La Garenne - PR N°9

Niché au cœur d'un des plus beaux domaines forestiers de France, venez découvrir le golf d'Arc-en-Barrois et son parcours de 9 trous imaginé par Jean Garaialde. D'une grande diversité technique avec ses 2 étangs et sa rivière, il séduira tous les golfeurs, débutants ou confirmés qui pourront jouer leur meilleur golf dans un cadre naturel préservé. Le club house vous accueillera chaleureusement et vous fera découvrir cette magnifique région. Longueur du parcours : 2974m x 72.

Le prince de Joinville fit construire la Glacière ovoïde de 8,5 mètres de haut en pierre de taille en 1873. Cet énorme œuf en maçonnerie, enterré, servait à stocker la glace prélevée sur l'étang du château. Propriété privée, pas de visite intérieure possible.

Suite à plusieurs épidémies, le Parlement vote la loi du 3 février 1851 qui accorde un crédit spécial aux communes pour subventionner à hauteur de 30 % la construction des lavoirs couverts. Le 12 mai 1852, le conseil municipal vote la somme de 705, 40 francs pour la construction d’un lavoir. Le lavoir de Cour-l’Evêque a la particularité d’avoir une avancée de toit vers la rivière qui protégeait les lavandières de la pluie. Il est pourvu de deux niveaux de lavage en fonction de la montée des eaux.

En 1859, la production des gants devient massive et il est vite nécessaire de sous-traiter la fabrication dans les villages de la région. Pendant 100 ans environs, 5000 femmes coudront des gants. Dès 1851, les couturières, les lingères et les gantières sont plus de vingt à Cour -l’Evêque. Vers 1861, une trentaine de gantières du village travaille à domicile. Cette activité intense permet l’installation d’un atelier dans cet ensemble de maisons. Dans le village, les ouvrières sont nombreuses, mais tous les matins, il en vient aussi à pied de Coupray et d’Arc-en-Barrois. La ganterie sera en activité pendant 60 ans environ et disparaîtra pendant la 1ère guerre mondiale.

En 1608, Jean Lebon, laboureur de Montrot, découvrit une statue de la Vierge à l'enfant en creusant sous une touffe d'herbe que son boeuf broutait chaque jour. Une source jaillit à cet endroit. Messire Pierre Labelle, curé d'Arc en Barrois, y fit dresser une croix et plaça la statue dans une niche. Des guérisons s'opérèrent dont celle de Claude Bordet d'Arc qui fit ériger une chapelle en 1727.