Des panoramas d’exception, sur le Larzac, le cirque de Tournemire et le village de Roquefort, couronnent cette randonnée sur les traces de la vie pastorale d’antanSuite à des éboulements, le sentier a été dévié vers la pointe du Combalou et emprunte maintenant un escalier.Depuis le parking de l’Office de Tourisme, monter par le sentier longeant le cimetière. Arrivé à la route goudronnée, tourner successivement à droite puis à gauche. Environ 300m plus loin, suivre l'embranchement en contrebas sur votre gauche pour arriver jusqu’à une fontaine (eau potable).Prendre le petit sentier qui monte à droite vers le plateau du Combalou.Arrivé à l'éboulis, monter à droite juste avant celui-ci et le traverser.À la sortie de l'éboulis continuer sur le chemin balisé qui rejoint un chemin dans les buis en courbe de niveau.Arrivé à la pointe du Combalou monter pour atteindre le rocher troué puis emprunter l'échelle-escalier.Une fois sur le plateau, se diriger vers l'Est en direction des antennes, puis suivre la piste et le sentier vous conduisant à la jasse (bergerie).Passer devant la jasse, puis le longer les falaises via le chemin dans la Pinède. En bout de plateau, vous entamez ensuite la descente vers le col des Aiguières.Prendre la direction de Roquefort et continuer tout droit pour passer au « Sotch de Balhols » (grande faille), puis descendre jusqu’à la chapelle Saint-Pierre et sa table d'orientation. Descendre ensuite sur votre gauche par la rue de la Créance puis la rue des Baragnaudes en direction des Quilles des Baragnaudes. Passer devant les Quilles, longer la falaise et descendre les escaliers.Au bas des escaliers, prendre successivement à droite et à gauche pour passer sous un porche et retrouver l’avenue de Lauras, qui vous mènera à l’Office de Tourisme, votre point de départ.
7.7 km
|
max. 800 m
min. 545 m
| |||
Les imposants chaos rocheux qui nous entourent proviennent des multiples et profonds mouvements qu’a subi le plateau du Combalou : glissements, éboulements, érosion…
Une fois la saison de traite terminée, les brebis étaient montées et pouvaient être mises à l'abris dans la jasse ; elles ne redescandaient qu'aux premiers froids de l'automne.La jasse comportait 2 niveaux : le rez-de-chaussée était composé de 2 bergeries, dont une était voûtée, alors qu'au second niveau, une vaste grange permettait de stocker le foin.
La falaise qui nous surplombe est impressionnante par sa verticalité, par l’aspect lisse de sa roche et la solidité qui s’en dégage. C’est en fait la marque d’une faille (cassure) qui a engendré les énormes éboulis sous nos pieds. Le fond de ce vallon est appelé sotch (dénomination habituelle des dolines sur les causses).
La chapelle Saint-Pierre du XIe siècle coiffe le rocher en éperon du même nom. C'était la chapelle du château qui ne fût jamais église paroissiale. Le château de la même époque était accolé à la face verticale (reste d'une tour). Les structures en bel appareil de moellons indique un petit édifice de qualité. Le choeur en «cul de four» et surbaissé était limité par un arc en plein cintre précédé par un élargissement en «arc triomphal» vers la courte nef.
Les imposants chaos rocheux qui nous entourent proviennent des multiples et profonds mouvements qu’a subi le plateau du Combalou : glissements, éboulements, érosion…
Une fois la saison de traite terminée, les brebis étaient montées et pouvaient être mises à l'abris dans la jasse ; elles ne redescandaient qu'aux premiers froids de l'automne.La jasse comportait 2 niveaux : le rez-de-chaussée était composé de 2 bergeries, dont une était voûtée, alors qu'au second niveau, une vaste grange permettait de stocker le foin.
La falaise qui nous surplombe est impressionnante par sa verticalité, par l’aspect lisse de sa roche et la solidité qui s’en dégage. C’est en fait la marque d’une faille (cassure) qui a engendré les énormes éboulis sous nos pieds. Le fond de ce vallon est appelé sotch (dénomination habituelle des dolines sur les causses).
La chapelle Saint-Pierre du XIe siècle coiffe le rocher en éperon du même nom. C'était la chapelle du château qui ne fût jamais église paroissiale. Le château de la même époque était accolé à la face verticale (reste d'une tour). Les structures en bel appareil de moellons indique un petit édifice de qualité. Le choeur en «cul de four» et surbaissé était limité par un arc en plein cintre précédé par un élargissement en «arc triomphal» vers la courte nef.
Se déplacer en bus ou en train : lio.laregion.fr/covoiturage : BlaBlaCar, Rézo Pouce, Mobicoop, Idvroom, LaRoueVerte, Roulez malin
Sentier glissant par temps pluvieux. Sentier exclusivement pédestre, demande une bonne condition physique en raison du dénivelé et du type de sol (très caillouteux).
Cet itinéraire est situé dans la zone cœur du Bien Causses et Cévennes, paysage culturel de l'agropastoralisme méditerranéen.
Office de Tourisme, à l'entrée du village
à 25 km au Sud-Ouest de Millau par les D 992, D 999 et D 23 direction Albi. A 14 km de St-Affrique par la D999 en direction de Millau.
Office de Tourisme
Autrefois, un employé de la ferme du Mas de Roquefort apportait un repas au berger qui faisait paître ses brebis sur le plateau du Combalou. Il empruntait un raccourci grâce à deux échelles à flanc de falaise. De là le nom de ce sentier, riche en découvertes telles la faille du Saut de Balhol, la jasse du Combalou, la chapelle Saint-Pierre (XIe) sur son éperon.
Office de Tourisme