Découverte de Picauville, Manche, Basse-Normandie

Le GRP® Tour de la presqu’île du Cotentin suit en majeure partie le GR®223 en longeant la côte. Il diffère dans la partie sud avec une traversée des marais permettant de boucler le Tour du Cotentin en 15 jours. Les derniers kilomètres du GRP® vous proposeront une évolution dans les marais. A l’automne, avec les premières pluies, le niveau des rivières remonte et l’eau envahit progressivement les points les plus bas des marais : le « bas-pays ». Les vaches et les chevaux se replient vers le « haut pays » et sont remplacés par les oiseaux. Au cœur de l’hiver, cette quiétude est à son apogée : on dit alors que « les marais sont blancs ».

Telle une île au cœur des marais du Cotentin, Picauville reste chaque hiver bordée par les eaux : celles de ruisseaux à l'Ouest et au Nord et celles de la Douve et du Merderet au Sud et à l'Est. Ce paysage singulier se découvre, depuis le bocage, par un dédale de chemins creux et de chasses immémoriales, ponctués d'un patrimoine souvent exceptionnel.

Le sentier vous convie à découvrir cette commune, qui se partage entre plateaux bocagers et vestes marais communaux, forment quasiment une île dans les marais du Cotentin. Attention : en autonome/hiver, le marais peut être inondé Départ signalé depuis les D15 et D70 (suivre la direction de Pont-l'Abbé, point de départ).

Sous la voûte des chemins creux, les arbres du bocage se penchent, se serrent et allongent leurs silhouettes vers le soleil. Au croisement de deux chemins, l’arbre devient un repère dans nos trajets quotidiens. Les alignements d’arbres soulignent la platitude des marais… Et tout le long du parcours, on croise des jardins plantés de jeunes et vieux arbres… Qui sont ces arbres ? Quels rôles jouent-ils dans les souvenirs et dans notre quotidien ? Planterais-je un arbre demain ? Les arbres se racontent par eux-mêmes et dans le témoignage des habitants. Départ : église des Moitiers-en-Bauptois

VARIANTE : Les Promontoires du Bauptois correspondent à la patrie la plus à l'est du Col du Cotentin, au cœur du Bauptois. Circuit familiale, accessible à tous. Balisage : Jaune Départ : Parking de la Chaussée à Beuzeville-la-Bastille

Les Promontoires du Bauptois correspondent à la patrie la plus à l'est du Col du Cotentin, au cœur du Bauptois. Circuit familiale, accessible à tous. Balisage : Jaune Départ : Parking de la Chaussée à Beuzeville-la-Bastille

Découvrez le Plain, territoire entre terre et marais et véritable frange orientale du Cotentin au relief paisible. Encouragé par d'excellentes conditions pédologiques et climatiques ainsi que la proximité des ports de Carentan et d'Isigny, le Plain initia (avec le Bessin) dès le XVIIe siècle, l'élevage et la spécialisation beurrière du Col du Cotentin. Balisage : Jaune Départ : Chef-du-Pont

Ce circuit est situé en partie dans le parc naturel régional du Cotentin et du Bessin. Il vous fera parcourir des paysages de marais avec de grandes étendues ouvertes et planes, mais aussi des paysages de bocage à travers lesquels cheminent des petits sentiers. Quelques demeures typiques sont visibles sur le parcours.

La commune de Vindefontaine, localisée dans la région naturelle du Bauptois, et bordée par la rivière de l'Ouve, fut l'un des principaux centres potiers du Cotentin à la fin du Moyen Âge jusqu'au début du XXe siècle.

Avant de vous lancer dans cette étape de 14 km, profitez de votre venue pour visiter Sainte-Mère-Église. Au cours de la nuit du 5 au 6 juin 1944, 15 000 soldats seront largués sur le village et ses environs. Emportés par leur parachute, certains restent accrochés dans les arbres : c’est ainsi que le soldat John Steele restera accroché au clocher de l’église pendant deux heures avant d’être sauvé ! Au petit matin, Sainte-Mère-Église devient la première ville de France libérée par les airs. Tout à côté de l’église, le musée Airborne présente l’histoire de ces parachutages. Un petit passage par la biscuiterie de Sainte-Mère pour faire le plein de gourmandises et c’est parti pour 14 km de randonnée jusqu’à Fontenay-sur-Mer. À voir également à Sainte-Mère : la borne 0 de la voie de la Liberté. Des plages normandes à la Belgique, 1200 bornes jalonnent la route empruntée par les alliés et l’armée française pour libérer la France. À la sortie de la ville, il faut rejoindre la chasse du Monet. Ce chemin parcourt le Plain, cette région bocagère du Cotentin. C’est aussi le berceau des races bovines et chevalines normandes ; ici sont nés des trotteurs et des chevaux de selle aux multiples prix. Après le pont Percé, le chemin vous conduit au petit village d’Azeville, célèbre pour sa batterie allemande. Édifiée en 1942, elle marque le début de la présence des allemands sur le littoral de la Manche. Votre randonnée se poursuit sur des chemins de terre (aussi appelés “chasse”) jusqu’à Saint-Marcouf, où vous pouvez découvrir l’église du 13ème siècle restaurée, la crypte et la fontaine et ses eaux miraculeuses. Au large, les îles du même nom sont aujourd’hui une réserve ornithologique pour l'île de Terre et un fort militaire en cours de restauration pour l’île du Large. Laissez la route pour suivre le chemin vous conduisant à la batterie de Crisbecq. Traversez Dangueville pour rejoindre Fontenay-sur-Mer, la fin de votre étape de la journée.

Ce monument rend hommage aux équipages du IX Troop Carrier Command, une composante essentielle de la 9th US Army Air Force, engagée dans l’opération Overlord. Dans la nuit du 5 au 6 juin, lors de la mission Albany, près de 2100 parachutistes de la 101è US Airborne Division sont largués sur la Drop Zone C à proximité de Sainte-Marie-du-Mont. À cette occasion, 430 avions de transport Douglas C-47 Skytrain survolent le Cotentin. En dépit de l’expérience des pilotes, la DCA Allemande (FLAK) est redoutable : une douzaine d’appareils sont atteints, et quatre s’écrasent dans le secteur de Picauville. Le monument principal, en forme de dérive d’avion, mentionne les avions suivants, tous abattus dans la nuit du 5 au 6 juin : - C-47 n°42-100819 (439th TCG – Mission Albany) – s’écrasa au lieu-dit La Maison de Haut, tuant les 16 parachutistes du 506th PIR et les 4 membres d’équipage. - C-47 n°42-24077 - C-47 n°43-30374 - C-47 n°43-15101 (Mission Chicago) Un seul de ces appareils permit à ses occupants de s’évacuer avant l’impact. Pour les autres, aucun survivant : parachutistes et aviateurs périrent ensemble. En 2011, un cinquième appareil, le C-47 n°43-15146 de la mission Freeport, abattu le 7 juin 1944 près de Guetteville, a été ajouté à la mémoire collective. Les cinq avions appartenaient aux 314th, 434th, 435th, et 439th Troup Carrier Groups. À proximité du monument, une maquette fidèle d’un C-47 Skytrain, avec ses bandes noires et blanches caractéristiques du « marquage d’invasion », est installé en hauteur. Un châssis présente également un moteur d’origine Pratt & Whitney à 14 cylindres en étoile. Une seconde stèle, inaugurée par l’association Picauville se souvient, honore les 15 pilotes américains du 405è Fighter Group de la 9è USAAF et les 4 aviateurs britanniques appartenant aux 264th et 604th Night Fighter Squadrons de la Royal Air Force. Ces hommes furent abattus au cours des combats de l’été 1944, alors qu’ils étaient stationnés sur l’Advanced Landing Ground A-8 de Picauville, un aérodrome provisoire établi après le Débarquement.

Le monument en hommage aux femmes américaines de Picauville, inauguré le 4 juin 2024, est une œuvre unique en Normandie, dédiée à la mémoire et à l’engagement des femmes durant la Seconde Guerre mondiale. Située au Mémorial C-47, sur la route du Prieuré, cette statue rend un hommage solennel et profond au courage, à la dignité et à la résilience des infirmières, auxiliaires, volontaires et épouses de soldats qui, dans l’ombre mais avec détermination, ont joué un rôle crucial dans les opérations du Débarquement et la libération de la France. Qu’elles aient servi au front, dans les hôpitaux de campagne, dans la logistique ou le renseignement, ces femmes ont participé pleinement à l’effort de guerre, souvent au péril de leur vie. Cette initiative, portée par l’association locale « Picauville se souvient », s’inscrit dans une volonté de mettre en lumière les contributions souvent oubliées de ces femmes dans l’histoire militaire de la Libération. La statue a été entièrement sculptée à la main par l’artiste Dimitri Charrault, dont le travail expressif saisit à la fois la tendresse et la force de ces figures féminines. Plus qu’un hommage, ce monument est un appel au souvenir et à la reconnaissance, un lieu de recueillement qui complète le parcours mémoriel de Picauville, en y inscrivant la part essentielle des femmes dans la victoire alliée. Coordonnées GPS : 49.39247450538677, -1.3821840583404263.

L’origine de notre église est naturellement liée aux Seigneurs qui possédaient la terre de Picauville ! C’est pendant au XIIIème siècle que notre église aurait été construite, donc sous la famille de MARLY. Cette construction a du se faire en deux temps : l’ensemble du chœur, transept et clocher, élevés dans le style gothique, régional normand, dans le 1er tiers du XIIIème. S, alors que la nef aurait été construite aux environs de 1250, dans un style semblable aux églises de l’Ile de France. Classée Monument Historique en 1961.

Eglise (monument historique) du XIIIe siècle, la seule en Normandie dédiée à Saint-Candide : longue nef à bas-côtés de 6 travées influencée par l'architecture de l'Ile-de-France et élégamment renforcée au XVIe siècle par d'imposants contre-forts et arcs-boutants. Corniche dite à la Beauvaisine. Clocher carré à flèche octogonale et garde-corps de style flamboyant cantonné de pinacles, proche de ceux de Périers, St-Côme-du-Mont, etc... Important porche du XVe siècle. Croix de cimetière, tombeaux et pierres tombales. Au village de l'église, ensemble du presbytère (XVIIe-XVIIIe siècles) et de l'ancienne mairie (fin du XIXe siècle). Écoles du XIXe siècle, manoir dit du Prieuré (fin XVe-XVIe siècle), maisons et fermes anciennes.

Artiste peintre installée à Picauville dans le Cotentin, Catherine Valette propose à ses visiteurs une évasion au travers de ses paysages, marines et portraits. C'est en Polynésie française que l'aquarelle s'est invitée dans sa vie... Là où les couleurs chantent et enchantent les voyageurs. Puis sa passion a grandi dans la Presqu'île du Cotentin, terre d'adoption et fabuleuse source d'inspiration. Enfin, au gré des voyages et des mutations, elle pratique aussi la peinture à l'huile, et autres techniques et transmets ses acquis à d'autres amateurs. Cours et stages : renseignements sur www.valettecat.com ou par tél. au 07 87 92 86 14.

Après avoir quitté la zone des marais, on remonte par des chemins creux ou « chasses » jusqu'à la ferme de Béthanie, bâtie aux XIXe siècle, autrefois appelée ferme de Baudienville, actuellement gérée par la fondation Bon Sauveur. Vente à la ferme de produits laitiers : yaourts, crème, beurre, fromage blanc.

À proximité des zones de parachutages qui eurent lieu dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, des plaques et stèles rappellent les noms des victimes des crashes d'avions C47 et de planeurs.

Stèle en hommage à la 90st Division d’Infanterie américaine, qui à joué un rôle central dans la libération de Picauville en juin 1944, au cœur des combats de la bataille des haies. Le matin du 10 juin, les premières unités de la 90st DI, notamment le 358th Régiment d’infanterie sous les ordres du Colonel James V. Thompson, s’engagent dans le secteur. Ils parviennent à libérer Picauville, mais se heurtent rapidement à une résistance farouche à proximité de Pont-l’Abbé, où les troupes allemandes tiennent fermement leurs positions. Les combats sont intenses et meurtriers. L’ennemi, retranché et déterminé, inflige de lourdes pertes aux soldats américains. Le 12 juin, au plus fort des affrontements, le Colonel Thompson est grièvement blessé. Il est alors remplacé par le Lieutenant-Colonel Christian H. Clarke, qui reprend le commandement du régiment. Face à la ténacité allemande, les chasseurs bombardiers alliés ainsi que l’artillerie américaine déclenchent un bombardement intensif sur la ville. Lorsque les soldats du 358th RI pénètrent à nouveau dans les rues de Picauville, ils ne découvrent qu’un paysage de désolation : des ruines fumantes, des maisons détruites… La stèle rend hommage aux combattants à travers deux symboles emblématiques du fantassin américain : - Le casque M1, porté par les GI’s tout au long du conflit, - Le fusil M1 Garand, arme de dotation standard de l’infanterie. Les coordonnées GPS : -49.379609926887, -1416355527013906

Édifié à la fin du XVIIIe siècle et remanié au XIXe siècle, il est entouré d'un parc arboré dans lequel on trouve une chapelle néogothique et un étang, refuge pour la faune aquatique locale. Ce château fut occupé par les allemands durant la Seconde Guerre Mondiale. C'est à proximité du château que le général allemand Falley perdit la vie, le long de la route Jack Schlegel, vétéran américain qui participa à ce fait d'armes. La fin du parcours s'effectue dans des chasses à travers le bocage du "haut pays". Ancien champ d'aviation. Minoterie désaffectée du XIXe siècle.

Le 10 juin 1944, la 90st Division d’Infanterie (DI) américaine, fraîchement arrivée pour renforcer les troupes de la 82nd Airborne Division , commence ses opérations à l’ouest de la rivière Merderet, dans le cadre de la libération de la région de Picauville. En cette journée, le 358th Régiment d’Infanterie (RI) commandé par le Colonel James V. Thompson attaque Picauville et libère la ville, mais l’avancée se heurte rapidement à une résistance acharnée devant Pont-l’Abbé. Les soldats allemands, appuyés par une solide défense et des positions bien fortifiées, infligent de lourdes pertes aux militaires américains. Le régiment, manquant d’expérience et épuisé par les combats, se trouve dans une impasse. Afin de briser ce verrou, le 12 juin, les forces américaines intensifient leur pression avec un violent bombardement d’artillerie et de chasseurs-bombardiers, préparant le terrain pour une attaque décisive. Le même jour, les Allemands évacuent Pont-l’Abbé, laissant la ville dans un état de ruines. Dans la nuit du 12 au 13 juin, les GI’s pénètrent dans une ville silencieuse, dévastée par les combats. La 90st DI est alors réorganisée sous le commandement du Général Landrum, après que le Général Mac Kelvie ait été relevé de ses fonctions. Parallèlement, la 82nd Airborne Division aéroportée, ayant mené d’intenses combats, reprend la ligne pour maintenir la pression sur l’ennemi. En outre, un aérodrome avancé (A-8) est construit par le 826th Engineer Aviation Battalion de la 9th US Army Air Force pour soutenir les opérations aériennes dans la région. Cet aérodrome est opérationnel dès le 30 juin 1944 et devient un point névralgique pour les frappes aériennes et le soutien des troupes au sol. Le 405th Fighter Groupe, basé à A-8, déploie des P-47 Thunderbolt pour effectuer des missions de soutient tactique, de chasse, et de bombardement. Le 6 août 1944, les 264th et 604th Night Fighter Squadrons de la Royal Air Force prennent également position à cet aérodrome pour mener des missions de défense aérienne nocturne. Ces unités, équipées de Mosquito, des chasseurs-bombardier bimoteurs, protègent les forces alliées des attaquent aériennes ennemies, et leurs radars spécialisés leur permettent de détecter et de combattre les appareils ennemis même dans les conditions de faible visibilité nocturne. L’aérodrome A-8, conçu pour opérer de nuit grâce à des éclairages spéciaux et des radars, joue un rôle clé dans la couverture des opérations, et il est aussi utilisé pour l’opération « Black Mail », facilitant l’infiltration d’agents secrets néerlandais dans les lignes allemandes. Les coordonnées GPS : 49.39282860334506, -1.4188339704470072

Situé au bord de l’Ouve (ou la Douve), le petit village de Longuerac (appelé aussi "Longrac" ou encore "Longueracque") est un ancien port. La flotille des gabares (ces bateaux à fond plat, dont la longueur varie de 10 à 18 mètres) s’arrêtait dans ce hameau, qui s’étire sur le bordage du marais. L'Auberge de l'Ouve, témoin de cette époque, vous accueille dans un décor typique et vous propose une cuisine du terroir, des viandes grillées à la cheminée et de la petite restauration tout au long de la journée.

Débit de tabac, FDJ, PMU, souvenirs du débarquement, reproduction de véhicules militariat et autres.

Le Café de l'Église est un café familial où l'on peut petit-déjeuner, déjeuner ou bruncher dans une ambiance cosy et détendue. Un Café de quartier, où l'on mange bien et bon. Nous proposons des tartines et sandwichs artisanaux gourmands avec une option végétarienne, des encas salés pour les fines bouches ainsi qu'une petite sélection de gâteaux et tartes à déguster autour de jolies boissons chaudes. Notre café est torréfié à Cherbourg, nos oeufs proviennent de la ferme du Vinehay à Montebourg, notre pain artisanal de la boulangerie voisine. Notre Best seller le Croissant Brunch n'attend plus que vous ! Il y a aussi la suggestion de la semaine au rythme des saisons. Cette petite cuisine se veut avant tout fraîche et simple, le tout est réalisé maison.

Dans un lieu chargé d'histoire, retrouvez un mur rempli de signatures originales des vétérans et de leurs familles qui ont combattu durant la Seconde Guerre Mondiale, et participé au débarquement. En duo ou entre amis, nous vous accueillons dans une ambiance chaleureuse et nous vous proposons une variété de crêpes, galettes de sarrasin, et salades. Des plats préparés avec des produits frais et locaux afin de satisfaire toutes vos envies.

Restaurant cuisine traditionnelle créé dans d'anciennes écuries au centre de Sainte-Mère-Eglise avec une belle terrasse dans un jardin au calme.

Bar-Tabac-Brasserie La Libération. Cuisine traditionnelle. Menu du jour du lundi au vendredi, uniquement le midi. Menu enfant, planche de charcuterie et snack. Salle climatisée entièrement rénovée avec une terrasse. QRcode à flasher (description du menu dans la langue du téléphone).

Bistrot familial, cuisine du marché. Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 14h, possibilité de privatiser le restaurant à partir de 10 personnes les soirs et week-ends, les jours fériés. Service traiteur, vente à emporter.

Etablissement convivial, ambiance et personnel chaleureux. Le décor vaut le détour. Cuisine familiale (brasserie) tous les midis sauf le dimanche. Pizzas tous les vendredis et samedis soir. Tous nos produits sont des produits frais…

Notre gîte accueillant pour 4 à 6 personnes vous offre un refuge paisible au cœur de la nature. Profitez d’un séjour confortable et ressourcez-vous dans ce lieu chaleureux, idéal pour des vacances en famille ou entre amis. Logement de 70 m², cuisine aménagée et équipée ouverte sur le séjour/salon. A l’étage, deux chambres (1 lit double et 2 lits simples dans l’autre chambre), WC, salle d’eau. Concernant l’extérieur, celui-ci vous offre l’accès à une terrasse bois privative avec salon de jardin. Accès libre à un barbecue commun, au jardin, au verger et parking gratuit.

Bienvenue dans le gîte 4 personnes où vous pourrez profiter d’un séjour confortable et en toute sérénité. Ressourcez-vous dans ce lieu chaleureux, idéal pour des vacances en famille ou entre amis. Logement de 60 m², cuisine aménagée et équipée ouverte sur le séjour/salon, WC séparé, et salle d’eau/double vasque. A l’étage, deux chambres (2 lits doubles 160x200). Palier avec un petit canapé pour une pause lecture. Concernant l’extérieur, celui-ci vous offre l’accès à une terrasse bois privative avec salon de jardin. Accès libre à un barbecue commun, au jardin, au verger et parking gratuit.

Notre gîte cocoon pour 2 personnes vous offre calme et tranquillité. Idéalement situé pour découvrir toutes les beautés du Cotentin et s’offrir une petite parenthèse au cœur de la nature. Logement de 40 m², offrant une cuisine aménagée et équipée ouverte sur le séjour/salon, WC, salle d’eau. A l’étage, une chambre (1 lit double et une possibilité de rajouter un lit bébé au niveau du coin lecture). Concernant l’extérieur, celui-ci vous offre l’accès à une terrasse bois privative avec salon de jardin. Accès libre accès à un barbecue commun, au jardin, au verger et parking gratuit.

Au cœur des Marais du Cotentin, Picauville est un petit village situé à 8 km de Ste Mère Eglise, un des lieux emblématiques du Débarquement de juin 1944. Cette extension de 55 m², attenante et en prolongement de la maison des propriétaires, est lumineuse (grandes baies vitrées) et vous offrira tout le confort pour séjourner à 2/3 personnes. De l'intérieur comme de l'extérieur, vous aurez pour vue un espace équestre où chevaux assurent le spectacle (saut d'obstacles, cabrés et promenades dans le manège). Les amateurs de randonnées y trouveront aussi leur compte puisque le gîte est au pied d'un parcours de randonnée (19 km). Bien que vous jouissiez d'un jardin privatif, vous aurez la possibilité de déambuler à votre guise dans le verger et dans la prairie. Maison mitoyenne. Au rez-de-chaussée : Séjour (canapé, enceinte Bluetooth) avec coin-cuisine (hotte, plaque induction, micro-ondes, machine expresso, réfrigérateur-congélateur). Salle d'eau avec WC (lavabo, douche, sèche-serviettes). En mezzanine : lit de 180. Salon (TV d'Orange avec chaînes étrangères., Internet fibre , jeux de sté) pouvant accueillir un couchage supp. avec le convertible (140). A l'extérieur : Jardin privé clos. Terrasse couverte de 15 m². Mobilier de jardin. Chiliennes. Barbecue. Abri couvert (lave-linge, sèche-linge). Stationnement possible sous le porche. Cour sécurisée par un portail. Jeux extérieurs (croquet, frisbee, ballon … et possibilité de pratiquer du tir à l'arc et de prêter un paddle sur demande). Accueil de 2 chevaux possible (prairie, abri, eau et foin) moyennant un supplément. Chauffage électrique en supp. Linge de lit et de toilette fournis. Lits faits à l'arrivée. Ménage compris. Équipement bébé. 1 animal autorisé.

C'est au détour d'un chemin que vous tomberez sur cet imposant bâtiment, une ancienne minoterie plus que centenaire. Récemment rénové, nous avons souhaité conserver les traces du passé de ce lieu, tout en apportant la plus grande attention à votre confort. Cette maison de 3 chambres sur 2 niveaux peut accueillir jusqu'à 6 personnes. Vous pourrez profiter du calme du lieu ou vous laisser surprendre par l'un des nombreux sentiers de randonnée. Ils vous conduiront au coeur du bocage, des marais et des sites historiques liés au DDAY.

Tente Pyramidale US de la Seconde Guerre Mondiale. Lits de camp, sanitaires de campagne avec toilettes sèches et douche (eau chauffée). Située sur le site d'un ancien aérodrome américain.

Proche des plages du Débarquement, "La Prévoté" maison de vacances avec jardin dans un bourg avec tous les commerces dans une petite rue calme avec garage et parking.

Petite aire de camping pour planter sa tente en toute tranquillité, à l'orée des marais du Cotentin. 3 grands emplacements sont à disposition, ils sont à proximité de 2 cabanes sur pilotis et d'une aire dédiée aux camping-cars. L'aire est gérée par Camping Car Park.

Nous vous proposons ce meublé de tourisme entièrement rénové, où vous vous sentirez comme chez vous. Il est situé à 10 minutes de Sainte-Mère -Eglise, 20 minutes des plages du Débarquement, 30 minutes de Saint-Vaast-la-Hougue élu Plus Beau Village de France. Sur la côte ouest, vous pourrez admirer les plages de Barneville-Carteret, Portbail, le Nez de Jobourg. Situez à 1h30, vous pourrez passer une journée inoubliable au Mont-Saint-Michel.

Un espace adossé à une aire de camping-car (gérée par Camping Car Park) permet aux cyclotouristes et aux randonneurs à pied de faire une halte et d'utiliser les services : bloc sanitaire, points de recharge électrique, box à vélos, etc. Il offre la possibilité d'occuper 2 tentes sur pilotis ou d'installer sa propre tente (3 emplacements enherbés à disposition).