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À voir autour

FAYL-BILLOT : JARDIN DES PLAISIRS

Carte du circuit vélo du Jardin des plaisirs
Crédit : Cartographie ACTUAL

Description

Ce circuit de 77 km traverse les paysages vallonnés de la Mance et de l’Amance. Vous découvrirez tout au long de votre parcours les richesses du terroir, pour le plaisir du palais : fromages, confitures, vignoble des coteaux de Coiffy.
Coiffy-le-Haut, Varennes-sur-Amance, Montlandon... de nombreux villages pittoresques, perchés sur des promontoires vous offriront de très beaux points de vue, pour le plaisir des yeux. Pensez aussi au plaisir de la chair en jetant votre obole dans la source de la chapelle Saint Gengoulph, patron de l’infidélité... Enfin, de retour à Fayl Billot, vous visiterez les ateliers artisanaux des vanniers, pour le plaisir d’offrir...

Informations techniques

Vélo route
Difficulté
Difficile
Durée
7h
Dist.
74 km
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Profil altimétrique

Point de départ

FAYL-BILLOT
Lat : 47.782589Lng : 5.600981

Points d'intérêt

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EGLISE NOTRE-DAME-EN-SA-NATIVITE DE COIFFY-LE-HAUT

Le domaine de l'église de Coiffy-le-Haut appartenait primitivement à la famille de Choiseul puis à celle de Nogent et, en 1104, Renier II de Nogent le donna au prieuré de Varennes. Ce dernier s'associa en 1250 au comte de Champagne qui y construisit une forteresse. Cette époque fut le point de départ du village dont les dîmes étaient prélevées par le prieur de Varennes. L'église Notre-Dame-en-sa-Nativité comporte un choeur daté de 1420 et le reste de l'église fut incendié en 1638 par des comtois et des lorrains. La tour du clocher fut reconstruite en 1762 et la nef élargie lors de la reconstruction de l'église en 1855 (une inscription en latin sous le porche rappelle ces étapes de construction). |L’église est un édifice de plan allongé en grès, qui comporte une nef à trois vaisseau de six travées est précédée d'une tour-porche. Cette dernière est accostée de deux chapelles et couronnée d'un toit à l'impériale couvert de zinc et surmonté d'un campanile. L'escalier en vis est ménagé dans la pile sud-est du clocher. Les trois vaisseaux de la nef sont couverts par un toit unique. Le choeur se compose de deux travées droites et d'une abside à trois pans. La dernière travée droite et l'abside sont couvertes d'une voûte d'ogives à six quartiers. Il est encadré par deux sacristies (la sacristie principale est au sud). Des chapelles sont accolées contre les murs de la première travée du choeur mais s'ouvrent également sur les collatéraux.

- Agence d'Attractivité de la Haute-Marne -
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CHAPELLE NOTRE-DAME-DE-PRESLES DE MARCILLY-EN-BASSIGNY

A 5 km du village, entourée de bois, Notre-Dame-de-Presles est une chapelle gothique homogène du début du XIVe siècle, qui aurait été construite par le chapitre cathédral de Langres, en grande partie bénéficiaire des revenus des terres de Marcilly. Constitué de trois travées et doté d'un chevet plat, l'édifice a la particularité de posséder sous son choeur une crypte voûtée en berceau brisé, où jaillit une source. En cet endroit se déroulait autrefois un pèlerinage très fréquenté. On venait de loin vénérer la statuette et la source réputée miraculeuse. Mais l'intérêt de la chapelle réside surtout dans ses peintures murales, datées elles-aussi du XIVe siècle. Sur les voûtes, des anges gracieux, au sourire paisible, portent l'écu du roi de France et de l'Evêque de Langres. Dans le choeur, le Christ assis sur un arc en ciel est accompagné de Saint Jean et certainement de la Vierge (effacée). A leurs côtés, des anges sonneurs de trompette semblent annoncer le jugement dernier. D'autres peintures malheureusement effacées se devinent encore par endroits : frises géométriques, personnages... Classée Monument Historique le 9 juillet 1909. Une légende raconte son origine... Dans des temps lointains, un pâtre qui s'en allait régulièrement mener son troupeau dans le vallon de Presles, remarqua que l'un de ses boeufs mangeait sans cesse au même endroit et que l'herbe y repoussait pourtant très rapidement. Intrigué, il se mit à creuser et découvrit une statue de la Sainte Vierge portant l'Enfant Jésus. Transportée dans l'église du village, elle disparu et se retrouva par trois fois à l'endroit de sa découverte. On comprit alors que la sainte désirait être honorée dans ce lieu isolé ; c'est pourquoi on bâtit la chapelle et on organisa un pèlerinage. Ce pèlerinage est favorable, dit-on, aux époux souhaitant avoir un enfant. Visite disponible sur l'application gratuite Id-Vizit ! Véritable compagnon personnel de voyage, Id-Vizit vous propose des parcours de visites personnalisés, ludiques et interactifs ! L'application vous propose de découvrir ce chef d'oeuvre isolé dans la campagne du Pays de Langres grâce à un plan intérieur sur lequel plusieurs étapes de visites vous sont compté : les peintures d’anges porteurs d’écus, les peintures du Christ, la statue de la Vierge Marie, l'inscription «Autel Privilégié», les plaques de reconnaissance, la crypte, la statue de la vierge à l’enfant et les anciens murs de la ferme voisine. + d'info sur Id-Vizit

- Agence d'Attractivité de la Haute-Marne -
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EGLISE SAINT-GENGOULF DE ROSOY-SUR-AMANCE

L'église Saint-Gengoulf est un édifice de plan allongé. La nef à trois vaisseaux de six travées est précédée d'un clocher-porche couronné d'une flèche polygonale en pierre. Son étage reçoit une tribune d'orgue et sa base est accostée de deux chapelles. La nef est suivie d'un choeur composé d'une travée droite suivie d'une abside à trois pans, le tout couvert d'une voûte d'ogives à six quartiers. La sacristie est située contre le mur sud du choeur. L'église Saint-Gengoulf fut reconstruite en 1600. En juillet 1823, l'entrepreneur Minguet dressa des plans afin de déplacer le clocher de croisée en avant de la nef. Le 14 mai 1859, l'architecte Henry Barbier dressa un devis puis des plans afin de reconstruire l'église dans le style de la première moitié du 13e siècle. D'après le devis, les nervures devaient être en pierre de Bugnières, les voûtes en tuf, la chaux de Hortes, le sable de Rosoy, les fondations et socle en pierre bleue de Rosoy, la pierre de taille serait prise à Rosoy, les piliers et chapiteaux à Grenant et la couverture serait en ardoise d'Angers. Les travaux furent terminés en 1864 et, Barbier étant décédé, c'est l'architecte Jules Girard qui fut chargé du décompte et de la réception des travaux. Le 2 mai 1865, Hannaire-Viard, architecte à Rosoy fut chargé de dresser un devis afin de terminer le clocher qui était alors élevé jusqu'au faîtage de la nef. Le devis, qui sera révisé deux fois l'année suivante, prévoyait l'emploi de pierre de taille provenant des carrières de Chevillon.

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Information complémentaire

Contact

Téléphone : 03 25 88 19 62

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Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾