Circuit VTT-VTC n°20 (rouge) Les Hauts de Servignat - Coq de Mantenay

Rendez-vous au cœur des paysages bressans pour une immersion découverte à la rencontre d'une terre patrimoine. Le bonheur est sur le chemin... les mains sur le guidon (VTT-VTC-VTTAE-Gravel) 28 circuits balisés de 6,2 à 53 km - 900 km balisésSituée au cœur de la Bresse et d’un espace entièrement dédié aux loisirs : La Base de loisirs de La Plaine tonique. Elle réunit sur un même site, un camping quatre étoiles, un espace aquatique, un restaurant et un lac dédié aux loisirs aquatiques et nautiques, une plage labélisée "Pavillon bleu". 140 hectares de verdure, entre lacs et rivière servent de décor à une visite à la journée, un court ou long séjour. Cinq lacs reliés les uns aux autres, avec plages, tables de pique-nique et barbecue, aires de jeux, une Maison des sports… un concentré de loisirs et de services. Le grand lac est le point de départ idéal pour partir sur les chemins de traverse et découvrir les paysages du bocage bressan. Terre des fermes bressanes si caractéristiques avec leurs cheminées sarrasines, c'est aussi le terroir de la célèbre volaille de Bresse mais aussi du beurre et de la crème AOP de Bresse. Longer la rivière Reyssouze c’est conjuguer patrimoine et nature, côtoyer moulins, prairies humides et gravières. La Bresse est aussi un pays d’étangs, celui de Pontremble, l’un des plus grands très fréquenté par les oiseaux migrateurs et celui de Bizadan, un Espace Naturel Sensible, marais au cœur de la forêt. Un mixte de chemins entre monts et vallées à la rencontre d'un territoire bocager parsemé des fameuses cheminées sarrasines typiques des fermes à colombage bressanes. Terre d'AOP volaille de Bresse, Beurre et crème de Bresse. 28 circuits balisés et 7 liaisons Sur place : - La location de VTT, VTCAE à la Maison des sports de la base de loisirs

Cette petite ferme se caractérise par un toit très pentu, couvert de tuiles plates, ainsi qu'en Bresse Bourguignonne. Pas étonnant si l'on considère la proximité de cette dernière…La mitre de sa cheminée sarrasine est en forme de clocher d'inspiration romane et est surmontée d'une croix en fer forgé. A l'intérieur, la hotte a été obstruée. La cheminée et la toiture sont inscrites MH depuis 1944. La poutre maîtresse du rez-de-chaussée est datée de 1505 mais une autre poutre, apparemment réemployée, est datée de 1453. Aujourd'hui, des bâtiments agricoles annexes plus ou moins récents jouxtent ce qui est encore la ""maison"". La ferme est toujours en activité.

Ferme Bressane avec cheminée sarrasine classée monument historique.Ferme-auberge, datant du 16ème siècle, partiellement reconstruite à l'identique par les architectes de France suite à un incendie en 1992, la bâtisse principale est classée monument historique et fait office de ferme auberge (2 salles de restaurant.) Visite réservée aux clients de l'auberge ses jours d'ouverture, le reste du temps, le bâtiment est en partie d'habitation privée.

Ferme bressane typique construite à la fin du 16e siècle. Venez découvrir la ferme dans son nouvel écrin avec un parcours de visite renouvelé et des animations tout au long de la saison.Coiffée de sa cheminée sarrasine, la Ferme de la forêt est un très bel exemple de l’architecture bressane traditionnelle illustré par sa construction à pan de bois et en torchis. Datée de 1581 et classée aux Monuments Historiques en 1930, elle se distingue par une admirable galerie à croisillon servant de balcon à l’étage. Autre particularité : le puits est équipé d'une double manivelle, rappelant que la ferme fut divisée entre deux sœurs dont l'entente était très peu cordiale ! Après d’importants travaux de restauration réalisés par Grand Bourg Agglomération, (re)découvrez un patrimoine unique grâce à son parcours de visite renouvelé : de l’alimentation aux techniques de construction, en passant par les activités agricoles, la vie quotidienne des Bressans au 19ème siècle résonne avec nos préoccupations d’aujourd’hui. Choisissez votre mode de visite ! - En autonomie : découvrez nos différents espaces de visite à votre rythme. - Multimédia : munissez-vous de votre téléphone ou empruntez nos tablettes ! Votre mission si vous l'acceptez : devenir agent spécial du patrimoine pour l'Agence Internationale de l'Energie Patrimoniale. Menez l'enquête et aidez l'agence à récolter toute l'essence patrimoniale du site ! - Visite commentée : suivez un de nos guides passionnés pour une visite d’1h : entre passé et présent, découvrez comment ce patrimoine unique et ses habitants peuvent nous inspirer encore aujourd’hui. Flânez autour du jardin potager, du verger avec ses variétés anciennes, des cultures de maïs et de chanvre. Des animations vous sont proposées tout au long de la saison. Du loisir créatif à l'architecture en passant par des activités scientifiques ou sensorielles, il y en aura pour tous les goûts ! Envie d'une petite pause ? Profitez de la terrasse ou du corner café ! Salés ou sucrés découvrez notre sélection de biscuits locaux et artisanaux. Sirotez une limonade ou un jus de fruit ou réchauffez-vous avec nos boissons chaudes 100% locales Boutique : un concentré d’originalité, d’artisanat et de local vous attend à la boutique de la Ferme de la forêt.

Aire de Saint-Trivier de Courtes. 9 emplacements au calme en plein coeur du village. Proche des commerces et des services. Wifi, eau, électricité et ramassages des ordures sur l'aire. Accès possible 24h/24 Partenaire du réseau Camping-Car ParkCette aire compte 9 emplacements. les animaux sont acceptés tenus en laisse (un canisite est à proximité vers le collège). Les caravanes ne sont pas autorisées. La réservation peut se faire avec une carte abonnement de la société Camping Car Park. L'aire est accessible aux Personnes à Mobilité Réduite.

Carronnière construite autour de 1850. C’est sous cette vaste halle que s’effectuaient la fabrication et la cuisson des « carrons » ou briques, mais aussi des tuiles. Elle a cessé son activité en 1925. Ses dimensions : 23 m x 16 m.Initialement implantée au lieu-dit Mollardoury, cette carronnière fût transférée en 1988 sur son espace actuel, près de l'ancien hôpital, à l’initiative des Bâtiments de France. On l’appelait « la tuilerie ». Les carrons de Saint-Trivier mesurait 28 à 29 cm de long sur 11 à 12 cm de large et 7 à 9 cm d’épaisseur. Les fours encore en bon état en 1972, se sont écroulés vers 1980. La technique de conception de ces fours apportait une très nette amélioration de la chauffe. Dans la partie restaurée, le hangar, on entreposait les briques ou les tuiles sur les rayonnages pour les faire sécher avant la cuisson. Le ""carron"" est un type particulier de brique, beaucoup plus épaisse et massive que la brique traditionnelle : 25 à 32 cm de long, 11 à 14 cm de large et 6,5 à 11,5 cm d’épaisseur. Nommé ""carron"" depuis des siècles, ce matériau a été privilégié dans la construction locale, à la fois pour sa résistance aux chocs et au gel, mais également pour sa fabrication facile et sa mise en œuvre rapide. Il est présent dans les soubassements des habitations rurales mais surtout dans l’architecture fortifiée. Les carronnières se présentent toutes de la même manière : très basses, des piliers en guise de murs, un toit qui descend pratiquement jusqu’à terre avec une charpente impressionnante et un four ! Installées sur les lieux même d’extraction, les carronnières étaient conçues pour être vagabondes, posées sur le sol, sans fondations. Le travail s’y déroulait en plusieurs étapes selon le nombre de tuiles ou de briques à fabriquer : il fallait d’abord récupérer la terre et la laisser sécher. Avec l’aide d’un cheval ou d’un boeuf attelé à une grande roue les mottes étaient écrasées. Venaient ensuite : - le mouillage pour avoir une pâte souple que l’on ajustait dans des moules à briques ou des formes à tuiles - le séchage dans le hangar de la carronnière. Cette opération prenait plusieurs semaines - le remplissage du four et la mise en cuisson, qui pouvait durer aussi de nombreux jours, refroidissement compris L’évolution des techniques de construction a conduit à la disparition des carronnières. On remarque de nombreux lieux-dits « la carronnière » ou « les carronnes » qui témoignent de ce passé pas si lointain.

Capitale de la Haute-Bresse, ancienne place forte des sires de Bâgé, seigneurs de la Bresse du Xe au XIIIe siècle, puis des comtes et ducs de Savoie, la cité actuelle présente de beaux vestiges de ce riche passé.La cité serait née d'une légende. En 539, le roi d'Austrasie Théodebert (petit fils de Clovis), revenant d'une expédition en Italie, prit des otages sur les territoires traversés. Deux jeunes riches Dombistes furent ainsi emmenés et éxilés dans le nord de la France. L'abbé de Wiserne, près de Thérouanne (Pas-de-Calais), les prit en pitié, les racheta et les fit reconduire dans leur famille par le moine Trivier. Mais au cours du voyage vers la Dombes, le trio se perdit dans une vaste forêt, dite ""la forêt Memphique"". Le moine fit alors une prière en demandant à Dieu de les aider ; un loup apparut alors et les ramena sur le bon chemin. En remerciement, la famille des otages donna au moine un lopin de terre, où il vécut en ermite et où il mourut saintement en 550 (cf. Saint-Trivier-sur-Moignans). Trivier et les deux jeunes s'étaient perdus dans les environs de Courtes, où un lieu de culte, placé sous le vocable du saint moine, y fut élevé par une Dame de Bâgé qui avait voué une dévotion profonde à ce saint. Ainsi fut construite la vieille église de Saint-Trivier qui s'élévait jadis dans le cimetière actuel et qui fut détruite vers 1700, remplacée comme paroissiale par la chapelle Notre-Dame. Cette dernière a malheureusement subi un incendie qui a ravagé la flèche du clocher en mars 2020. A voir également : la carronnière de Molardoury (cf. fiche), l'ancien hospice (dont les origines remontent au Moyen Age), la tour octogonale de la prison et les vestiges des remparts, l'Hôtel de Ville du XVIIIe s. (ancienne grenette ?), l'ancien collège et la maison de l'Arquebuse (XVIIIe s.), les maisons à colombages...