COMPS-SUR-ARTUBY - La boucle du Siounet

Le chêne blanc qui infiltre ici progressivement la hêtraie (peut-être une conséquence du réchauffement climatique), est l’une des deux essences naturelles les plus fréquentes de Haute-Provence. Peu réputé comme bois d’œuvre car difficile à travailler en menuiserie, et ne présentant que rarement une taille et une forme intéressantes pour les charpentes, c’est par contre un bon bois de chauffage. Il a longtemps été utilisé pour la fabrication d’un excellent charbon de bois.

De nombreuses traces du passé sont présentent signe d’une activité ancestrale importante. Les nombreux tas de pierres sur le côté sont le signe d’une exploitation ancienne des terrains pour l’agriculture, vous trouverez les restes de cabanes des charbonniers. Les traces de charbonnières sont omniprésentes, encore bien visibles comme des aires circulaires au sol noirci et encore plus ou moins stérilisé ne laissant se développer qu’une rare végétation basse.

Les points de vues sont nombreux au sommet du Siounet vous pourrez apercevoir, les différents villages environnent ainsi que les sommets du haut Var et des gorges du Verdon. En descendant, vous avez une très belle vue sur le village de Trigance et les sommets des gorges du Verdon notamment le Mourre de Chanier.

Comps-sur-Artuby rassemble sur son territoire plusieurs petits hameaux, le plus importants est le hameau du Jabron qui a beaucoup de caractère l'atmosphère est calme et tranquille au sein du hameau petites rues, maisons anciennes rénovées avec goût et un vieux four à pain se trouve au centre du hameau.

Les points de vues sont nombreux au sommet du Siounet vous pourrez apercevoir, les différents villages environnent ainsi que les sommets du haut Var et des gorges du Verdon. Au fond à gauche le plus haut sommet du Var le Mont Lachens juste avant le Brouis, en dessous vous pouvez apercevoir le village classé de Bargème et son château en ruine.

Les points de vues sont nombreux au sommet du Siounet vous pourrez apercevoir, les différents villages environnent ainsi que les sommets du haut Var et des gorges du Verdon. Il n’est pas rare d’apercevoir les vautours passer à proximité.

Cette fritillaire se reconnaît très facilement à sa couleur verdâtre ou blanchâtre, peu marqué de rouge. Ses feuilles sont très étroites, opposées par deux et très espacées sur la tige. Elle se rencontre dans les bois rocailleux. Elle est absente des Hautes-Alpes mais toute proche dans les Alpes-de-Haute-Provence.

Bisannuelle souvent rameuse, la julienne à feuilles laciniées est une plante assez rare dégageant généralement un parfum agréable. La tige est velue et les fleurs, au bout d'un pétiole court, porte un calice cylindrique pubescent. La fleur habituellement rose peut être parfois jaune-pâle. On la trouve dans les rochers et les éboulis de la région méditerranéenne.