernelmont. Ces balades et les informations qui s'y trouvent ont été portés et apportés par des bénévoles amoureux de patrimoine, mais une information erronée, tronquée ou qui n'est plus d'actualité est toujours possible. Si cela devait être le cas, merci de nous contacter.

3.2 km
44 Rue de Leuze 5380 Fernelmont
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Sur les traces du petit train Zaman
6.1 km

Sur les traces du petit train Zaman

Zaman, cet homme unique pour la région ! C’est en 1879 que s’installa la première ligne de chemin de fer privée entre la gare de Noville-Taviers et le village d’Ambresin. C’est le Baron monsieur Joseph Emmanuel Zaman, industriel fortuné installé alors au château de Wasseiges, qui fut à l’origine de l’installation de cette ligne au départ destinée au transport des betteraves. Pour obtenir la concession définitive, l’État belge exigea que, parallèlement au transport des marchandises, le transport des villageois des différents villages traversés soit assuré. Cette obligation créa une dynamique sociale particulière entre les habitants des villages concernés par les 9446 mètres du tracé de la petite ligne. Aujourd’hui, les petites gares sont toujours en place ; il reste quelques clichés et anecdotes du temps passé qui donnent envie de repartir sur les traces de ce petit train qui parcourait les campagnes et ainsi découvrir la fantastique histoire du train Zaman. Monsieur Joseph-Emmanuel Zaman Né le 10 mai 1812, il devint orphelin à l’âge de 14 ans et sera élevé par son oncle, le chevalier François Wyns de Raucourt, qui en fera son légataire universel. Il épousa la Comtesse Cécile du Monseau de Bergendael en 1840 ; de cette union naquirent 4 enfants. Maître des carrières de Quenast, industriel connu et respecté, gestionnaire avisé, il sera fait écuyer en 1858 par Léopold Ier et recevra la distinction honorifique de « chevalier de l’Ordre de Léopold » par Léopold II en 1867. Sénateur de Nivelles de 1857 à 1870, il développera la vingtaine de carrières que sa société rachète au fil des ans, allant jusqu’à employer 1400 ouvriers. En parallèle, il transformera un simple dépôt de matériel roulant en lieu de construction de matériel ferroviaire. Ses locomotives seront primées lors de l’Exposition Universelle de Paris en 1855. Il arrivera à Wasseiges en 1860 et fera l’acquisition du château et de la ferme attenante, mais également de la ferme du Soleil et d’un moulin à vent. Il devient ainsi propriétaire de plus de 500ha de terres et de bâtiments agricoles. Au sommet de sa gloire, Joseph-Emmanuel est surnommé le « Baron Zaman ». Pourquoi une ligne de chemin de fer dans notre région ? Après le développement des carrières et l’acquisition de sociétés ferroviaires, Zaman voit une nouvelle opportunité dans l’exploitation des betteraves sucrières, grâce à ses nouvelles propriétés et ses terres agricoles propices à ce type de culture. Il constitue en mai 1864, avec quelques associés, la société « Zaman & Cie », une association pour la fabrication de sucre. La « sucrerie d’Embresin* » (*orthographié ainsi à l’époque) devient la plus importante et la mieux équipée de la région. Il s’associe également plus tard avec quelques propriétaires de terres à betteraves à la création de la sucrerie de Boneffe. Mais vu la position géographique des sucreries, l’acheminement des matières premières et des productions se fait par attelage pour rejoindre la ligne de chemin de fer Namur-Tirlemont, en gare de Noville-Taviers. Ce qui freine la rentabilité de l’entreprise. Comme rien n’arrête le baron, il décide donc de créer sa propre ligne de chemin de fer entre Noville-Taviers et Ambresin. Il obtient en 1878 la concession de la construction et de l’exploitation d’une ligne de chemin de fer à voie étroite pour une durée de 40 ans. La ligne du petit train Zaman est née. Les travaux seront réalisés en un an, et le petit train Zaman fait sa première sortie le 1er septembre 1879. Le coût de la construction de la ligne lui revient à 298.500 francs, ce qui représenterait aujourd’hui la somme de 1.819.118,7 € ! Le quotidien du petit train Rapidement, ce petit train fait partie du quotidien des habitants. Il n’était donc pas rare d’entendre parler de ses aventures ! Comme cette histoire des arrêts en rase-campagne, entre les stations officielles, qui permettaient aux gens de descendre ou monter. Comme ces contrôleurs qui, assez compréhensifs, laissaient monter les enfants gratuitement. Ou encore ces libertés prises par rapport aux horaires annoncés : lors de la fête du village de Taviers, un train spécial quittait la localité à 20h30. On sifflait le départ à l’heure dite. Un second rappel se faisait à 20h45, pour les retardataires. Mais finalement, il n’était pas loin de minuit lorsque le départ définitif était sifflé ! A la nouvelle année, le personnel et les voyageurs prolongeaient leurs arrêts pour aller prendre un verre tous ensemble ! Devenu véritable attraction, le petit train Zaman devient but d’excursion, les gens venaient de loin pour l’emprunter. On édite même des cartes postales représentant cette attraction ferroviaire ! Une vie éphémère pour la ligne, la faillite pour son créateur La concession et l’exploitation de la ligne restera dans la famille Zaman jusqu’à sa fin, en 1917, date à laquelle les Allemands s’emparent de la ligne, la démantèlent et envoient les rails ainsi que le matériel roulant en Allemagne. Le baron Raoul d’Huart, beau-fils de Joseph-Emmanuel Zaman, sera le dernier gestionnaire de cette ligne qui a permis un développement économique et un rayonnement de toute la région. Zaman, quant à lui, subit de très lourdes pertes lors du krach boursier de 1884. Le baron est ruiné. Obligé de vendre la quasi-totalité de ses biens à près de 72 ans, il se réfugie chez sa fille cadette, Anne, et son gendre, Raoul d’Huart. Il mourra en 1894, à l’âge de 82 ans, et sera inhumé dans la crypte familiale de l’ancien cimetière de Forest. Dès 1923, la ligne sera remise en ordre pour répondre aux nouvelles techniques d’exploitation par la SNCV (Société Nationale des Chemins de fer Vicinaux). Le pont de Branchon, qui avait survécu, sera démonté cette année-là. Les voyageurs pourront de nouveau emprunter cette ligne secondaire dès 1926. Figurant sous le n°535 dans les indicateurs de la SNCV, elle restera des années durant dans l’esprit des villageois, la ligne du petit train Zaman.

23 km
Facile
30 Rue du Presbytère 5310 Éghezée
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La ferme Monceau
2.5 km

La ferme Monceau

Cette belle exploitation agricole était, au début du XVIIe siècle, la propriété de la couronne espagnole. Elle a été vendue à Maximilien de Jamblinne en 1612 par les archiducs Albert et Isabelle, gouverneurs des Pays-Bas espagnols pour le compte du roi Philippe III. La ferme forme un vaste quadrilatère en briques et pierre bleue sur soubassement de moellons, reconstruit aux XVIIIe et XIXe siècles. Aux angles nord-ouest et sud-est, on remarque deux tours carrées de deux niveaux de briques. Au nord, un porche-colombier permet d’accéder au site. Ouvert d’un portail baroque bombé à bossages, il est daté de 1666 dans un cartouche et orné de deux mascarons aux visages très expressifs. Au deuxième niveau, les glissières rappellent qu’un pont-levis existait autrefois et permettait de franchir les douves, aujourd’hui comblées. Au nord, contre le porche, on trouve des étables du premier tiers du XVIIIe siècle percées de portes surbaissées. À l’est, la grange a été bâtie à la même époque. Elle est ouverte par des portes charretières et éclairée par des baies à linteau droit. Entre cette grange et le porche, on trouve une porcherie. Le logis de ferme a été reconstruit en 1882 tandis que les annexes, situées à l’est et au sud, portent la date de 1871. Un peu plus loin, entre deux marronniers, une petite chapelle a été bâtie au XIXe siècle par la famille Debouche. On y admire une niche baroque de remploi, entourée de volutes et qui abritait jadis une statue de saint Pierre du XVIe siècle. Classement comme monument et comme site le 26 juin 1981

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L’église Saint-Martin et le site de Harlue
3 km

L’église Saint-Martin et le site de Harlue

Ancien siège d’une seigneurie hautaine, le site de Harlue possède un château cité en 1514 comme propriété de Louis de Heyenhoven, auquel succède Jean de Heyenhoven, mayeur de Namur mort en 1578. En 1664, il passe par succession à la famille de Liedekerke, qui en reste propriétaire jusqu’en 1837. Il devient ensuite la propriété des barons de Blanckart-Surlet, puis des comtes d’Hemricourt de Grunne, et enfin des marquis du Parc Locmaria, qui y résident toujours. Ce manoir en L, érigé dans la première moitié du XVIIe siècle, est cantonné de deux tours rondes aux angles nord et ouest. Les dépendances, encadrant une grande cour, sont ajoutées à la fin du XVIIIe siècle. L’ensemble, en briques blanchies et pierre bleue, est accessible par une haute tour-porche précédée d’un pont fixe. Le portail classique en plein cintre comprend une clé datée « ANNO 1787 ». Au milieu du XVIIIe siècle, une annexe située contre la façade arrière du château est bâtie. S’élevant sur deux niveaux, elle comprend une porte et une porte-fenêtre de la fin du XIXe siècle surmontées des blasons Blanckart-Hâvel. Le balcon en fer forgé du XVIIIe siècle est sculpté des armoiries de Liedekerke-Surlet et Berlaymont. À côté se dresse l’église dédiée à saint Martin. Cette belle construction de style classique est bâtie en briques et pierre bleue. Elle est entourée d’un petit cimetière. L’édifice est surmonté d’une courte flèche octogonale ardoisée. L’intérieur est rythmé par des pilastres et couvert d’un plafond à retombées courbes ; le chœur abrite un ensemble de trois autels de style Louis XIV. Toujours dans le chœur, l’extraordinaire mausolée en marbre noir de Mazy accueille les dépouilles d’Herman-Frédéric de Gulpen (†1654) et d’Anne de Heyenhoven (†1641). Dans la nef, deux autres dalles funéraires gravées retiennent l’attention : l’une de l’époque gothique (1468) et l’autre datant de la Renaissance, la pierre tombale de Jehan Heyenhoven (†1578) et d’Anne de Warisoulx (†1596). Le presbytère fait également partie de ce site d’importance. Cette habitation basse de style brabançon date de la fin du XVIIIe siècle. Bâtie en briques chaulées et pierre bleue, elle repose sur un soubassement à soupiraux bombés. La porte d’entrée est précédée d’un perron. L’entrée du jardin est marquée par des piliers à vase en pierre. Une drève bordée d’un côté par 23 tilleuls et, de l’autre, par 25 spécimens de la même espèce, mène au domaine. Classement comme monument (église) et comme site (église, presbytère, château, drève et terrains environnants) le 26 mai 1975

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L’église Saint-Germain et son ensemble
4.1 km

L’église Saint-Germain et son ensemble

Bien que fortement restaurée et agrandie entre 1901 et 1903, l’église Saint-Germain est un bel édifice roman érigé en moellons de grès et de calcaire entre la fin du XIe et le début du XIIe siècle. Son plan se compose d’une tour-porche, au sud-ouest, de trois nefs de sept travées et d’une abside précédée d’une travée droite. Vers le chœur, on admire quatre travées encore d’origine comme l’indiquent les coutures présentes à l’étage sur les murs gouttereaux (les murs portant les gouttières). À l’intérieur, des arcades en plein cintre sur piliers carrés sont surmontées d’étroites fenêtres en plein cintre, caractéristiques de l’architecture romane. L’arc triomphal s’ouvre sur un petit chœur dont une abside semi-circulaire allonge depuis 1901-1903 le chevet primitif. Les bas-côtés et une partie orientale du chœur sont pourvus d’un décor de grandes arcades aveugles, refaites en style néoroman au XXe siècle. À l’intérieur, le plafond plat et les peintures murales ont également été refaits à l’occasion de la restauration. Ces grands travaux ont enfin vu la démolition et la reconstruction de la tour. Parmi les œuvres conservées, on notera un Christ en croix du XVIe siècle et des fonts baptismaux offerts en 1604 par l’abbaye du Salzinnes. L’autel majeur, les autels latéraux et la chaire de vérité, néoromans, datent tous de 1902. Le sanctuaire est dédié à saint Germain, évêque d’Auxerre qui serait passé vers 447 dans le village qui porte aujourd’hui son nom. Classement comme monument et comme site le 17 mars 1949

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La ferme Dethy
4.4 km

La ferme Dethy

Le village de Taviers compte quelques belles exploitations agricoles d’intérêt patrimonial, parmi lesquelles cette ferme en quadrilatère de moyenne importance, érigée en briques et pierre bleue chaulées. Cette construction traditionnelle porte le nom de la famille Dethy, dont Louis-Joseph fut notaire à Taviers de 1796 à 1840 et bourgmestre de la localité entre 1803 et 1830. Son fils, Louis-Édouard, fut aussi bourgmestre de Taviers entre 1841 et 1892. En 1916, ses héritiers vendent le domaine à la famille Louesse. On entre dans le domaine au sud par un beau porche-colombier daté de 1806 par un jeu de briques présent en relief dans le pignon oriental et par des ancres situées sur la face sud. En dessous se place un portail dont le cintre est composé de briques sur des piédroits en pierre. Le portail arrière, côté cour, présente pour sa part un linteau droit. Une frise dentelée de briques supporte une toiture à la Mansart couverte d’ardoises. En face, le corps de logis est plus ancien ; il est daté par ancres de 1745. Il s’agit d’une bâtisse à double corps en briques peintes et pierre bleue éclairée par des fenêtres refaites au XIXe siècle. La porte d’origine a quant à elle été conservée. Ici aussi, une frise dentelée se place sous la bâtière, dotée de lucarnes. Sur les côtés est et ouest, on trouve les dépendances des XIXe et XXe siècles (grange, étables, écuries), prolongées en bordure de route par les murs blanchis du verger. Classement comme monument le 13 avril 1987

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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾