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À voir autour

Circuit de découverte de Nogent (circuit long)

Nogent
Crédit : Eurociel - Gérard Corret

Description

D’origine celtique, la ville est juchée sur un promontoire du secteur orienté au midi, avec à ses pieds, la vallée de la Traire, rivière poissonneuse.
A partir du XVIe siècle, elle a fourni l’eau de trempe et la force motrice à différentes usines.
Au XVIIIe siècle, la coutellerie prend son essor et atteint son apogée à la fin du XIXe siècle.
Au travers de ce circuit intra-muros, nous avons voulu vous faire découvrir son riche patrimoine naturel, architectural et métallurgique qu’elle a su conserver au cours des siècles.

Choisissez votre itinéraire de visite. Deux circuits sont proposés.
Celui-ci, le plus long, propose une déambulation de 3.9 km à la découverte des principaux monuments de Nogent-le-Haut (Place Charles de Gaulle, l’église Saint-Jean, le musée de la Coutellerie, la Justice de paix…) et un passage par Nogent-le-Bas, la vallée de la Traire, l'église Saint-Germain, la brèche...
Bonne visite dans l’histoire !


Visite disponible sur l'application gratuite Id-Vizit !
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Informations techniques

Marche
Difficulté
Facile
Durée
2h30mn
Dist.
3.9 km
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Profil altimétrique

Point de départ

NOGENT
Lat : 48.02705Lng : 5.3415

Points d'intérêt

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MUSEE DE LA COUTELLERIE

« C’est un beau couteau … mais c’est un Nogent ! » s’exclame le personnage de Roubaud dans le film « La bête humaine » de Jean Renoir (1938). C’est dire si la ville de Nogent – l’appellation Nogent-en-Bassigny n’est plus usitée depuis 1972 – a acquis une solide renommée puisque son seul nom suffit à identifier une coutellerie de qualité ; raffinement et diversité caractérisent cette coutellerie mondialement réputée, sollicitée par les plus grandes maisons françaises (Christofle, Hermès, Ercuis, Puiforcat, etc.). Créé pour mettre à l’honneur un patrimoine identitaire, le Musée de la coutellerie présente, dans un cadre moderne, l’histoire technique et sociale de cette activité traditionnelle, du 18e siècle à nos jours. Les collections du musée sont à l’image de ce raffinement et de cette diversité en coutellerie fermante, de table, de métier, outillage à main, cisellerie, instrumentation de chirurgie et de toilette. Installé dans une ancienne coutellerie, le musée valorise également les technologies nouvelles, fruits d’un savoir-faire traditionnel aujourd’hui renouvelé. Vidéos, audio guides (FR, GB, NL, D). Librairie-boutique : Ouvrages et revues spécialisés sur la coutellerie ; cartes postales ; produits dérivés ; Divers articles de coutellerie (coutellerie fermante, de table, cisellerie, etc.) fabriqués dans le bassin coutelier nogentais. Ateliers et activités pédagogiques animés par le médiateur culturel.

Place Charles de Gaulle 52800 NOGENT
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EGLISE SAINT-JEAN DE NOGENT-LE-HAUT

L’église Saint-Jean est de style néo-gothique. Elle fut construite dans les années 1860, en lieu et place de l’ancienne église datant du XIIème siècle. Cette dernière n’était plus adaptée à la taille de la population et menaçait de ruine. Les plaques des autels des bas-côté proviennent de cette dernière. La consécration par le cardinal Matthieu archevêque de Besançon à lieu le 5 octobre 1865. La statue de saint Jean placée au-dessus du portail fut sculptée par Le maire de la ville Monsieur Couvreux-Wichard. Autre point intéressant : l’église Saint-Jean est marquée par la présence de Saint Eloi, patron à la fois des orfèvres et des forgerons, donc des couteliers. Adossée au pilier droit le plus proche du chœur on distingue sa statue provenant de Vandeuvre sur Barse. Sur le troisième vitrail du bas-côté sud, il est représenté avec sa crosse d’Evêque et un marteau de forgeron. A l’entrée du choeur, une statue le montre avec, à ses pieds, une enclume. Celle-ci, de forme massive, est caractéristique de celles qui étaient utilisées sur le bassin coutelier, avec une pointe carrée et une pointe ronde. Saint Eloi était fêté le 1er décembre. Toute la ville était en liesse ; les usines étaient fermées. La journée commençait par une grand-messe, suivie d’une procession. L’ensemble de la confrérie, avec les Meilleurs Ouvriers de France, était présente. Puis, les patrons des usines invitaient leurs ouvriers à un banquet. La journée s’achevait par des chansons et des danses. Cette tradition s’est perdue dans les années 50. En 2015, on entreprit la réfection extérieure à l’occasion du 150ème anniversaire qui vit une grande messe télévisée dans le cadre du Jour du Seigneur.

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EGLISE SAINT-GERMAIN DE NOGENT-LE-BAS

L’église Saint-Germain de Nogent-le-Bas remonte au XIIème siècle. Elle faisait partie d’un prieuré qui appartenait à l’Abbaye Saint Bénigne de Dijon. Ses caractéristiques lui confèrent un style roman. L’édifice est simple, constitué d’un seul vaisseau. A l’arrière, le pignon présente une ouverture de style gothique, surmontée d’un occulus et de fenêtres hautes. Ces ouvertures disparates montrent les multiples remaniements qu’a connu ce bâtiment au fil du temps. Sur le mur porteur de la charpente, on distingue soit de petites fenêtres de style roman, vraisemblablement d’origine, soit des fenêtres plus grandes qui ont été ouvertes postérieurement à la construction. Au niveau du choeur, de puissants contreforts viennent soutenir les murs, notamment au niveau du clocher. Celui-ci est à section carrée, terminé par une toiture pyramidale, surmontée d’une croix en fer forgé et d’une girouette en bronze, en forme de coq. La couverture du clocher est en tuiles plates, celle de la nef, en tuiles violons fabriquées à Rolampont. Le prieuré attenant à l’église abrite encore, de nos jours, une entreprise de coutellerie dont la création à cette endroit remonte à 1854. A l’intérieur de l’église Saint-Germain La nef principale s’ouvre sur les bas-côtés par des arcs en plein-cintre et de gros piliers de section carrée. Ce dispositif est très semblable à celui de l’église de Vignory, un peu plus au nord du département, édifiée à la même période. Un plafond masque la charpente de châtaignier. Il a été installé pour lutter contre le froid. En s’avançant dans le choeur de l’église, on distingue les voûtements gothiques, postérieurs à la construction de l’édifice, qui s’appuient sur la structure romane. Le chapiteau du bas-côté nord, au niveau du mur est intéressant. Il présente deux petits hommes décharnés sur un fond de branchage et est assez semblable à certains chapiteaux de la crypte Saint-Bénigne à Dijon. Durant la période révolutionnaire, en 1793, le Comité de Salut Public, s’appuyant sur la renommée des productions nogentaises envoie le citoyen Pradier à Nogent pour y monter des fabriques de sabres pour la cavalerie et de baïonnettes pour l’infanterie. Les couteliers et les ciseliers sont réquisitionnés à cet effet et l’église Saint-Germain est transformée en manufacture. Le mobilier et les vitraux de l’église Saint-Germain L’église Saint Germain présente un mobilier intéressant. L’ensemble des bancs en chêne est d’une remarquable homogénéité. On y retrouve le nom gravé de familles de couteliers et de ciseliers connus. En ce qui concerne la statuaire, on notera un Christ-aux-Liens, en pierre polychrome du XVIème siècle, à l’entrée du choeur ainsi qu’une belle Pieta du XIVème siècle, en partie haute de l’autel du bas-côté sud. Au fond du chevet de l’église, on remarque une armoire eucharistique. Particulièrement bien conservée, elle date de la période gothique. A l’intérieur de celle-ci était rangé le Saint-Sacrement, dont la présence était matérialisée par une bougie. Un occulus quadrilobé donne sur l’extérieur. Son rôle était de rappeler au fidèle passant dehors, la présence du Saint-Sacrement et ainsi de l’inciter à se recueillir et à prier. Les vitraux du choeur ont été réalisés par un atelier dijonnais et celui de l’occulus par un atelier marnais. Ils sont antérieurs aux verrières des bas-côtés. Ces dernières sont l’oeuvre de Catherine Biquet, maître-verrier haut-marnais, qui a su redonner une remarquable unité à l’ensemble. Elle traduit la foi comme une quête d’élévation, exprimée dans ses vitraux par un mouvement ascensionnel, aux formes souples et lumineuses.

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LA BRECHE

Le chemin qui se présente devant vous s'appelle la brèche. Cette dénomination remonte au temps ou Nogent était une forteresse. L'ennemi lors d'un siège de la cité, aurait pratiqué une ouverture dans les murailles, qui à l'époque, confortaient le site défensif offert par ce bord de plateau. Le sentier emprunté par l'ennemi pour prendre la ville pris ce nom de « brèche » qui demeure encore de nos jours. Ce chemin est la liaison la plus directe entre la partie basse et la partie haute de la Ville. Très utilisé, son accessibilité fut renforcée par un « hérisson », c'est à dire un empierrement où les blocs sont placées debout les unes contre les autres. Le chemin était emprunté par les ouvriers qui allaient travailler en ville dans les usines ou chez les artisans. Roger Petitpierre raconte dans son livre « Harmonie haut-marnaise » : « Sur les pavés usés, je gravis pas à pas le sentier de la brèche... Ce vieux chemin pentu tracé par l'usage, parfois séculaire, rapproche toujours le bas et le haut de Nogent.... Les passants me saluent avec des mots aimables : dans l'effort partagé, dans le choix de mon itinéraire pour rejoindre la ville, je suis un Nogentais, un amis, un frère... » Ce passage était également le lieu d'affrontement parfois rude, entre les bandes d'enfants de Nogent le haut : « les Fouairoux » et celles de Nogent le Bas : « les Balibeux ». Ils se rejouaient « la guerre des Boutons », film de Yves ROBERT, tiré du livre de Louis PERGAUD, qui illustre bien ces querelles de gamins de la campagne.

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MONUMENT DE 1870

Le monument, érigé dans ce square, commémore les évènements tragiques de la guerre de 1870, qui se sont déroulés à Nogent. Du 6 au 13 décembre, un violent accrochage s'y est déroulé, opposant les Prussiens à un détachement de l'Armée Française appelé « les mobiles ». L'artillerie prussienne bombarde la ville. Nogent-le-Bas fut en grande partie détruit et incendié, privant de logement plus de 500 personnes. Les pertes en vies humaines, tant du côté français que du côté prussien, furent importantes. A l'origine, le monument était composé d'une colonne en fonte, de 7 mètres de haut, d'ordre ionique, surmontée d'un ange. Le socle présente quatre plaques de marbre, chacune surmontée d'une tête de « mobile » avec palmes. La plaque nord rappelle l'événement ; la sud, la souscription publique ; l'est, les victimes civiles et l'ouest, les victimes militaires. Ce monument est immortalisé par Bernard Dimey dans son poème « l'enfance ». Le dimanche sur le bassin de Nogent : Au delà de ce square, le panorama s'ouvre sur la vallée verdoyante de la Traire. Ce paysage est caractéristique du plateau de Langres où les parties hautes, calcaires, sont recouvertes de forêts. Les vallées sont argileuses et laissent place aux herbages. Les environs proches de la ville ont longtemps été occupés par des jardins et vergers cultivés par les couteliers-paysans. Nourricière, la campagne alentour était aussi un lieu de délassement. Laissons à ce propos s'exprimer Monsieur Petit, instituteur en retraite à la fin du XIXème siècle : « Les ouvriers de Nogent ont assez, en général, l'esprit de famille. Quelquefois le dimanche, et presque tous les lundis pendant la bonne saison, des familles coutelières (père, mère, enfants, frères, soeurs, cousins, cousines), s'en vont à la campagne, au bois ou dans leur jardin situé hors de la ville, pour y passer la soirée... On mange, on boit, on chante, on rit, on fume et l'on danse... D'autres préfèrent rester en ville et Monsieur Petit de poursuivre : « Pour avoir bonne mine et bonne réputation dans la classe ouvrière, il faut savoir, tous les dimanches, après avoir fini et livré son ouvrage au marchand, faire un peu de toilette, car il est coquet le Nogentais, se munir de cigarettes à la mode ou s'offrir au moins un demi-cigare, se dandiner un tantinet dans la rue et aller s'installer au café, non pas précisément pour y goûter le plaisir de boire mais pour bavarder, pérorer, jouer et prendre des consommations de premier choix ! ». A cette époque on dénombrait près d'une trentaine de cafés à Nogent.

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TOUR D'ANGLE ET ANCIEN CHATEAU DE NOGENT

L’histoire fait mention pour la première fois du « château de Nogent » en 610. Il marque bien l’implantation de la cité, sur le rebord d’un plateau, en position stratégique. Cette forteresse est à rapprocher d’autres places-fortes comme Langres, Montigny-le-Roi, Clefmont qui jalonnaient la frontière du royaume de France face à l’empire Germanique. Le petit-fils de Thibaut comte de Champagne hérita de Nogent. A sa mort en 1024, le château revient à Rénier puis au duc de Bourgogne. Hugues 1er comte de Champagne et l‘évêque de Langres mirent le siège devant le château de Nogent. Le 2 mai 1104 les vainqueurs donnèrent à l’abbaye Saint-Bénigne de Dijon l’église Saint jean, l’église Saint Germain. Thibaut IV comte de Champagne obtient en 1235 la terre et le château. Ce dernier, roi de Navarre ; Nogent fut de ce fait, appelé Nogent le Roi et il en affranchit les habitants en 1235. Durant la guerre de cent ans les Anglo-Bourguignons s’emparent de la ville. Suite aux guerres de religion, Richelieu arrive au pouvoir et fait détruire la plupart des forteresses sauf Nogent qui échappa à cette destruction. Le château fut maintenu sous la garde d’un gouverneur nommé par le roi. Ce rôle défensif fut définitivement abandonné à la fin du XVIIème siècle, avec l’occupation de la Lorraine et le rattachement de la Franche-Comté. Les remparts existaient encore au début du XVIII ème siècle, et aujourd’hui il n’en reste plus que des ruines. La tour d'angle : Aujourd’hui, du château il n’en reste plus que la rue, nommée ainsi en 1895, qui conduit à une tour. Celle-ci appelée donjon n’est que la tour d’angle de l’éperon, propriété privée de l’usine en dessous et reconstruite fin du XIXème siècle.

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MAISON NATALE DE BERNARD DIMEY

C’est dans cette petite maison qu’est né Bernard Dimey le 16 juillet 1931 d’un père ciselier et d’une mère coiffeuse. Tout en vous rendant à la prochaine étape, nous allons vous présenter les principaux épisodes de sa vie. |A quinze ans ses premiers poèmes sont édités dans « Les Cahiers Haut Marnais. En 1947, il entre à l’Ecole Normale de Troyes. Il obtient son diplôme d’instituteur mais renonce à ce métier pour se consacrer à la peinture sous le pseudonyme de Zelter, et surtout à la littérature. Cette période fut particulièrement riche en écrits : romans, nouvelles, pièces de théâtre, scénarii radiophoniques... |A 25 ans, il effectue son service militaire à Paris. Ses permissions le conduisent à Montmartre. Il fréquente assidûment « le Pichet du Tertre », cabaret qui était le rendez vous des artistes. Sa lassitude suite aux refus des éditeurs et son besoin de subsister l’amènent à écrire de nombreux poèmes. Beaucoup seront mis en musique par Francis Lai. C’est ainsi qu’il fournit les vedettes en quête de chansons nouvelles : environ 80 interprètes parmi lesquels : Charles Aznavour, Mouloudji , Serge Reggiani, Jean Ferrat, Zizi Jeanmaire, Juliette Gréco... |Installé définitivement à Montmartre en 1959, il devient une figure locale tant auprès des artistes, peintres, écrivains, que des commerçants et habitants de tous milieux. Ses poèmes deviendront des chefs-d’oeuvre dont en 1962 « Syracuse » mise en musique par Henri Salvador. |Alors que ses 50 ans s’apprêtent à sonner, il meurt d’un cancer, le 1er juillet 1981. Enfant de Nogent, c’est dans la cité coutelière qu’il sera inhumé. « J’ai écrit près de 1000 chansons [.] mais il n’en restera peut-être que deux si la postérité les retient : « Mémère » et « Syracuse » ; comme j’aimerais que cela fût : je mourrais content ».

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MAISON D’OUVRIER DU XIXEME SIECLE

L’avenue du 8 mai 1945 présente un alignement de maisons qui montre bien l’habitat typique de l’artisan-ouvrier nogentais du XIXème siècle. Elles sont étroites, alignées les unes contre les autres et séparées par un mur mitoyen. En observant, plus particulièrement, les maisons du n° 17 au n° 23, on peut décomposer la façade, niveau par niveau. |Au rez-de-chaussée, 1 ou 2 fenêtres à 2 battants de 3 carreaux, plus hautes que larges, sont disposées d’un côté de la porte d’entrée ou de part et d’autre. |Un oeil de boeuf peut venir éclairer la pierre d’évier dont on peut encore, parfois, apercevoir le tuyau d’écoulement, en façade. L’entrée de la cave est généralement placée sous la fenêtre. |A l’étage, une ou deux fenêtres, à l’identique de celles du rez-de-chaussée et, généralement, à l’aplomb de celles-ci. |Sous la rive du toit, deux petites ouvertures rectangulaires, destinées à éclairer le grenier. Elles sont également à l’aplomb des autres ouvertures. Les maisons les plus confortables présentent un étage plus développé. |Les enduits caractéristiques de cette époque sont de 3 types : soit des enduits minces, à base de chaux et de sable de carrière locale comme ici, soit dits « à pierre vue », c’est-à-dire qu’on ne laisse apparaître que le centre de la pierre, ou encore dit « jetés au balais » car ils étaient projetés sur le mur avec un balais constitué de brindilles, ce qui donnait l’aspect d’un crépi. |Derrière ces maisons, on peut imaginer une parcelle de jardin très longue, occupée par un potager avec, parfois, poulailler, clapiers... |Au bout pouvait se tenir l’atelier de l’artisan appelé « boutique ». |A Nogent, de nombreux quartiers de la ville présentent ce type de maisons. De l’autre côté de la rue, plus cossus, on peut voir deux pavillons de contremaîtres. Ils datent des années 1930, au moment de la construction de l’usine Minel qui se situait à proximité. |Aujourd’hui démolie, cette entreprise a employé jusqu’à 460 ouvriers.

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Information complémentaire

Contact

Email : chaumont@attractivite52.fr
Téléphone : 03 25 03 80 80

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Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾