Du château de Serrières aux Communaux de Trept : un voyage dans le temps au fil de l'eau

Vaches, chèvres et moutons se croisaient sur les terres communales jusqu'aux années 1960. Puis la culture céréalière investit les zones les plus fertiles. Les autres, pierreuses et escarpées, furent gagnées par les broussailles et les bois.Aujourd'hui, le chemin des Pulsatilles permet de découvrir un paysage typique où affleurent les dalles calcaires et se dressent la Pierre du Bon Dieu et celle du Diable, telles d'étranges sentinelles, vestiges de l'ère glaciaire. Arbustes à baies et une flore rase adaptée à une fine couche de terre aride s'y épanouissent. Au printemps, les promeneurs croisent lézards, sauterelles et papillons, et observent le premier muguet, les graminées, les orchidées, les fougères, les euphorbes et bien entendu la Pulsatille rouge, emblème de cet ENS, une plante rare et protégée, anémone sauvage d'un beau grenat sombre. Une biodiversité solidaire : C'est une vraie mobilisation autour de ces Communaux qui permet la reconquête d'une biodiversité ! Classant 100 ha, à l'ouest du village, en ENS, les élus impliquent les chasseurs (construction de garennes, entretien des sentiers), les naturalistes de l'ADPE et de Lo Parvi (suivi scientifique, animation pédagogique), un agriculteur (pâturage, broyage des arbustes), les carriers, voisins du site, sans oublier les randonneurs.

Edifié au XVème siècle, l'histoire du château de Serrières se confond avec celle d'une puissante famille dauphinoise: les de La Poype. Le château offre une silhouette imposante avec ses créneaux, sa tourelle en poivrière et son admirable donjon.Au centre d'un parc de 40 hectares, sur un domaine qui en compte 90, surgit cette forteresse féodale, la mieux conservée de la région. De son promontoire, on peut admirer les vastes et reposants panoramas du département de l'Isère et des Pré-Alpes. Le dernier propriétaire, Jean-François de La POYPE, Comte de Serrières, Général d'Empire (1758-1851) a dû aliéner son château ancestral en 1845. Serrières fut acquis par Monsieur LOUIS. Ses descendantes, Mesdemoiselles de la ROCHETTE le vendirent à la famille RENAUD en 1965. Après de gros travaux de sauvegarde, les frères RENAUD ont remis la propriété à une fondation à but culturel et patrimonial reconnue d'utilité publique par Décret du 8 Mars 1995, qui poursuit la restauration et les aménagements nécessaires pour en faire un lieu d'accueil, de séminaires et un centre culturel avec manifestations régionales aussi bien de théâtre, d'art populaire, présentation d'outillage ancien... Ce lieu a une antenne complémentaire à Crémieu où une masse de bâtiments, le long des remparts, abritera un ensemble culturel, réservé aux "SINGULIERS DE L'ART", unique dans la région Lyonnaise. De plus, les avantages offerts aux entreprises par le régime du Mécènat permettent à celles-ci d'envisager toute participation à la mise en valeur des sites de la fondation, ou toute forme d'opération culturelle.

Les chambres sont situées au cœur des Balcons du Dauphiné dans une ancienne ferme rénovée et décorée avec goût. Sandrine et Sébastien vous accueillent avec bienveillance dans un cadre ressourçant et confortable dans une propriété de 4 ha à la campagne.Les 5 chambres sont aménagées de plain-pied et peuvent accueillir jusqu'à 5 personnes, pour un total de 14 personnes. La propriété dispose d'une piscine couverte, de jeux pour les enfants, d'une table de ping-pong, et d'un kit pour jouer au badminton. Le parking est fermé. Il est possible de profiter de la table d'hôtes. Sandrine la maîtresse de maison a été formée à l'institut Paul Bocuse. Elle régale ses convives d'une cuisine familiale de saison, en provenance du marché.

L'équipe vous accueille dans un cadre dépaysant à deux pas de chez vous. Terrasse avec vue panoramique sur les étangs. Carte et soirées à thème rythmées par les saisons. L'établissement sert quotidiennement des petits déjeuners l'été.Découvrez nos concerts et évènements d'été avec plusieurs espaces pour manger, boire un verre, se détendre en famille, entres amis(es). Nous proposons une restauration traditionnelle et pizzas, des planches apéritives, un service de bar/glacier dans une ambiance exotique.

L’ENS Etang de Bas offre un condensé des paysages typiques du plateau de Crémieu. Immortalisé par les peintres de l’école lyonnaise au XIXe siècle, il constitue un lieu remarquable pour découvrir le patrimoine local. Sentier de découverte – OrchidéesCe site remarquable de plus de 60 hectares, situé sur la commune de Siccieu-Saint-Julien-et-Carizieu est constitué d’une grande variété de milieux naturels caractéristiques de l’Isle Cremieu. L’étang de Bas et les falaises des Ravières constituent le coeur d’un espace conciliant depuis plusieurs siècles nature et culture. Depuis le milieu du XVIIIème siècle, ce site est reconnu pour avoir hébergé de nombreux peintres de l’école lyonnaise venus immortaliser ces paysages remarquables. Aujourd’hui, de nombreuses espèces rares et protégées cohabitent sur ces différents Sur ce territoire d'exception préservé pour son intérêt écologique

Située à 40 km de Lyon, la cité médiévale de Crémieu est l'un des sites phares des Balcons du Dauphiné, riche d'un patrimoine architectural authentique dont les premières traces remontent au XIIe siècle.Un parcours numéroté, disponible gratuitement dans les bureaux d'information de l'Office de Tourisme des Balcons du Dauphiné, permet de découvrir l'ensemble des monuments. Parmi les monuments emblématiques de Crémieu, Petite Cité de Caractère : - Le château delphinal (XIIe siècle), du haut de son promontoir stratégique est le témoin du développement de la ville (ne se visite pas). - Les portes fortifiées (XIVe siècle) dont la porte de La Loi, restaurée en 2023. - La halle (XVe siècle), unique en Isère, - Le couvent des Augustins adossé aux remparts (XIVe-XIXe siècle) et son cloître (XVIIe siècle) Autant de vestiges qui sont les traces visibles d'un passé où Crémieu était une importante place militaire, une cité économique et religieuse de premier ordre. La cité médiévale de Crémieu est classée en ZPPAUP (Zone de Protection du Patrimoine Architecturale Urbain et Paysager).

Découvrez les ruelles pittoresques de la vieille ville en suivant le parcours patrimonial le long de la rue François-Auguste Ravier. De l'église St Symphorien à la Tour Médiévale, l'histoire Morestelloise s'offre à vous...Suivez le guide !Morestel a séduit de nombreux artistes par sa lumière si particulière… et le cadre médiéval pittoresque de la ville ne fait que renforcer l'attractivité et le charme de cette ancienne bourgade fortifiée… et Morestel a su conserver de nombreuses traces de son passé. Arpentez les ruelles de la partie haute de la ville, communément appelée "Vieille Ville"… Laissez-vous guider par le Parcours Patrimonial pour découvrir l'histoire Morestelloise. Le bourg de Morestel s'est développé au pied du rocher qui porte le château et fut certainement clos de remparts dans la première moitié du XIVème siècle. Deux portes y donnaient accès, la porte Saint Symphorien dont la trace reste visible dans le mur et la porte Murine, reliées par l'unique rue commerçante du bourg, la "Grande Vie" (du latin via, la voie), nommée depuis 1945 rue Ravier. A l'extérieur, près des portes, se développaient deux faubourgs. A l'intérieur de l'enceinte, parfois adossés au rempart du Château, de nombreuses maisons, granges et jardins se pressaient, ainsi que des résidences de la petite noblesse locale, parfois fortifiées : des " Maisons Fortes ".