Alerte

Alertes

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter

Oups... Il semblerait que Cirkwi n'ait pas l'autorisation d'utiliser votre position.

Présentation
Description
Carte
Points d'intérêt
Notes et avis
À voir autour

LANGRES A PAS CONTES

Langres à pas contés
Crédit : Agence d'Attactivité de la Haute-Marne

Description

Votre découverte commence ici. En 100 minutes pour 2000 ans d’histoire, Langres va s’offrir à vous, romaine, médiévale, patrimoniale…vous verrez bien !
Visite interactive comprenant des visuels à 360 degrés sous la forme de dessins historiques !


Visite disponible sur l'application gratuite Id-Vizit !
Véritable compagnon personnel de voyage, Id-Vizit vous propose des parcours de visites personnalisés, ludiques et interactifs !
+ d'info sur Id-Vizit

Informations techniques

Marche
Difficulté
Facile
Durée
1h40mn
Dist.
2.9 km
Afficher plus d'informations

Profil altimétrique

Point de départ

LANGRES
Lat : 47.858754Lng : 5.332701

Points d'intérêt

image du object

MAISON DES LUMIERES DENIS DIDEROT

Inaugurée le 5 octobre 2013, l'ambition de la Maison des Lumières est de présenter Diderot mais aussi ses précurseurs, le mouvement des Lumières auquel il a participé et sa postérité. L'objectif est d'amener le visiteur à construire sa propre perception du XVIIIe siècle. Le parcours muséographique s'organise autour de plus de 250 oeuvres originales (peintures, sculptures, lettres manuscrites, objets...) qui donnent à découvrir Diderot, son siècle et son oeuvre majeure, l'Encyclopédie. Quatre grands thèmes sont abordés : « De Denis à Diderot » en écho aux années de formation du philosophe, « Denis Diderot, homme des Lumières », autour des idées et découvertes du siècle, « Diderot et les arts » : les Salons et la critique d'art, le théâtre, la musique... « l'Encyclopédie » Le parcours commence par l'évocation du contexte langrois et parisien des premières années de Diderot, puis s'intéresse à la France du XVIIIe siècle pour prendre finalement une dimension internationale avec le voyage du philosophe en Europe et en Russie. L'évocation de l'Encyclopédie à la fin du parcours permet de donner l'importance qu'elle mérite à cette oeuvre qui occupa une trentaine d'années de la vie de Diderot, entre 1746 et 1776. Cette section permet d'aborder la fabrication matérielle de l'Encyclopédie, mais aussi son contenu à travers différents exemples de métiers décrits dans l'ouvrage (coutellerie, faïencerie...). Elle permet de rendre hommage aux quelque 200 auteurs qui ont collaboré à l'écriture des 35 volumes qui la composent avec les suppléments (21 volumes de textes, 12 de planches et 2 de tables). La Maison des Lumières Denis Diderot présente des oeuvres et des documents liés à Diderot et au XVIIIe siècle, issus des collections de la Ville de Langres. C'est donc à Langres et nulle part ailleurs que l'on pourra découvrir de véritables trésors. HOTEL VALTIER DE CHOISEUL DIT DU BREUIL DE SAINT-GERMAIN Monument Historique - Fin du XVIe siècle. En 1576, Sébastien Valtier de Choiseul acquiert une vaste parcelle et y fait édifier un hôtel particulier. Le corps de logis pourvu d'une échauguette surplombant la place reçoit un soubassement en bossages. Le parti de la façade sur cour est symétrique : le décor est essentiellement concentré sur la porte qui reçoit une pléthore de thèmes maniéristes très en verve à la fin du XVIe siècle. Bossages piquetés ou en pointe de diamant, colonnettes enguirlandées, cornes et vases d'abondance, fronton cintré et mufles de lions contribuent à agrandir la porte aux dimensions modestes. Vers 1770, Philippe Profilet de Dardenay transforme l'aile perpendiculaire et la dote d'une nouvelle façade reprenant les proportions de l'aile Renaissance. Un avant-corps central est souligné par un léger décrochement, une porte-fenêtre, un oculus et un fronton. Le décor est complété par deux guirlandes de fleurs, deux bustes sur consoles et un médaillon en terre cuite représentant peut-être le propriétaire de l'époque. C'est à la même époque que l'hôtel reçoit son mur de clôture et son portail. Au XIXe siècle, la famille Du Breuil de Saint-Germain rajoute les lucarnes, provenant d'autres édifices de la Renaissance.

1, place Pierre Burelle 52200 LANGRES
- Agence d'Attractivité de la Haute-Marne -
Consulter
image du object

MAISON RENAISSANCE

Construite entre 1540 et 1550, cette maison est le plus bel exemple de l'architecture civile langroise de la Renaissance. Elle se compose de deux bâtiments, l'un sur rue, l'autre sur jardin, reliés par un couloir latéral. Organisé en empilement vertical, selon les fonctions des différents niveaux, cet immeuble comprend de bas en haut, une cave, un sous-sol et deux niveaux d'habitation. Côté jardin, la façade présente une composition géométrique simple : deux niveaux de colonnes ioniques et corinthiennes se superposent. Fortement marquées par des corniches, les horizontales viennent rompre la verticalité des colonnes et des fenêtres à meneaux. Appartenant à la renaissance classique, cette maison bourgeoise est par son décor, directement héritière de l'antiquité : frises avec motifs de draperies reliées par des anneaux et des bucranes, recherche du naturalisme avec grappes de fruits, palmettes et « choux bourguignons »... Depuis la cour, close par une balustrade en pierre, une porte permettait d'accéder directement à la salle des communs ou services, à semi enterrée. Voûtée d'arcs surbaissés, les cuisines conservent une grande cheminée et des espaces réservés au stockage des aliments. Dans la cour, les domestiques puisaient l'eau de pluie, récoltée dans l'élégante citerne couverte d'un petit dôme. Sur le côté de la façade, une porte en plein cintre ouvre sur un couloir qui traverse la maison pour relier la rue Cardinal Morlot, principal axe commerçant de la cité au XVIe siècle. Ce long couloir dessert les salles du rez-de-chaussée avec l'ancienne salle de réception, une petite cour intérieure, ainsi que l'escalier en vis qui distribue les étages et les sous-sols. Depuis les cuisines, on accède ensuite au niveau de caves plus anciennes. Datées du XIV ou XVe siècle et couvertes sur voûtes d'arêtes, elles présentent des chapiteaux sculptés à motifs végétaux, animaux ou humain, un puits... La Maison Renaissance tiendra une exposition sur l'architecture Renaissance en Pays de Langres. Accès libre à la cour permettant de voir la façade.

- Agence d'Attractivité de la Haute-Marne -
Consulter
image du object

CATHEDRALE SAINT-MAMMES

Bâtie à partir de 1150 et achevée à la fin du siècle, la cathédrale Saint-Mammès était celle d'un vaste diocèse situé entre Champagne et Bourgogne. C'est le dernier grand édifice construit dans la lignée de l'abbatiale romane de Cluny édifiée à la fin du 11e siècle. Située au carrefour d'influences artistiques diverses, la cathédrale Saint-Mammès conjugue harmonieusement un décor et des volumes romans avec les premières innovations gothiques. L'emploi de la voûte sur croisées d'ogives, novateur dans la région, a permis de donner au vaisseau une largeur et un éclairage plus importants que dans les autres édifices clunisiens. Reconstruite en 1768, l'imposante façade néo-classique se compose de deux tours encadrant un avant-corps sommé d'un fronton. Celui-ci est surmonté de deux statues monumentales représentant la Synagogue (à gauche) et l'Eglise (à droite). Chacun des trois niveaux est scandé par des colonnes ou des pilastres aux ordres dorique, ionique et corinthien. Durant la Révolution, certains éléments de décor ont été détournés de leur symbole initial. Ainsi, au-dessus du portail nord (à gauche), la mitre et la crosse épiscopales ont été transformées en bonnet phrygien et en faisceau de licteur. Au fil de la visite, laissez-vous charmer par la chatoyante toiture du 19e s. réalisée en tuiles vernissées, les oeuvres Renaissance comme la chapelle d'Amoncourt et son pavement de Faïence, le bas-relief des reliques et les tapisseries de Saint-Mammès ou encore le grand orgue du 18e s... Groupe : Toute l'année sur demande. Visite disponible sur l'application gratuite Id-Vizit ! Véritable compagnon personnel de voyage, Id-Vizit vous propose des parcours de visites personnalisés, ludiques et interactifs ! + d'info sur Id-Vizit Animation estivale : du 17 juillet au 21 août, auditions d'orgue, les dimanches à 17h, organisées par l'Ass. des Amis des Orgues. Pour la petite histoire : La légende de saint Mammès raconte comment celui-ci devint le saint patron de la cathédrale et du diocèse à la place de saint Jean l'Évangéliste. Vers 755, un pèlerin rapporta de Constantinople un os de la nuque de saint Mammès. A proximité de Langres, il voulut se reposer et suspendit à une branche la bourse contenant les reliques. Lorsqu'il désira la reprendre, il ne put la décrocher de l'arbre... Il alla trouver l'évêque Vandier et lui compta le prodige ; le prélat, accompagné de son clergé et de nombreux fidèles, se rendit sur les lieux. Malgré ses efforts, les reliques refusèrent de se décrocher « quoy qu'elles ne tinssent qu'à un simple cordon de soie ». C'est alors qu'un vénérable vieillard interpella l'évêque et lui suggéra de dédier la cathédrale à saint Mammès, en prétendant que saint Jean l'Évangéliste ne trouverait « pas mauvais qu'on honore ainsi à sa place son fils bien aimé qu'il a engendré au Seigneur par la parole de sa prédication ». Le prélat appliqua le conseil et dédia aussitôt son église à ce saint. La cérémonie était à peine terminée que les reliques tombèrent d'elles-mêmes et furent rapportées jusqu'à Langres en procession solennelle. Le vieillard n'était autre que saint Jean l'Évangéliste lui-même...

- Agence d'Attractivité de la Haute-Marne -
Consulter
image du object

TOUR SAINT-FERJEUX

Cette tour porte le nom d'un prieuré situé sur l'actuelle place Saint-Ferjeux et démoli en 1673. Elle a remplacé une première tour édifiée au milieu du XIVe siècle ; carrée et aux dimensions modestes, elle se révéla inadaptée aux progrès grandissants de l'artillerie. A la fin du XVe siècle, cet ouvrage fut arasé afin de laisser place à une nouvelle tour d'artillerie cylindrique. Première de ce type à avoir été construite à Langres, son parti est radicalement différent. Les murs sont très épais (jusqu'à six mètres), les deux salles voûtées sont équipées de huit casemates de tir et la terrasse sommitale accueillait des canons de gros calibre destinés à protéger le flanc sud des fortifications. Cette tour fut restaurée en 1844 par le Génie militaire qui reconstruisit le parapet et modifia le parement en remplaçant les bossages défectueux. Depuis 1989, la terrasse accueille une oeuvre du sculpteur néerlandais Eugène Van Lamsweerde, intitulée « L'air et les songes », en hommage au philosophe champenois Gaston Bachelard. Pour la petite histoire : En 1580, cette tour était équipée de 4 fauconneaux, 3 mousquets sur chevalets, 1 double fauconneau sur roue, 2 petites pièces de campagne sur affût et 1 mortier de cuivre. Le 29 juillet 1641, des soldats franc-comtois vinrent piller les faubourgs de Auges et des Franchises : on dut faire tirer les canons de Saint-Ferjeux pour les disperser. En 1856, le Génie construisit des murs de raccordement entre la citadelle et la ville. Une porte (la porte des Auges) fut construite et équipée d'un pont-levis (dispositif encore partiellement visible). Une dame (tourelle pleine placée sur le faîte d'un mur) interdisait le cheminement sur l'enceinte. A l'ouest de la tour Saint-Ferjeux se trouve la plus ancienne tour de Langres : la tour Rouge. Carrée et d'allure modeste, elle est maintenant rattachée à l'ancienne demi-lune « des Moulins ».Sa dénomination vient probablement de la couleur ocre de ses pierres. Elle date du milieu du XIVe siècle et comportait deux salles équipées d'embrasures (XVe siècle ?) encore partiellement visibles. L'AIR ET LES SONGES L'Air et les Songes est la troisième sculpture réalisée dans le cadre de la commande publique passée par I'Etat et la Région Champagne-Ardenne, en hommage au philosophe Gaston Bachelard. L'artiste Eugéne van Lamsweerde l'a située sur une des tours de Langres, la tour Saint-Ferjeux. C'est la seule sculpture de ce projet implantée sur un monument historique.

- Agence d'Attractivité de la Haute-Marne -
Consulter
image du object

STATUE ET PLACE DIDEROT

Langres, ville berceau du philosophe Denis Diderot Le Langrois le plus illustre est très certainement Denis Diderot, né en 1713 au n°9 de la place qui porte désormais son nom. Fils d’un maître coutelier renommé, il fit ses études au collège des Jésuites. Diderot grandit dans une famille de sept enfants, parmi lesquels Didier, futur chanoine ; Angélique, religieuse aux Ursulines et Denise, dite «sœurette», qui l’aidera à garder le lien avec le père et surtout avec le frère. Son père aurait souhaité qu’il rentre dans les ordres mais Denis ne suivra pas cette voie contrairement à son frère. À l’âge de 15 ans, il refuse la succession de son père et le siège canonial de son oncle, et part poursuivre ses études à Paris au lycée Louis-le-Grand. Lorsqu’il se détourne des ordres, son père lui coupe les vivres. Il est écrivain public et pratique différents métiers durant une quinzaine d’années. Pour vivre, il effectue des traductions de l’anglais vers le français. Auteur éclectique et prolixe, il va s'aventurer dans tous les genres : philosophie, roman, théâtre, critique d'art. Fustigeant l'intolérance et rejetant l'autorité de la morale traditionnelle, il luttera - avec d'autres - pour le triomphe de la Raison et l'universalité du bonheur humain. Son oeuvre magistrale et étonnamment moderne demeure l’Encyclopédie, véritable monument et victoire du savoir humain dont il sera maître d’oeuvre acharné durant plus de deux décennies (entre 1746 et 1766). Diderot et sa ville «Pour moi, je suis de mon pays» disait-il. Le Pays de Langres s’honore d’avoir vu naître cet homme qui prit place, avec Voltaire et Rousseau, parmi les figures emblématiques du Siècle des Lumières. Diderot ne reviendra dans sa ville natale qu’à 5 reprises. Trop petite pour lui, son ambition et son destin sont ailleurs. Auteur éclectique et prolixe, il va s’aventurer dans tous les genres : philosophie, roman, théâtre, critique d’art. Fustigeant l’intolérance, rejetant l’autorité de la morale traditionnelle, condamnant la torture, il luttera - avec d’autres - pour le triomphe de la raison et l’universalité du bonheur humain. Coeur ardent et esprit novateur, ses remarques sur Langres et les Langrois sont vives et contradictoires. Si, depuis la promenade de Blanchefontaine, ses yeux «errent sur le plus beau paysage du monde», il dit de ses compatriotes qu’ils « ont de l’esprit, de l’éducation, de la gaieté, de la vivacité et le parler traînant, ils ont des livres, ils lisent et ne produisent rien »… La place Diderot L'ancienne place Chambeau s'est longtemps adossée à la muraille du Bas-Empire. Avant le percement de l'actuelle rue Leclerc en 1612, l'ancien cardo gallo-romain – axe nord-sud ; actuelle rue Diderot – s'interrompait à cet endroit. En 1884, le centenaire de sa mort fut l'occasion de rebaptiser la place à son nom et de lui ériger une statue. Due à Frédéric Auguste Bartholdi, elle repose sur un socle énumérant les principaux collaborateurs du projet encyclopédique. DIDEROT en quelques dates : 5 octobre 1713 : Naissance dans la maison de la place Chambeau, n° 9 de l’actuelle place Diderot. 1723 – 1728 : Études au collège des Jésuites. Denis est un brillant élève. 1728 : Diderot quitte Langres pour Paris où il poursuit ses études et s’y installe définitivement. Diderot reste très attaché à sa famille et à son pays natal, qui exerce sur lui une mystérieuse attraction. Il y revient plusieurs fois, notamment en 1759, après la mort de son père. En 1770, il séjourne à Bourbonne-les-Bains. 1781 : Il offre à la Ville de Langres son buste en bronze, modelé par Houdon. 31 juillet 1784 : Mort de Diderot. DIDEROT, en quelques titres - L’Encyclopédie - Les Lettres à Sophie Volland - Les Pensées Philosophiques - La Lettre sur les Aveugles - Pensées sur l’interprétation de la nature - La Religieuse - Essais sur la peinture et Salons - Le Neveu de Rameau - Le Paradoxe sur le Comédien - Jacques le Fataliste

- Agence d'Attractivité de la Haute-Marne -
Consulter

Information complémentaire

Contact

Email : langres@attractivite52.fr
Téléphone : 03 25 87 67 67

Notes et avis

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾