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Cette page vous guide à travers les attractions et activités accessibles depuis Pepinster, Liege, Liege, idéales pour enrichir votre séjour. Découvrez les sites locaux, les itinéraires de promenades et les spécialités culturelles de la région. Pour les amoureux de la nature, la région propose des sentiers de randonnée pittoresques, notamment le long de la Vesdre. Ne manquez pas la visite du châtea...Voir plus

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S.A. La Textile de Pepinster
476 m

S.A. La Textile de Pepinster

La Fondation de la Textile de Pepinster remonte à 1813. La famille Ternaux rachète la foulerie Verdin (entreprise où on foule le drap, pour le rendre plus ferme et serré). Elle modernise l’installation et y installe une fabrique de draps. La firme verviétoise Lieutenant-Pletzer rachète l’entreprise en 1828. La foulerie devient alors un moulin à couleurs et installe une filature dix ans plus tard, qui sera ensuite détruite par un incendie, puis reconstruite en 1850. En 1862, l’architecture de la nouvelle usine surprend : on y installe des charpentes métalliques, des toits en shed (toitures en pente, aujourd’hui véritables symboles industriels) et des murs hourdés de briques. Après de multiples améliorations, l’usine est électrifiée en 1902. En 1939, un nouvel incendie détruit la grande majorité de l’usine, qui sera reconstruite l’année suivante. La guerre l’endommage à nouveau de 1940 à 1944. En 1946, la reconstruction aboutit enfin. Un industriel allemand rachète le complexe en 1961, mais la crise du début des années 70 réduit le marché et amène la société à la faillite. L’usine ferme ses portes en 1975. Une société immobilière loue désormais les lieux à différentes petites entreprises. Sources : CLADIC – Bruno Guidolin Sous la coordination de Pierre Paquet, Anne-Françoise Cannella et Warzée-Larmmertyn. "Le patrimoine industriel de Wallonie". Liège : 1994.

2 Rue Louis Biérin 4860 Pepinster
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La verrière de la gare de Pepinster
491 m

La verrière de la gare de Pepinster

  La première gare de Pepinster a été érigée en 1843, au moment de la construction de la ligne de la Vesdre, reliant Liège à Verviers. Œuvre de l’architecte Auguste Payen, elle a été démolie en 1875, devenue trop petite. En 1886-1888, une nouvelle gare de style néo-Renaissance est construite. En mai 1944, elle est incendiée par l’armée allemande et seule sa verrière est épargnée. Un nouveau bâtiment, toujours en service de nos jours, est inauguré en 1952. Érigé en forme de L, il donne une impression de robustesse et présente des lignes sobres et des matériaux locaux (ardoises et moellons de grès). Cette nouvelle gare a conservé le plus bel élément de la station précédente : sa superbe verrière, magnifique témoignage de l’architecture du XIXe siècle. En raison de sa valeur historique et technique et de sa rareté, elle a été protégée par une mesure de classement. En effet, bien des gares étaient dotées de verrières et autres marquises, bien utiles pour se protéger des intempéries, fréquentes sous nos latitudes. La plupart d’entre elles ont aujourd’hui malheureusement disparu. Celle de Pepinster a non seulement survécu mais présente également des dimensions impressionnantes. Accrochée à la nouvelle gare, elle relie le quai menant vers Liège et le quai menant vers Spa, la gare de Pepinster ayant la particularité d’être bordée de voies de chemin de fer de part et d’autre du bâtiment des voyageurs. La verrière a été restaurée en 2000. Classement comme monument le 24 août 1989

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Le château de Sclassin
1.9 km

Le château de Sclassin

À l’origine appelé château du Thier, cet ensemble a été rebaptisé Sclassin car Marie de Haultepenne, veuve du premier propriétaire, le seigneur de Grand-Rechain Christian II de Woestenraedt, était dame de Sclassin (Daverdisse), une seigneurie du duché de Luxembourg. En 1805, il est acquis par l’industriel verviétois Jean-Nicolas David et a plusieurs fois changé de mains depuis lors. Le château a été construit en 1587, comme l’indique le millésime inscrit par de petites clés d’ancre dans la muraille côté cour. Il compte trois ailes placées en U, ponctuées de deux tours cylindriques. L’aile centrale a été modifiée et vraisemblablement agrandie au XVIIIe siècle, après un incendie, et pourvue d’un fronton sur chaque face. L’un porte les armoiries des Woestenraedt et Haultepenne tandis que l’autre est orné d’une figure allégorique. La façade présente neuf travées sur deux niveaux de fenêtres de hauteur dégressive au linteau bombé. On y trouve également des portes cintrées à imposte, dont l’une d’elle se place sous un balcon à ferronneries. L’ensemble est protégé par une toiture d’ardoises en bâtière. Au retour latéral, on aperçoit des fenêtres à meneau aux montants harpés, des pierres plus larges superposées au pierres ordinaires et qui forment une alternance. Au sud-est, la ferme du château a conservé ses parties anciennes des XVIIe et XVIIIe siècles. Classement comme monument et comme site le 4 novembre 1976

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La chapelle de Tribomont
2.2 km

La chapelle de Tribomont

Le hameau de Tribomont se trouve à la croisée des communes de Herve, Pepinster et Verviers. Son appellation, très ancienne, Tribaldi Mons, signifie colline de Tribald, un vénérable habitant du lieu. On y trouve cette belle petite chapelle, qui aurait été érigée en 1599. En 1665, les sources parlent à cet endroit d’une chapelle Notre-Dame Débonnaire, de la chapelle du Thier en 1692 et de la chapelle du seigneur en 1750. Actuellement connue sous le nom de chapelle de Tribomont, elle est également dédiée à Saint-Roch. Érigée en moellons de calcaire, reconstruite à la fin du XVIIIe siècle, elle est terminée par un chevet à trois pans et est couverte d’une bâtière d’ardoises soutenue par des blochets sculptés. Elle a été restaurée en 1980 grâce au concours des Amis du Ban de Soiron. Derrière une grille en bois mouluré, on découvre un autel en bois sculpté du XVIIIe siècle orné d’une image de Notre-Dame des Récollets et de deux statues en plâtre coloré représentant saint Roch et saint Antoine Ermite, ce dernier étant le patron de Pepinster. La statue du premier lui donne un de ses noms mais il s’agit d’une erreur. Historiquement, elle reste dénommée chapelle Notre-Dame Débonnaire. Cette image a été perdue suite aux troubles révolutionnaires qui ont vue la destruction de la chapelle et de l’ermitage qui se trouvait à côté. On y a alors placé l’image de Notre-Dame des Récollets de Verviers, très populaire dans la région depuis le tremblement de terre qui fit des ravages en 1692. Classement comme monument le 15 mars 1934

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