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À voir autour

SUR LA VOIE DES GALLO-ROMAINS

Carte du circuit vélo sur la Voie des Gallo-Romains
Crédit : Office de Tourisme du Pays de Langres

Description

9h : Je descends le plateau pour rejoindre le canal entre Champagne et Bourgogne situé en contrebas. Je longe l'ouvrage jusqu'à Rolampont où, après une petite pause en bord de Marne, je suis la route qui me mènera aux fameux vestiges archéologiques. J'arrive à Faverolles et décide de visiter le musée archéologique où sont exposées les trouvailles du mausolée gallo-romain que je trouverai sur ma route un peu plus loin. Une fois la visite terminée, je décide de pique-niquer sur les tables prévues à cet effet juste devant le musée. Après m'être restauré je reprends la route en direction du site archéologique du mausolée gallo-romain. Là, un parcours de visite m'attend via les bornes thématiques qui jalonnent le site au beau milieu de la forêt. Je repars et traverse la campagne haut-marnaise avant de faire une dernière pause au lac de la Mouche. Je termine enfin ma journée en douceur en suivant la voie verte.

Informations techniques

Vélo route
Difficulté
Moyen
Durée
2h45mn
Dist.
50 km
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Profil altimétrique

Point de départ

LANGRES
Lat : 47.858864Lng : 5.33263

Points d'intérêt

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ARC GALLO-ROMAIN

Bâti une trentaine d'années après la conquête de la Gaule par Jules César, cet arc monumentalisait le principal accès d'Andematunnum – la Langres antique – du côté ouest. Orienté de telle manière que la voie venant de Reims pénètre directement dans la cité, c'est le plus ancien édifice langrois conservé. Inadapté à une mise en défense efficace, cet arc s'est trouvé incorporé dans les premières fortifications à la fin du IIIe siècle ; son double accès fut probablement condamné à la même époque, au profit de la porte de l'Hôtel de Ville. En raison de son angle saillant sur l'enceinte, il fut transformé en tour couverte, équipé d'un corps de garde et d'embrasures de tirs percées dans la frise. Jusqu'au milieu du XIXe siècle, une bâtisse s'appuyait contre l'arc. A l'instar des autres parties de l'enceinte, le Génie militaire expropria définitivement ces maisons lors des travaux de restauration qui occasionnèrent le rétablissement de la corniche couronnant l'édifice. Pour la petite histoire : En 1845, en raison des travaux du Génie, un projet de déplacement de cet arc fut étudié par la Ville et approuvé par la Préfecture. Suite à l'intervention de la Société Historique et Archéologique de Langres, cette perspective fut écartée ; le Préfet proposa même d'en rouvrir les arcades « s'il était possible ». La corniche de cette porte a été restaurée en 1854 par Eugène Millet, élève de Labrouste et de Viollet le Duc. Au grand dam des membres de la Société Historique et Archéologique de Langres qui avaient encouragé son classement (1846) et son entretien à l'identique, « une lourde corniche, d'un blanc éclatant, sans sculpture, écrase et dégrade à jamais l'Arc de Triomphe de Langres ». Une marque oblique coupant les deux pilastres gauche atteste de la présence d'une maison dont la toiture venait s'appuyer sur la porte. Jusqu'au milieu du XIXe siècle, de nombreuses bâtisses étaient installées au pied des fortifications à tel point que certaines courtines n'étaient plus visibles. Le Génie expropria définitivement ces maisons aux allures de masures.

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SITE DU MAUSOLEE GALLO-ROMAIN DE FAVEROLLES

Le sentier de découverte permet d'admirer la voie romaine, mais aussi les carrières, les restes d'un four à chaux, la reproduction du mausolée au 1/4 de sa hauteur, la maison forestière, la fontaine de la demoiselle... Situé en forêt, à l'extérieur du village, le site archéologique où furent découverts les vestiges du mausolée de Faverolles, offre une agréable promenade entre histoire et nature. Sur 2 km, le sentier de découverte ombragé distille des panneaux explicatifs, qui permettent au promeneur d'imaginer l'aspect de cette colline voici plus de 2000 ans, lorsque le somptueux mausolée gallo-romain s'élevait fièrement à son sommet. L'enclos funéraire entourant le monument, les chariots des marchands venant de Langres « Andemantunum » et empruntant la voie romaine, les carrières de pierres, le four à chaux, l'ancienne charbonnière, la source, la tranchée dans la colline, la maquette du monument, le lapiaz... c'est toute l'histoire archéologique et géologique du site qui se dévoile... Pour les plus curieux, des commentaires audio détaillés sont également disponibles sur Smartphone. Au fil de la promenade, flashez les QR-codes que vous rencontrerez sur les panneaux et les balises pour déclencher les pistes audio. Une visite au cœur de l'histoire grâce aux nouvelles technologies... Amateurs de grand air ? Equipez-vous de bonnes chaussures et d'une bouteille d'eau pour partir à la conquête du sentier de randonnée qui relie Faverolles à la tuffière de Rolampont. L'occasion de découvrir deux sites hors du commun, lors d'un parcours de 11 km. L'ensemble du circuit qui traverse villages et forêts, bénéficie également de pistes audio disponibles sur Smartphone. Après le musée et le site archéologique de Faverolles, ce petit coin de verdure n'en finit pas de conter son histoire : bornes gravées en forêt, tuffière de Rolampont, marais tufeux, faune, lectures de paysage, légendes et traditions, rivière la Suize... Une journée riche en découverte... Circuit de randonnée disponible sur l'application gratuite ID-Vizit ! Véritable compagnon personnel de voyage, ID-Vizit vous propose des parcours de visites personnalisés, ludiques et interactifs ! Visite ludique du site du mausolée également disponible sur l'application Id-Vizit (téléchargement gratuit) : Pars avec Sergius à la découverte du mausolée de Faverolles. Les 2 km du sentier d’interprétation te feront découvrir les différents sites qui entourent ce monument. Presque toutes les réponses se trouvent sur les panneaux, donc pas de panique ! Il te suffit de lire les explications et tu pourras devenir un vrai chercheur faverollais ! Sous la forme de quiz, de puzzles ou encore d'étapes géolocalisés tu découvriras les différents aspects du mausolée ainsi que la vie au temps des gallo-romains. Tous les mercredis des vacances scolaires, Segusia vous propose une visite du musée le matin, des ateliers (différents) l'après-midi de 14h30 à 16h30. Ces ateliers sont animés par lesz bénévoles de l'association ou des artistes et artisans locaux et s'adressent aux personnes de 6 à 99 ans. Inscription obligatoire

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LAC DE LA MOUCHE

Le lac de la Mouche est retenu par un barrage de 410 m de long construit en semi-viaduc entre 1881 et 1890. On peut aisément faire le tour de ce lac de 94 ha, à pied ou en VTT lors d'une balade de 7 km. On peut y admirer les reflets des villages de St-Ciergues et Perrancey ainsi que les forêts qui le dominent. Randonnée disponible sur l'application gratuite Id-Vizit ! Véritable compagnon personnel de voyage, Id-Vizit vous propose des parcours de visites personnalisés, ludiques et interactifs ! + d'info sur Id-Vizit Circuit ludique également disponible sur l'application Id-Vizit : Le lac de la Mouche et les légendes sous-marines Ensemble, nous allons découvrir le lac, toi sur le chemin de randonnée, et moi en dessous de l'eau. Ce lac est connu pour être le plus naturel des 4 lacs du Pays de Langres. Au printemps, d'avril à juin, ces eaux sont d'une clarté qui nous permet de plonger au fond ! Regarde bien, peut-être verras-tu les bulles de nos amis plongeurs venu eux aussi profiter de la visibilité qu'offre ce lac. Le milieu sous-marin est vraiment à part tu sais, lorsque nous plongeons, nous pensons aux légendes et à leurs monstres tous plus bizarre les uns que les autres. Mais connais-tu toutes ces histoires ? Pour les spécialistes de nature : Le lac de Saint-Ciergues, ou réservoir de la Mouche, fait partie des quatre retenues artificielles du pays langrois créées à la fin du 19° siècle et destinées à assurer la navigabilité du canal de la Marne à la Saône en été. Ses eaux eutrophes occupent le fond d'une vallée encaissée du Plateau de Langres, ce qui a induit une inclinaison relativement importante des berges du lac (jamais inférieure à 5%). Ce biotope est caractérisé par son niveau d'eau très variable selon les moments de l'année en fonction des besoins du canal (assez bas en fin d'été et en automne). La végétation : Ces conditions particulières favorisent une végétation spéciale, stabilisée depuis fort longtemps et qui est fonction du gradient d'humidité : une végétation immergée avec notamment une algue du type "lustre-d'eau", assez rare car ayant tendance à régresser en eau polluée, une végétation amphibie et, à la charnière de ces deux groupements, le plantain d'eau à feuilles de graminée, espèce remarquable qui n'avait jamais été signalée en Haute-Marne jusqu'ici et qui s'avère abondante à Saint-Ciergues. Viennent ensuite les peuplements abondants de la laîche gracile et de la baldingère, très massifs sur les berges du lac et dominant l'aspect de la végétation riveraine, ils abritent une espèce rare, la germandrée des marais, inscrite sur la liste rouge des végétaux de Champagne-Ardenne, mais bien adaptée à l'inondation temporaire et qui présente ici des populations ponctuellement importantes. Une végétation "prairiale" résistante à la pression mécanique des vagues et à l'inondation hivernale se situe sur la partie supérieure des berges (avec l'ail anguleux, espèce rare protégée en Champagne-Ardenne), relayée par une végétation à hautes herbes plus nitrophile au niveau de la limite de l'extension maximale des eaux. Les deux ruisseaux principaux de réservoir de la Mouche ainsi que la douzaine de ruisselets qui coulent sur son pourtour permettent le développement d'une végétation amphibie spécilisée, liée aux eaux courantes. La faune : L'avifaune y est bien représentée bien que moins abondante que dans certains autres réservoirs de la région (peu de zones d'atterrissement et de vasières). Le plan d'eau attire néanmoins de nombreuses espèces d'oiseaux migrateurs ; avec l'automne arrive des oiseaux d'eau dont une partie hivernera sur place : foulques, canards, grèbes, tadornes, sarcelles et fuligules. Des grèbes castagneux et des foulques macroules se reproduisent ici. La roselière dissimule la nidification de certains patits passereaux et différents rapaces fréquentent le site. Ainsi, près d'une soixantaine d'espèces ont été répertoriée, dont 34 protégées et certaines inscrites sur les listes rouges nationale, régionale, ou de la Directive Oiseaux. Par ailleurs, le plan d'eau est un site important pour la reproduction des batraciens et notamment des grenouilles. L'état de conservation de la ZNIEFF est bonne, on peut regretter ici la prolifération des feux (qui se concentrent dans la prairie piétinée inondable) qui détruisent des surfaces non négligeable d'une végétation intéressante, ainsi que la surfréquentation estivale du réservoir qui entraîne une forte dégradation, par le piétinement et le stationnement des véhicules, des berges et des ceintures végétales situées à proximité des routes goudronnées.

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COLOMBIER DU CHATEAU « CHAMPENOIS » A MARAC

La visite du colombier au lieu-dit « la basse-cour », nous montre que nous sommes sur l'emplacement de la ferme médiévale (disparue) du château champenois qui la domine de l'autre côté de la Suize, dans la verdure. Il s'agit d'un colombier dit « de pied » qui a traversé avec bonheur la Révolution (alors que c'est généralement le premier symbole de la féodalité qui était détruit), lequel n'est probablement guère antérieur au XV-XVIe siècle, contrairement aux panneaux touristiques installés autour du village (« Colombier XIIe s. »). Ce colombier reste cependant d'un modèle médiéval, sans salle basse, avec les trous de boulins partant de la base des murs (d'où son nom de « colombier de pied ») représentant un total de 1491 boulins. Il correspond à un droit de colombage – ou privilège – du châtelain, qui doit être possesseur des cens de sa seigneurie ou de terres (en principe deux arpents par boulin selon la Coutume de Paris). On remarquera que les quelques rangées inférieures des boulins ont été fermées par un enduit lisse à une époque inconnue (soit 146 boulins obturés) ; sans doute pour éviter que les rongeurs ne viennent piller les nids ; un détail qui vient en complément du larmier extérieur (ou radière) placé à mi-hauteur, pour le même usage et de l'unique lucarne haute, orientée à l'Est, permettant l'envol des pigeons (avec volet fermant en période de semailles). Ce colombier a été entièrement restauré par l'office de tourisme d'Arc-en-Barrois entre 1982 à 1984 sous la présidence de Pierre Béguinot, infatigable restaurateur des souterrains de Beauvoisin près de Bugnières, mais qui n'en verra pas l'achèvement. La charpente fut réalisée par les Compagnons du Devoir dans leur atelier de Muizon près de Reims, recouverte au moyen de 9000 tuiles « gironnées » (taillées en sifflet). Pas de visite : site privé visible uniquement de l'extérieur.

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Information complémentaire

Contact

Email : langres@attractivite52.fr
Téléphone : 03 25 87 67 67

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Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾