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Circuit VTT n°65 - Entre Baye et Seye

Circuit VTT n°65 - Entre Baye et Seye

Informations techniques

VTT
Difficulté
Moyen
Durée
3h (1j)
Dist.
24 km
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Profil altimétrique

Point de départ

260 Chemin du Stade , 82330   Verfeil
Lat : 44.18984Lng : 1.8733

Points d'intérêt

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Verfeil sur Seye

Verfeil-sur-Seye, bastide fondée par Alphonse de Poitiers (1250-1269), s’organise autour d’une place de marché. Fragilisée par les guerres de Religion et un incendie, elle fut en grande partie reconstruite au XIXe siècle.Verfeil-sur-Seye, bastide fondée entre 1250 et 1269 par Alphonse de Poitiers, suit un plan orthogonal centré sur une place de marché. Son essor commercial fut freiné par les guerres de Religion et un incendie, entraînant la reconstruction de nombreuses maisons aux XVIIIe et XIXe siècles. Parmi son patrimoine, la maison à la croix (1853) illustre l’architecture locale avec son encadrement sculpté, tandis que la maison médiévale conserve des arcs brisés du XIIIe siècle, témoins de l’ancienne activité commerciale. La place de la Courte Boule occupe l’ancien fossé défensif et accueille le foirail depuis le XIXe siècle. Le développement du village s’est accéléré après la création de la route départementale n°20 (1853-1854) et de la voie ferrée, favorisant la construction de commerces, comme l’ancienne quincaillerie Dujol (1898) et la bourrellerie Molinier. La halle, reconstruite en 1887, rappelle celle de Caylus, tandis que l’église Saint-Pierre-aux-Liens, transformée au XIXe siècle par Théodore Olivier, abrite un maître-autel sculpté du XVIIIe siècle, classé en 1958. À proximité, l’« ancien couvent », école catholique de filles fondée en 1842, est aujourd’hui un centre d’accueil pour jeunes handicapés. La place à couverts, cœur de la bastide, a conservé ses arcades remaniées au XIXe siècle, dont certaines datent du XIIIe siècle. Le monument aux morts (1922) rend hommage aux disparus de la Première Guerre mondiale, tandis que la maison Viguier, construite après l’essor des routes départementales, témoigne de l’architecture bourgeoise de la fin du XIXe siècle. La mairie-école (1883), conçue par l’architecte Léopold Gardelle, appartient au style des bâtiments scolaires de la Troisième République. Enfin, le lavoir et l’ancienne fontaine communale, construits en 1895, rappellent l’importance de l’eau dans la vie quotidienne, avec un lavoir couvert toujours marqué par les graffitis des lavandières.

- Apidae -
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Varen

Varen est né au Xe siècle autour d'un monastère bénédictin fondé par l'abbaye d'Aurillac. Le prieuré attira une population. Au XIXe siècle, après la démolition des murailles, le village s'étendit le long des routes de Saint-Antonin et de l'Aveyron.Varen s’est développé autour d’un monastère bénédictin fondé par l’abbaye d’Aurillac, dans un méandre fertile de l’Aveyron. Le prieuré, consacré à l’exploitation des terres agricoles, attira rapidement une population qui donna naissance à un village médiéval autrefois ceint de murailles. Après leur démolition, l’urbanisation s’étendit le long des routes environnantes. Témoins de ce riche passé, le doyenné, véritable maison forte, arbore encore son architecture défensive typique du Moyen Âge. L’église Saint-Pierre, construite dès le XIe siècle, conserve des chapiteaux sculptés d’exception, tandis que quelques vestiges rappellent l’ancienne église Saint-Serge. Des éléments des fortifications subsistent, notamment la porte du Four, dernier vestige significatif de l’enceinte. Le moulin sur l’Aveyron, reconstruit au XIXe siècle, a même permis l’électrification précoce du village dès 1910. La halle, érigée à la fin du XIXe siècle, anime la place centrale avec son marché hebdomadaire. Enfin, les maisons à colombages, souvent construites sur des rez-de-chaussée médiévaux, rappellent l’importance de la vigne dans l’histoire locale. Varen séduit ainsi par son patrimoine préservé et son cadre naturel propice à la découverte.

- Apidae -
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Abbaye de Beaulieu-en-Rouergue / Centre d'art contemporain

Une abbaye cistercienne devenue centre d’art contemporain donne un lieu de visite exceptionnel. Dans son écrin de verdure, l'Abbaye de Beaulieu-en-Rouergue invite le visiteur à la méditation, à l'étonnement, à la flânerie… L'Abbaye de Beaulieu-en-Rouergue est une fondation cistercienne réalisée en 1144 à la requête de l’évêque de Rodez, par des moines de Clairvaux qui ont canalisé la Seye afin d’alimenter le monastère et ses viviers. Pourvue de bâtiments modestes, l’abbaye fut reconstruite au XIIIe siècle. Avant 1250 s’élevèrent les ailes d’habitation, la salle capitulaire et le réfectoire (détruit), puis, après 1275, vint le tour de l’église. Ce beau vaisseau porte la marque du gothique rayonnant, adapté aux traditions architecturales du Midi : simplicité, dépouillement, muralité importante, ouvertures réduites. Au XIVe siècle fut élevé un cloître anéanti en 1562. Aux XVIIe-XVIIIe siècles des remodelages détruisirent les aménagements médiévaux au profit de cellules et d’appartements. Longtemps menacée (Viollet-le-Duc voulut démonter l’église et la rebâtir à Saint-Antonin), l'Abbaye de Beaulieu-en-Rouergue fut restaurée à partir de 1960, avec l’aide de l’Etat, par Pierre Brache et Geneviève Bonnefoi qui créèrent le centre d’art contemporain en 1970. Les nouveautés 2016Le jardin du cloîtreLieu de méditation pour les moines cisterciens, lieu de croisement entre visiteurs et amateurs d’art contemporain, le cloître est entièrement replanté pour cette nouvelle saison.Les galeries disparues du cloître retrouvent leur délimitation grâce à des bacs. Des auges en pierre montrent vivantes les feuilles qui ont servi de modèles aux sculpteurs lorsqu’ils taillaient les chapiteaux du monastère. Un jardin de simples et de plantes médicinales se déploie devant la salle capitulaire. Au pignon du logis abbatial, la Vierge Marie est évoquée par les nombreuses fleurs qui la symbolisaient au Moyen Age. Enfin, à l’entrée du cellier se rassemblent céréales, légumineuses et racines pour rappeler l’importance des cultures de plein champ, l’exploitation agricole pragmatique des moines Cisterciens et la présence à leurs côtés des frères convers. Le cloître devient un jardin d’évocation traité dans un esprit contemporain. Période d'ouverture du 1er avril au 31 octobre de 10h à 12h et de 14h à 18h sauf le mardi.juillet et août de 10h 12h et de 14h à 18h tous les jours. Ouverture toute l’année pour les groupes (sur rendez-vous en dehors des périodes d’ouverture) Fermé le 1er janvier, le 1er mai, les 1er et 11 novembre et le 25 décembre. Possibilité de location de salle.

D33 82160 Ginals
- Pays Midi-Quercy -
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Auteur de la donnée

23 place de la Mairie 82140 Saint-Antonin-Noble-Val France

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