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À voir autour

LANGRES A LA RENAISSANCE

Plan du circuit de visite de Langres - la Renaissance à Langres
Crédit : Agence d'Attactivité de la Haute-Marne

Description

Fruit d’un partenariat entre le service Patrimoine de la Ville de Langres et l’Unité Départementale de l’Architecture et du Patrimoine (UDAP), ce circuit de visite en 16 étapes évoque les profondes transformations urbaines opérées à la Renaissance dans la cité.
Au XVIe siècle, un profond mouvement de renouvellement artistique se met en marche dans toute la France. Dans le sillon des réalisations impulsées par le roi François Ier et sa cour, la mode est à la réinterprétation de l’Antiquité. L’architecture civile, religieuse et militaire est profondément remaniée pour adopter le goût de l’époque. A Langres, le paysage urbain se teinte de bâtiments Renaissance, tandis que les fortifications subissent de nombreuses adaptations encore largement en place aujourd’hui.
Par le biais de restitutions proposées par l’UDAP, de documents d’archives ou de visuels permettant d’évoquer des éléments inaccessibles ou disparus, ce circuit permet de se plonger dans l’environnement langrois du XVIe siècle.


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Informations techniques

Marche
Difficulté
Facile
Durée
2h
Dist.
5 km
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Profil altimétrique

Point de départ

LANGRES
Lat : 47.85877Lng : 5.33265

Points d'intérêt

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MAISON RENAISSANCE

Construite entre 1540 et 1550, cette maison est le plus bel exemple de l'architecture civile langroise de la Renaissance. Elle se compose de deux bâtiments, l'un sur rue, l'autre sur jardin, reliés par un couloir latéral. Organisé en empilement vertical, selon les fonctions des différents niveaux, cet immeuble comprend de bas en haut, une cave, un sous-sol et deux niveaux d'habitation. Côté jardin, la façade présente une composition géométrique simple : deux niveaux de colonnes ioniques et corinthiennes se superposent. Fortement marquées par des corniches, les horizontales viennent rompre la verticalité des colonnes et des fenêtres à meneaux. Appartenant à la renaissance classique, cette maison bourgeoise est par son décor, directement héritière de l'antiquité : frises avec motifs de draperies reliées par des anneaux et des bucranes, recherche du naturalisme avec grappes de fruits, palmettes et « choux bourguignons »... Depuis la cour, close par une balustrade en pierre, une porte permettait d'accéder directement à la salle des communs ou services, à semi enterrée. Voûtée d'arcs surbaissés, les cuisines conservent une grande cheminée et des espaces réservés au stockage des aliments. Dans la cour, les domestiques puisaient l'eau de pluie, récoltée dans l'élégante citerne couverte d'un petit dôme. Sur le côté de la façade, une porte en plein cintre ouvre sur un couloir qui traverse la maison pour relier la rue Cardinal Morlot, principal axe commerçant de la cité au XVIe siècle. Ce long couloir dessert les salles du rez-de-chaussée avec l'ancienne salle de réception, une petite cour intérieure, ainsi que l'escalier en vis qui distribue les étages et les sous-sols. Depuis les cuisines, on accède ensuite au niveau de caves plus anciennes. Datées du XIV ou XVe siècle et couvertes sur voûtes d'arêtes, elles présentent des chapiteaux sculptés à motifs végétaux, animaux ou humain, un puits... La Maison Renaissance tiendra une exposition sur l'architecture Renaissance en Pays de Langres. Accès libre à la cour permettant de voir la façade.

- Agence d'Attractivité de la Haute-Marne -
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MAISON DES LUMIERES DENIS DIDEROT

Inaugurée le 5 octobre 2013, l'ambition de la Maison des Lumières est de présenter Diderot mais aussi ses précurseurs, le mouvement des Lumières auquel il a participé et sa postérité. L'objectif est d'amener le visiteur à construire sa propre perception du XVIIIe siècle. Le parcours muséographique s'organise autour de plus de 250 oeuvres originales (peintures, sculptures, lettres manuscrites, objets...) qui donnent à découvrir Diderot, son siècle et son oeuvre majeure, l'Encyclopédie. Quatre grands thèmes sont abordés : « De Denis à Diderot » en écho aux années de formation du philosophe, « Denis Diderot, homme des Lumières », autour des idées et découvertes du siècle, « Diderot et les arts » : les Salons et la critique d'art, le théâtre, la musique... « l'Encyclopédie » Le parcours commence par l'évocation du contexte langrois et parisien des premières années de Diderot, puis s'intéresse à la France du XVIIIe siècle pour prendre finalement une dimension internationale avec le voyage du philosophe en Europe et en Russie. L'évocation de l'Encyclopédie à la fin du parcours permet de donner l'importance qu'elle mérite à cette oeuvre qui occupa une trentaine d'années de la vie de Diderot, entre 1746 et 1776. Cette section permet d'aborder la fabrication matérielle de l'Encyclopédie, mais aussi son contenu à travers différents exemples de métiers décrits dans l'ouvrage (coutellerie, faïencerie...). Elle permet de rendre hommage aux quelque 200 auteurs qui ont collaboré à l'écriture des 35 volumes qui la composent avec les suppléments (21 volumes de textes, 12 de planches et 2 de tables). La Maison des Lumières Denis Diderot présente des oeuvres et des documents liés à Diderot et au XVIIIe siècle, issus des collections de la Ville de Langres. C'est donc à Langres et nulle part ailleurs que l'on pourra découvrir de véritables trésors. HOTEL VALTIER DE CHOISEUL DIT DU BREUIL DE SAINT-GERMAIN Monument Historique - Fin du XVIe siècle. En 1576, Sébastien Valtier de Choiseul acquiert une vaste parcelle et y fait édifier un hôtel particulier. Le corps de logis pourvu d'une échauguette surplombant la place reçoit un soubassement en bossages. Le parti de la façade sur cour est symétrique : le décor est essentiellement concentré sur la porte qui reçoit une pléthore de thèmes maniéristes très en verve à la fin du XVIe siècle. Bossages piquetés ou en pointe de diamant, colonnettes enguirlandées, cornes et vases d'abondance, fronton cintré et mufles de lions contribuent à agrandir la porte aux dimensions modestes. Vers 1770, Philippe Profilet de Dardenay transforme l'aile perpendiculaire et la dote d'une nouvelle façade reprenant les proportions de l'aile Renaissance. Un avant-corps central est souligné par un léger décrochement, une porte-fenêtre, un oculus et un fronton. Le décor est complété par deux guirlandes de fleurs, deux bustes sur consoles et un médaillon en terre cuite représentant peut-être le propriétaire de l'époque. C'est à la même époque que l'hôtel reçoit son mur de clôture et son portail. Au XIXe siècle, la famille Du Breuil de Saint-Germain rajoute les lucarnes, provenant d'autres édifices de la Renaissance.

1, place Pierre Burelle 52200 LANGRES
- Agence d'Attractivité de la Haute-Marne -
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TOUR DE NAVARRE

Cet ouvrage est situé sur un terrain, le champ de Navarre ; actuel camping, ayant appartenu aux comtes de Champagne, également rois de Navarre. Il s'agit de la tour d'artillerie la plus monumentale ; son diamètre de 28 mètres, sa hauteur de 20 mètres et sa vingtaine d'embrasures de tir réparties sur quatre niveaux en font un ouvrage hors du commun. Ses murs atteignant 7 mètres d'épaisseur protègent deux salles puissamment voûtées et casematées. L'artillerie de sa terrasse devait protéger le plateau en avant de la porte des Moulins. Quasiment achevée en 1515 après seulement quatre années de travaux, elle fut rehaussée de 2,5 mètres afin d'accroître la portée des canons installés sur sa terrasse. Cette transformation en cours de construction entraîna la pose d'un second niveau de gargouilles et la réalisation d'une nouvelle tour la tour d'Orval protégeant une rampe d'artillerie en spirale. Celle-ci pouvait acheminer les canons au sommet de la tour de Navarre à l'abri des tirs ennemis. En 1825, le Génie militaire transforma cette tour en poudrière. Une charpente conique fut alors construite afin de protéger les salles inférieures des infiltrations. Dans son écrin de pierre grandiose, ses salles voûtées et casematées, sa terrasse couverte d'une charpente monumentale, la Tour de Navarre accueille aujourd'hui un parcours de visite ludique et pédagogique pour petits et grands. Grâce à un audio-guide, aux écrans vidéo et aux bornes interactives, vous découvrirez cet ensemble défensif unique du XVIe siècle, inauguré par François 1er en 1521. Par des jeux de lumières, la tour s'anime pour vous conter les légendes de Langres, l'histoire de ses fortifications au fil des siècles et au travers de l'Encyclopédie de Denis Diderot. Un voyage insolite, au coeur d'une architecture inoubliable. Visite groupe : Toute l'année sur demande. Apprendre en s'amusant... Pour attiser la curiosité des plus jeunes, l'imposante Tour de Navarre se découvre à présent grâce à un jeu de piste. Suivant l'âge des enfants, pour les 6-9 ans ou les 9-12 ans, deux feuillets au choix proposent d'apprendre en s'amusant. Livret en main, les enfants accompagnés de leurs parents devront parcourir les différents niveaux de cette tour d'artillerie, pour résoudre les énigmes de Choupette la chouette et de Martin le diablotin. Et si ils ouvrent bien l'oeil, ils sauront dénicher parmi les blasons, chauve souris, acrobate et autres habitants de la Tour, ces étranges sculptures. Après le livret « Sherlock le petit détective » qui permet aux enfants de parcourir la ville à la recherche d'animaux mystérieux, la chasse au trésor se poursuit dans la cité forteresse ! Feuillets au tarif de 0,5 € pour les enfants en famille. Pour la petite histoire : Le 9 juin 1643, le sieur Demongeot, garde de la tour de Navarre, fait tirer les canons de celle-ci à dix-huit reprises sur des ennemis s'étant aventurés près de la ville ; afin de parer à toute nouvelle éventualité, il demande de la poudre et des boulets car il a « employé tout ce qui estoit dans la dicte tour ». Le 30 juin 1809, Guillaume Guérinot obtient un bail de neuf ans pour établir dans cette tour une fabrique d'acide sulfurique et de sulfate de fer. Sous l'Ancien Régime, le champ de Navarre (actuel camping) accueillait le « jeu de l'Arquebuse ». Ce concours de tir était organisé par les « Chevaliers de l'Arquebuze », sorte de club regroupant les adeptes de cette pratique à caractère militaire. Ceux-ci se rendaient jusqu'au champ de Navarre « soubz les armes, tambour battant, enseigne déployée » ; la cible (un oiseau en métal) était exposée au bout d'un bâton au sommet de la tour d'Orval. Le vainqueur du concours (le premier qui abattait l'oiseau) était déclaré « roi de l'Arquebuze » ; abattre la cible trois années consécutives donnait droit au titre d' « empereur ». Ces titres honorifiques s'accompagnaient de privilèges non négligeables : exemptions de garde, d'octroi sur l'entrée des vins.

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TOUR DU PETIT-SAULT OU DU MARCHE

Cette tour d'artillerie en forme de U et aux flancs allongés était destinée à contrôler l'angle nord-ouest de l'enceinte et la route de Paris passant à ses pieds. Dotée d'énormes embrasures et de murs dont l'épaisseur atteint sept mètres, ses dispositions intérieures épousent la déclivité du terrain. Les deux salles aux voûtes puissantes sont reliées entre elles par un escalier monumental et supportent une vaste terrasse d'artillerie. Les parements extérieurs décorés de bossages et équipés de gargouilles viennent rehausser le relief et l'accroche esthétique de la tour. Profitant des travaux occasionnés par la construction d'un tel édifice, la Chambre de Ville obtint le creusement d'un puits public initialement pourvu d'une margelle. Naturellement défendue par des pentes abruptes, cette partie de l'enceinte ne requérait pas une telle surabondance de moyens. Composition particulièrement habile, impressionnante et surdimensionnée, cet ouvrage met en scène la vocation militaire de Langres au début du XVIe siècle. Pour la petite histoire : Le 1er août 1589, un affrontement opposa un corps d'armée royale (700 cavaliers et 1 000 fantassins) à une armée ligueuse de plus de 7 000 hommes. Après un violent accrochage d'une heure et demie et malgré leur supériorité numérique, les Ligueurs durent battre en retraite et abandonner l'espoir d'assiéger la ville restée fidèle au roi. Lors des épidémies de peste, les malades étaient le plus souvent conduits hors de la cité : beaucoup trouvaient refuge à Brevoines, au lieu-dit Saint-Sauveur, dans des cabanes de fortune incendiées après leur décès.

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TOUR SAINT-JEAN OU SAINT-GENGOULPH

Construite sur un éperon rocheux, la tour saint Jean ou saint Gengoulph vient compléter et moderniser l'enceinte fortifiée de Langres. Contemporaine de la barbacane de Longe-Porte, cette tour doit son nom à la proximité de l'ancien prieuré Saint-Gengoulph aujourd'hui disparu. Edifiée vers 1537, c'est la dernière des quatre tours d'artillerie de la ville, commandée par le roi de France afin de protéger la frontière Est du royaume. Sa structure est plus simple que ses devancières et son originalité tient dans le fait qu'elle ne comporte aucune ouverture de tir en façade. Ce front aveugle forme un bouclier frontal demi cylindrique de 7,5 mètres d'épaisseur. A l'intérieur, l'unique salle voûtée comporte deux casemates de tir latérales qui servaient à flanquer les courtines. La puissance de feu de l'ouvrage était renforcée par la terrasse équipée d'embrasures. Le parapet de sa terrasse était percé sur la gauche et la droite pour placer les canons destinés à protéger les ouvrages défensifs voisins. En 1882, un pigeonnier militaire, au style néo-médiéval, fut aménagé sur la terrasse de la tour. Les pigeons voyageurs étaient utilisés comme moyen de communication entre les places fortes frontalières. Les messages étaient photographiés sur films spéciaux de 6 cm², agrandis et déchiffrés par projection. Ce moyen de transmission était d'une grande efficacité : en effet, un pigeon voyageur peut voler à la vitesse de 60 à 100 km /h et parcourir, par exemple le trajet Langres- Besançon en 80 minutes. Ce système a fonctionné jusqu'au début de la première guerre mondiale. Pour la petite histoire : En 1580, un inventaire d'artillerie nous apprend que cette tour était équipée : d'une pièce moyenne de campagne, de 2 fauconneaux sur affûts, de 2 arquebuses à croc. Mais en tout, ce sont plus de 130 armes à feu de tout calibre qui se trouvaient en permanence dans les ouvrages, sans compter l'artillerie entreposée dans les arsenaux. En 1567, on y trouve 16 canons, 23 arquebuses, plus de 6 tonnes de poudre et un millier de boulets. Ces armes n'ont pas été conservées ; dès la fin du XVIIe siècle, le pouvoir royal désarme la ville qui n'est plus sur les frontières. Au XVIIIe siècle, seules subsisteront des armes portatives et quelques canons périmés destinés à assurer la défense policière et non plus militaire de la cité.

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PORTE DES MOULINS

Cette porte doit son nom aux anciens moulins qui se trouvaient à l'extérieur des fortifications afin de profiter du vent (le « bel'air » qui a donné son nom à la place). Elle fait partie des fortifications bastionnées construites entre 1642 et 1647 au sud de l'enceinte urbaine. Le décor guerrier évoque le dénouement victorieux qui s'annonçait alors pour la France, engagée dans la guerre de Trente Ans face à l'Espagne. Trophées d'armes, casques empanachés et ennemis enchaînés font de cette porte un monument à la gloire des victoires de la royauté, une sorte de porte triomphale évoquant les lointains arcs de triomphe romains. Martelées à la Révolution, les armoiries du souverain étaient d'ailleurs placées au centre du fronton. Initialement dotée d'une porte charretière encadrée de deux accès piétons, elle fut transformée en 1855 par le Génie militaire, qui y substitua deux passages charretiers et supprima les ponts-levis. Ancienne porte des Moulins (entrée rue Diderot) Détruite Porte principale de l'enceinte sud construite au milieu du XIVe siècle, la porte dite « du Moulin-à-Vent » exista jusqu'à sa démolition en 1857. Trois siècles durant, elle coexista avec l'actuelle porte des Moulins bâtie plus au sud en 1647. Sous la forme d'une tour quadrangulaire équipée d'une ouverture en arc brisé et d'un corps de garde, elle ouvrait sur l'ancien cardo maximus de la cité gallo-romaine (actuelle rue Diderot). Cet axe nord-sud constitue depuis cette époque l'axe majeur de Langres. Elle est principalement bordée de demeures du XVIIe et du XVIIIe siècle, le plus souvent dotées d'aménagements commerciaux en rez-de-chaussée.

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TOUR SAINT-FERJEUX

Cette tour porte le nom d'un prieuré situé sur l'actuelle place Saint-Ferjeux et démoli en 1673. Elle a remplacé une première tour édifiée au milieu du XIVe siècle ; carrée et aux dimensions modestes, elle se révéla inadaptée aux progrès grandissants de l'artillerie. A la fin du XVe siècle, cet ouvrage fut arasé afin de laisser place à une nouvelle tour d'artillerie cylindrique. Première de ce type à avoir été construite à Langres, son parti est radicalement différent. Les murs sont très épais (jusqu'à six mètres), les deux salles voûtées sont équipées de huit casemates de tir et la terrasse sommitale accueillait des canons de gros calibre destinés à protéger le flanc sud des fortifications. Cette tour fut restaurée en 1844 par le Génie militaire qui reconstruisit le parapet et modifia le parement en remplaçant les bossages défectueux. Depuis 1989, la terrasse accueille une oeuvre du sculpteur néerlandais Eugène Van Lamsweerde, intitulée « L'air et les songes », en hommage au philosophe champenois Gaston Bachelard. Pour la petite histoire : En 1580, cette tour était équipée de 4 fauconneaux, 3 mousquets sur chevalets, 1 double fauconneau sur roue, 2 petites pièces de campagne sur affût et 1 mortier de cuivre. Le 29 juillet 1641, des soldats franc-comtois vinrent piller les faubourgs de Auges et des Franchises : on dut faire tirer les canons de Saint-Ferjeux pour les disperser. En 1856, le Génie construisit des murs de raccordement entre la citadelle et la ville. Une porte (la porte des Auges) fut construite et équipée d'un pont-levis (dispositif encore partiellement visible). Une dame (tourelle pleine placée sur le faîte d'un mur) interdisait le cheminement sur l'enceinte. A l'ouest de la tour Saint-Ferjeux se trouve la plus ancienne tour de Langres : la tour Rouge. Carrée et d'allure modeste, elle est maintenant rattachée à l'ancienne demi-lune « des Moulins ».Sa dénomination vient probablement de la couleur ocre de ses pierres. Elle date du milieu du XIVe siècle et comportait deux salles équipées d'embrasures (XVe siècle ?) encore partiellement visibles. L'AIR ET LES SONGES L'Air et les Songes est la troisième sculpture réalisée dans le cadre de la commande publique passée par I'Etat et la Région Champagne-Ardenne, en hommage au philosophe Gaston Bachelard. L'artiste Eugéne van Lamsweerde l'a située sur une des tours de Langres, la tour Saint-Ferjeux. C'est la seule sculpture de ce projet implantée sur un monument historique.

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Information complémentaire

Contact

Email : langres@attractivite52.fr
Téléphone : 03 25 87 67 67

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Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾