Alerte

Alertes

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter

Oups... Il semblerait que Cirkwi n'ait pas l'autorisation d'utiliser votre position.

Présentation
Description
Carte
Points d'intérêt
Notes et avis
À voir autour

Balade découverte de Romans

Balade découverte de Romans_Romans-sur-Isère

Description

Découvrez les incontournables de Romans, son patrimoine, ses ruelles anciennes et ses chaussures géantes..

Le parcours débute par la cité de la chaussure, puis vous emmènera près de la gare pour découvrir la Cité de la Raviole, puis vous reviendrez vers le centre historique par la rue Jacquemart. Vous découvrirez devant vous la Tour Jacquemart, puis emprunterez la côte du même nom qui vous amènera Place Maurice Faure (place du marché).
D'ici, vous remonterez la Rue Pêcherie et ses artisans d'art pour descendre un escalier datant du XVIème siècle et arriver au pied des anciennes maisons des tanneurs.
Empruntez le nouveau pont qui enjambe la Savasse, puis l'escalier qui vous emmènera sur le haut du Parc au Belvédère St Romain.
D'ici, vous aurez une très belle vue sur les villes de Romans, Bourg de Péage et les montagnes du Vercors.
Vous redescendez par la Côte des Chapeliers et remonterez ensuite les quais pour arriver à la majestueuse Collégiale St Barnard. Vous ressortirez par le chevet pour aboutir places aux Herbes devant l'Hôtel de Clérieu.
Vous rejoindrez la rue Sabaton par la Rue des Clercs. Vous remonterez la Côte des Cordeliers, tournerez sur la Place Jules Nadi, pour admirer le kiosque.
Vous descendrez ensuite la rue de la banque pour rejoindre la rue St Nicolas. Passez devant le restaurant Mandrin du nom du célèbre contrebandier. remontez ensuite sur la gauche St Antoine pour aboutir sur la toute nouvelle Place du Chapitre réaménagée récemment.
Prendre à gauche la rue Bistour pour arriver au Musée de la Chaussure.
Continuez à monter jusqu'au rond Point de l'Europe puis prendre à droite pour rejoindre Marques Avenue.
D'ici vous pourrez revenir à votre point de départ.
Tout ce parcours vous fera également passer devant les 12 chaussures monumentales. 

Informations techniques

Marche
Difficulté
Non renseignée
Dist.
4.5 km
Afficher plus d'informations

Profil altimétrique

Point de départ

34 34 Place Jean Jaurès , 26100   Romans-sur-Isère
Lat : 45.04606Lng : 5.05294

Points d'intérêt

image du object

Chaussure sans Talon - André Perugia

Le musée de la chaussure hors les murs. Inspirée de modèles emblématiques exposées au musée de la Chaussure, ces œuvres rendent hommage à la créativité et à la technique de grands chausseurs, tels que Roger Vivier, Stephane Kelian ou Charles Jourdan...Jean-Luc Tamisier et Sylvie Favel, mandatés par la Ville, sont à l'origine de cette scénographie urbaine et du design des soclages. La chaussure sans talon est un escarpin en veau velours rouge avec un lacet en chevreau or passant et se croisant sur le cou-de-pied. Cette chaussure est inspirée de la création d'André Pérugia réalisée en 1937. L'idée même de" chaussure sans talon" interroge. Ce modèle défie les lois de la gravité et de l'équilibre tout en restant adapté au pied. Il est l' œuvre d'André Pérugia(1893-1977), reconnu comme l'un des plus grand bottier du xxe siècle. Fils de cordonnier, il débute dans l'atelier paterne. Son talent est repéré par le célèbre couturier parisien Paul Poiret. Dès les années 1920, il chausse "les plus belles femmes du monde". Il collabore avec les grandes maisons de mode comme Christian Dior, Balmain ou Givenchy. Arrivé au terme d'une prodigieuse carrière professionnelle, il devient, dans les années 1960, conseiller technique chez Charles Jourdan à Romans. Dimensions sans socle de la version monumentale: L.2,09m X H.2,65m X L.0,98m Réalisé par les entreprises MG Composites(Bésayes), Arsculpt,Atelier FX Déco (Choisy le Roi) et l’entreprise Chapsol avec l'aide des scénographes Jean Luc Tamisier et Sylvie Favel.

Parvis de la Gare Place Carnot 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Chaussure Masque - André Perugia

Le musée de la chaussure hors les murs. Inspirée de modèles emblématiques exposées au musée de la Chaussure, ces œuvres rendent hommage à la créativité et à la technique de grands chausseurs, tels que Roger Vivier, Stephane Kelian ou Charles Jourdan...Cette nouvelle pièce vient enrichir le parcours marchand créé en 2019 par la Ville, et rejoindre les 8 premières chaussures monumentales. Jean-Luc Tamisier et Sylvie Favel, mandatés par la Ville, sont à l'origine de cette scénographie urbaine et du design des soclages. Mule pour le soir en chevreau rose, noir et doré. . Large bandeau noir en forme de masque. Intercalaire enrobé de chevreau doré. Haut talon Louis XV avec décor de petites pastilles dorées. Grand bottier parisien, André Pérugia (1893-1977) fait figure de novateur. Il se distingue par son ingéniosité qui s’exprime autant sur le plan de la création que sur celui de la technique. Il est à l’origine d’une nouvelle impulsion dans la mode de la chaussure. S’inspirant de son temps, il sait aussi puiser ses idées dans des époques révolues ou en d’autres lieux. Venise et ses masques sont un thème récurrent décliné depuis les années 1920 à 1960. Le masque noir épouse parfaitement le pied, personnifiant ainsi la mule. Clin d’œil à l’histoire locale et au Carnaval de Romans de 1580, le masque fait régulièrement son apparition dans les rues de la ville, porté par les Romanais qui fêtent l’événement depuis plusieurs décennies. Dimension sans socle de la version monumentale: L.2,56m X H.1,75m X I.0,88m

Rue Jacquemart 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Chaussure Pensée - Christian Louboutin

Le musée de la chaussure hors les murs. Inspirée de modèles emblématiques exposées au musée de la Chaussure, ces œuvres rendent hommage à la créativité et à la technique de grands chausseurs, tels que Roger Vivier, Stephane Kelian, Charles Jourdan ....Cette nouvelle pièce vient enrichir le parcours marchand créé en 2019 par la Ville, et rejoindre les 10 premières chaussures monumentales. Jean-Luc Tamisier et Sylvie Favel, mandatés par la Ville, sont à l'origine de cette scénographie urbaine et du design des soclages. Christian Louboutin imagine ce soulier en 1992, s'inspirant d'Andy Warhol et de son univers pop art, graphique et coloré. Quand le dessin devient prototype, la semelle lui apparait trop lourde, trop noire et surtout trop éloignée du croquis qu'il a imaginé. En observant son assistante se peindre les ongles en rouge et d'un geste spontané se saisit d'un flacon et peint la semelle ! "C'est comme si le soulier avait pris vie" Depuis, chaque soulier de Louboutin affiche une semelle rouge Les danseuses des Folies Bergères inspirent les premiers dessins de souliers du jeune créateur. Disciple et collaborateur du bottier Roger Vivier, formé chez Charles Jourdan à Romans, Christian Louboutin est devenue en quelques années une figure incontournable du monde de la mode et du luxe. Il est aujourd'hui devenu un symbole Dimension sans socle de la version monumentale: L.2,56m X H.1,75m X I.0,88m

Début du Cours Pierre Didier 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Mule Pince - Robert Clergerie

Le musée de la chaussure hors les murs. Inspirée de modèles emblématiques exposées au musée de la Chaussure, ces œuvres rendent hommage à la créativité et à la technique de grands chausseurs, tels que Roger Vivier, Stephane Kelian ou Charles Jourdan...Cette nouvelle pièce vient enrichir le parcours marchand créé en 2019 par la Ville, et rejoindre les 8 premières chaussures monumentales. Jean-Luc Tamisier et Sylvie Favel, mandatés par la Ville, sont à l'origine de cette scénographie urbaine et du design des soclages. Mule pour le soir en satin gris et noir. Bout coupé en oblique. Talon fantaisie en acier brossé verni. Première en veau velours nopir. Collection printemps-été 1998. Cette mule graphique et élégante signe un style. Un style unique à l’image de son créateur, Robert Clergerie, un homme qui va à l’essentiel. La recherche de sobriété, de pureté dans le design, le minimalisme, la simplicité caractérisent ses créations. Elles se singularisent dans l’univers de la mode par l’originalité de leurs approches stylistiques. Le talon, apanage de la féminité, fait l’objet de toutes les attentions. Il donne la ligne à la chaussure et signe une silhouette. En métal, il confère au modèle un aspect à la fois brut et aérien. En recherche incessante de créativité et d’innovation, Robert Clergerie a imaginé et réalisé une dizaine de talons métal. Côté technique, c’est un vrai défi car d’une grande complexité de mise en œuvre. Le poids et le prix de revient, non négligeables, en font des modèles d’exception à l’image de cette mule. Qu’ils soient métal ou compensés, les talons perpétuent l’identité et l’ADN de la marque Clergerie et continuent d’accompagner les femmes pour leur plus grand plaisir. Dimension sans socle de la version monumentale: L.2,86m X H.1,20m X I.1,06m

Place Ernest Gailly 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

La Maison du Mouton

Nouveau ! Venez découvrir la Maison du Mouton, l'une des plus anciennes demeures de Romans devenue aujourd'hui Maison du patrimoine ! Un espace gratuit ouvert à tous qui vous invite à découvrir le patrimoine Vallée de l’Isère et Drôme des collines.Historique Située dans le premier noyau urbain de la cité, la Maison du Mouton est un des édifices les plus anciens de Romans. Sur rue et sur cour, ses deux façades gothiques sont en effet datées de la fin du XIIIe ou du début du XIVe siècle. Pierres de taille, décors peints, ampleur des espaces indiquent qu’elle appartenait à une famille aisée. Le commerce de drap de laine faisait alors la fortune de la ville : peut-être faut-il y voir l’explication de son nom. Une tête de mouton orne la façade depuis son origine. Très détériorée, elle a été restituée au cours d’importants travaux de restauration menés entre 2020 et 2024. La pierre utilisée provient vraisemblablement des carrières de molasse situées à Châteauneuf-sur-Isère. Ces carrières, distantes d’une quinzaine de kilomètres, ont été exploitées depuis l’Antiquité jusqu’au XIXe siècle. Une fois extraite, la molasse, grès fin et facile à tailler, circulait par voie fluviale, tant vers Romans que vers Valence. Pour la charpente et les planchers intermédiaires, le bois de résineux était majoritairement utilisé. Belle demeure médiévale abandonnée au cours du XXe siècle, la Maison du Mouton a été acquise par la Ville de Romans en 2020. Ouverte au public après restauration depuis 2025, elle abrite aujourd’hui un des deux sites de la Maison du patrimoine du Pays d’art et d’histoire de Valence Romans Agglo. Le public y découvre l’histoire et le patrimoine architectural de Romans et de la Drôme des collines. À Valence, le visiteur peut poursuivre sa visite à la Maison des Têtes, second site dédié au patrimoine local. À l’origine, le rez-de-chaussée avait une vocation commerciale ou artisanale. Les grandes baies étant closes par des volets en bois, la lumière provenait de canons à lumière de forme carrée, percés dans la maçonnerie et situés en hauteur. Le plafond en chêne à la française a été restitué lors des travaux de restauration. C’est par cet espace que le public pénètre aujourd’hui dans la Maison du patrimoine. Un atelier pédagogique accueille également les enseignants et leurs classes. La façade arrière de la maison est remarquablement conservée dans son état du XIVe siècle. Sous l’escalier moderne, l’escalier droit d’origine a été en partie conservé. Il donnait accès aux étages par l’extérieur, depuis la cour. L’encadrement d’un puits est également visible dans la maçonnerie. À l’arrière de la maison, un bâtiment a été érigé au XVe ou au XVIe siècle. Cette dépendance a pu servir d’annexe pour les usages d’habitation et de service. À l’étage, une salle majestueuse de près de six mètres de hauteur correspond à l’aula de la maison médiévale. À la fois pièce de réception et espace à usage privé, elle était le cœur de la demeure. Chauffée par une imposante cheminée aujourd’hui disparue, l’aula était éclairée par deux hautes baies gothiques, géminées et trilobées. Devant elles, se trouvent des coussièges. Ces bancs aménagés dans l’embrasure des fenêtres servaient de siège. Le deuxième étage a pu abriter le logement des domestiques et des espaces de stockage. Les bureaux du service Patrimoine-Pays d’art et d’histoire y sont désormais installés. Les fouilles archéologiques ont mis au jour de nombreuses traces de décors peints, qui révèlent un goût médiéval prononcé pour la couleur et les motifs géométriques. Dans l’aula, un décor daté du XIVe siècle, composé de carrés jaunes sur fond rouge et liserés blancs, a été découvert pendant les travaux. Il a été conservé in situ. Dans cette même pièce, un décor provenant de l’Hôtel de Loulle présente une frise de blasons décorée de motifs végétaux, dans des teintes noires, rouges, jaunes et bleues. La qualité de ces peintures indique que des familles de haut rang social occupaient les demeures du quartier. Au second étage, un décor plus simple, imitant un appareillage de pierres, a également été découvert. Il recouvrait l’ensemble de l’espace, dans une démarche commune à de nombreux édifices de la même période. (Le 1 du document "Parcours Romans du Moyen Age au XXIème siècle" correspond au 7 du plan découverte de Romans)

Rue du Mouton 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Bottine Fenestrier

Le musée de la chaussure hors les murs. Inspirée de modèles emblématiques exposées au musée de la Chaussure, ces œuvres rendent hommage à la créativité et à la technique de grands chausseurs, tels que Roger Vivier, Stephane Kelian ou Charles Jourdan...Jean-Luc Tamisier et Sylvie Favel, mandatés par la Ville, sont à l'origine de cette scénographie urbaine et du design des soclages. Bottine pour homme bicolore, conçue en 1923 par « Joseph Fenestrier », figure marquante de la manufacture locale. Cette bottine, dont la guêtre courte boutonnée sur le côté reflète l’élégance masculine des années 1920, illustre parfaitement le style d’une époque où le raffinement était primordial. Pensée pour accompagner le costume, elle constitue un accessoire de prestige issu de la « série de haut luxe » produite à Romans. Dimension sans socle de la version monumentale: L.2,97m X H.1,11m X I.1,22 Son implantation dans le quartier de la Presle revêt une portée symbolique particulière : récemment réaménagé autour de la rivière Savasse, ce secteur abrite également d’anciennes maisons de tanneurs, témoins encore visibles du passé artisanal et industriel de la ville. Ce cadre réhabilité, à la croisée du patrimoine naturel et bâti, offre un écrin idéal à cette oeuvre, prolongeant la mémoire d’un savoir-faire local qui continue de marquer l’identité de Romans.

Quai Sainte Claire 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

La Collégiale Saint-Barnard

Ce monastère fondé en 838 par Barnard, archevêque de Vienne, est à l’origine de la ville de Romans. Mariage de style roman et gothique, elle abrite les neuf tentures brodées représentant la Passion du Christ (visible en saison et en visite guidée)Transformée en collégiale vers 935, l’église fut plusieurs fois détruite et reconstruite durant l’époque médiévale. Son classement au titre des Monuments Historiques dès 1840 témoigne de son importance sur les plans de l’histoire et de l’histoire de l’art. Façade occidentale L’entrée occidentale de l’église est ornée de sculptures romanes d’inspiration méridionale qui représentent des apôtres. A droite de l’entrée, on reconnaît ainsi saint Jean avec un livre à ses pieds. A gauche, on devine le mot « PETRUS » sur un phylactère : il s’agit de saint Pierre. Les autres sculptures pourraient représenter saint Paul et saint Jacques le majeur. Les quatre personnages sont entourés de lions, de colonnettes et de chapiteaux au riche décor végétal évoquant l’antiquité. Mutilé pendant la Révolution française, l’ensemble a par ailleurs été entièrement remanié à une époque non déterminée. Nef La nef est composée d’éléments issus de plusieurs époques. Datées du XIᵉ siècle, les parties basses sont les plus anciennes de l’édifice. La nef est surélevée au XIIIe siècle, agrémentée d’un triforium (galerie haute) et couverte d’une voûte en croisées d’ogives. Triforium et voûtes, détruits en 1567 pendant les guerres de Religion, sont reconstruits à l’identique à la fin du siècle suivant. On remarque, côté nord, des chapiteaux historiés d’époque romane représentant des scènes bibliques (Visitation, jugement dernier) et des animaux fantastiques. Des deux côtés de la nef, des chapelles ont été fondées et décorées entre le XVe et le XIXe siècles. La grande sacristie sert d'écrin à de superbes boiseries en noyer du XVIIIe siècle et à de nombreux objets d'art sacré. Sur la tribune de l’orgue construite en 1720, on trouve un orgue signé du facteur Chambry* et installé en 1843. Il s’agit sans doute du 4e ou 5e orgue présent successivement dans l’édifice. Au-dessus de l’orgue, des vitraux installés en 2000, conçus par l’artiste Georg Ettl et réalisés par les ateliers Thomas livrent une vision moderne de l’Apocalypse de Saint-Jean. *Un facteur d’orgue est un artisan spécialisé dans la fabrication d’orgues Chœur et transept Le chœur et le transept sont érigés à partir de 1238 dans un style gothique, sur décision de Jean de Bernin, archevêque de Vienne, connu pour son action de bâtisseur. Le décor exceptionnel qui se trouve aujourd’hui dans le chœur est daté des années 1330-1350. C’est en effet à cette date que le Dauphin Humbert II, également chanoine de Saint-Barnard, cède le Dauphiné à la couronne de France, lors d’une cérémonie tenue à Romans en 1349. Dans ce décor foisonnant, on reconnaît en effet des fleurs de lys et des figures couronnées mais aussi des anges sur un chemin de ronde crénelé et des motifs végétaux et géométriques. Dans les deux bras du transept, de nombreuses traces de peinture proviennent de décors réalisés successivement du XIIIe au XIXe siècle Des expositions temporaires et des concerts ont lieu plusieurs fois par an dans cet édifice. Possibilités de visites guidées pour groupes ou individuels. En été : ouverture exceptionnelle de la sacristie et de la Chapelle du Saint Sacrement (pour voir les tentures) du mardi au vendredi ainsi que les dimanches ! (Le 4 du document "Parcours Romans du Moyen Age au XXIème siècle" correspond au 6 du plan découverte de Romans)

Quai Ulysse Chevalier 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Place Jules Nadi

Aujourd'hui on trouve sur la place : l'Hôtel de ville, le kiosque (restauré en 2018) et la salle de spectacles des Cordeliers.L'ancien couvent des Cordeliers (franciscains) qui occupait la place jusqu'en 1790 a laissé son nom à cette salle édifiée sur son ancien emplacement. Kiosque et cercle militaire témoignent de l'époque où Romans était une ville de garnison. Un peu d'histoire.... Mais qui était Jules Nadi : Jules Camille Victor Pomaret, né le 19 mai 1872 à Valence, se faisait appeler Jules Nadi, nom qu’il avait formé en inversant les syllabes du second prénom de sa femme, Julie Dina Garnier. Après ses études, il est employé de mairie à Valence puis il est nommé chef de l’octroi (taxe sur les marchandises) à Romans. Il fonde ensuite la revue littéraire « L’Oeuvre » et la Fédération autonome socialiste Drôme et Ardèche. En 1914, il est élu député de la Drôme et en 1919, maire de Romans. Il n’hésite pas à établir de nouveaux impôts pour transformer la ville : marché couvert, dispensaire antituberculeux, bains-douches municipaux, cité-jardin qui porte son nom, office public d’habitations à bon marché et consultation de nourrissons “La goutte de lait” qui fait tomber le taux de mortalité infantile de 18% à 3% ! Il meurt à Paris le 7 novembre 1928 et son corps est ramené à Romans où il est inhumé, le 12 novembre, dans un mausolée érigé par la ville que l’on peut encore voir aujourd’hui, juste à l’entrée principale du cimetière. (historique de J.Y. Baxter)

Place Jules Nadi 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Escarpin Choc-Choc - Bruno Frisoni

Le musée de la chaussure hors les murs. Inspirée de modèles emblématiques exposées au musée de la Chaussure, ces œuvres rendent hommage à la créativité et à la technique de grands chausseurs, tels que Roger Vivier, Stephane Kelian ou Charles Jourdan...Jean-Luc Tamisier et Sylvie Favel, mandatés par la Ville, sont à l'origine de cette scénographie urbaine et du design des soclages. Escarpin en crocodile vert, décolleté carré et bout pointu. Il a été nommé ainsi en référence au talon choc créé par le célèbre bottier Roger Vivier en 1959. Cet escarpin fait écho à la création de Bruno Frisoni de 2004. Cet escarpin est un hommage au grand bottier parisien Riger Vivier, inventeur du talon aiguille dans les années 1950. Véritable artiste imprégné des tendances avant-gardistes et électriques, il donne à ses souliers les volumes d'une sculpture. Il invente de nouvelles formes de talon, comme ici le talon "choc". Largement reconnu, Roger Vivier chausse la reine Elizabeth II d'Angleterre pour son couronnement en 1953. En 1965,son escarpin noir orné d'une large boucle de métal consacre son succès. Il est immortalisé par Catherine Deneuve dans le film "belle de jour". Roger Vivier collabore avec Christian Dior puis Yves Saint Laurent. Il ne cesse d'explorer les formes et les matières pour toujours créer et surprendre. Dimensions sans socle de la version monumentale: L.2,80m X H.1,88m X I.0,92m

Place Jules-Nadi 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Le Musée de la Chaussure

Le Musée de la Chaussure de Romans installé dans l'écrin prestigieux de l'ancien couvent de la Visitation vous invite au voyage, à la découverte de cet objet universel qu'est la chaussure.En 1632, sur le site d’un ancien château, est construit un couvent de la congrégation de la Visitation Sainte Marie, fondée par saint François de Sales et sainte Jeanne de Chantal, dans le contexte de la Réforme catholique. La chapelle est consacrée en 1667. Au XVIIIème siècle, le couvent est agrandi, des arcades italianisantes sont élevées. De nouvelles ailes sont construites au XIXème siècle, lorsque la communauté accueille un pensionnat de jeunes filles jusqu’en 1906. Par la suite, les bâtiments abritent une école publique et laïque pour jeunes filles. En 1970, l’ancien couvent échappe de peu à la destruction : il est choisi pour accueillir les collections du jeune musée de la chaussure. Les cellules, autrefois occupées par les religieuses visitandines sont aujourd'hui l'écrin d'une collection de chaussures des origines à nos jours : des paires insolites venues des 4 coins du monde jusqu'aux créateurs contemporains. Toutes les formes de chaussures sont exposées, des plus anciennes aux plus contemporaines, des plus classiques aux plus extravagantes, en passant par les plus exotiques, sans oublier les créations des bottiers célèbres d'hier et d'aujourd'hui. Bottes de mousquetaires, bottillons de femmes chinoises pour pieds mutilés, poulaines du Moyen âge… 16 500 pièces de collection de l'antiquité à nos jours, soit 4000 ans d'histoire, sont présentées par roulement dans les cellules autrefois occupées par les religieuses visitandines. A découvrir également des peintures (XVIIe, XVIIIe, XIXe siècles) et des expositions temporaires. Le tout présenté dans l'ancien couvent de la Visitation (XVIIe siècle) lové dans des jardins aménagés et classés à l'inventaire des monuments historiques. (Le 5 du document "Parcours Romans du Moyen Age au XXIème siècle" correspond au 8 du plan découverte de Romans)

Portail Roger Vivier Rue Bistour 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Escarpin Etoilé - Andrea Pfister

Le musée de la chaussure hors les murs. Inspirée de modèles emblématiques exposées au musée de la Chaussure, ces œuvres rendent hommage à la créativité et à la technique de grands chausseurs, tels que Roger Vivier, Stephane Kelian ou Charles Jourdan...Jean-Luc Tamisier et Sylvie Favel, mandatés par la Ville, sont à l'origine de cette scénographie urbaine et du design des soclages. Escarpin en soie rouge imprimée de petites étoiles dorées. Doublure de chevreau or. Talon formé de trois boules de métal doré rappelant un boulier. Cette chaussure est inspirée de la création d'Andréa Pfister en 1994. Cet escarpin, lumineux et pétillant, donne le sourire. Il est à l'image de la fantaisie de son créateur. Italien d'origine vivant en France, Andréa Pfister s'inscrit dans une tradition de décoration. Il s'inspire d'un thème qu'il décline dans ses créations du moment. Pour cet escarpin de la série "boulier", il a imaginé un talon improbable, fait de sphères empilées. Ses collections sont colorées, luxueuses et audacieuses. Souvent surprenantes, voire extravagantes, elles séduisent les stars qui apprécient ce subtil équilibre entre confort et création. Andréa Pfister crée comme il s'amuse. Il apporte une touche d'humour et de gaieté à l'élégance et au raffinement. Dimensions sans socle de la version monumentale: L.2,75m X H.1,83m X I.0,93m

Rue Bistour 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Escarpin Girafe- Stéphane Couvé-Bonnaire

Temporairement déplacée dans les jardins du musée en raison des travaux sur la Place Jean Jaurès Le musée de la chaussure hors les murs.Inspirée de modèles emblématiques exposées au musée de la Chaussure, ces œuvres rendent hommage à la créativité et à la technique de grands chausseurs, tels que Roger Vivier, Stephane Kelian ou Charles Jourdan... Jean-Luc Tamisier et Sylvie Favel, mandatés par la Ville, sont à l'origine de cette scénographie urbaine et du design des soclages. Escarpin en veau velours peint à la main en un dégradé de tâches. Double talon en bois sculpté, en forme de pattes arrière de girafe recouvert et peint de la même manière. Cet escarpin est inspiré de la création de Stéphane Couvé- Bonnaire. Cet étonnant escarpin intrigue intrigue par sa référence au monde animal. Son créateur, Stéphane Couvé-Bonnaire, alors jeune étudiant, participe, en 1995, au concours "exercice de style" organisé par la fédération Française de la Chaussure. Ce concours stimule la créativité et révèle de jeunes créateurs. Il imagine et réalise ce talon qui évoque les pattes arrière d'une girafe et fait sensation. Il remporte le 1er prix. Acquis par les amis du musée et conservé au musée de la chaussure, ce modèle s'accompagne d'un escarpin zèbre dans le même esprit. Les talons sont en bois sculpté et l'effet pelage entièrement peint à la main. Entre rêve et réalité, ses créations très remarquées fascinent et surprennent. Dimension sans socle de la version monumentale: L.2,75 X H.200m X I.0,95m

Carrefour de l'Europe 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Derby Roel - Robert Clergerie

Le musée de la chaussure hors les murs. Inspirée de modèles emblématiques exposées au musée de la Chaussure, ces œuvres rendent hommage à la créativité et à la technique de grands chausseurs, tels que Roger Vivier, Stephane Kelian ou Charles Jourdan...Jean-Luc Tamisier et Sylvie Favel, mandatés par la Ville, sont à l'origine de cette scénographie urbaine et du design des soclages. Derby en cuir, tricolore. Bout golf fleuri. Décors de perforations. Plateau en chevreau velours moutarde, quartiers pailletés bleu marine, bas de l'empeigne et quartier arrière cuir vernis noir. Cette chaussure est inspirée de la création de Robert Clergerie réalisée en 2016. Ce derby est un modèle phare de la marque. En 1981, Robert Clergerie met aux pieds des femmes un modèle jusqu'ici résolument masculin, le Derby. Edité chaque saison depuis sa création, il a largement contribué au succès et à la renommée de son entreprise. Toujours adapté à l'air du temps, ce derby pour femme s'est décliné en 35 coloris à l'occasion des 35 ans de la maison dans le cadre de sa collection Roel. L'entreprise romanaise poursuit l'affirmation de son style tout en répondant aux évolutions de la mode. Elle innove et crée des chaussures architecturées, des sandales à talon métal ou compensé, des semelles en bois qui signet son identité. La Maison Clergerie est une marque de prestige, en France et dans le monde. Dimension sans socle de la version monumentale: L.2,97m X H.1,11m X I.1,22

Avenue Gambetta 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Eglise Notre Dame de Lourdes

Consacrée en 1938 et achevée en 1940, elle est depuis 2024, protégée au titre des Monuments Historiques. et dessert le nouveau quartier de la gare. Le monument est labellisé « patrimoine du XXe siècle ».Alors que le quartier de la gare se développe, l’évêché de Valence entreprend l’édification d’un nouveau lieu de culte sur une parcelle qui borde la nouvelle place centrale de Romans. Le projet est confié à deux architectes : François Bérenger et Dom Bellot. Ceux-ci s’inspirent du style gothique moderne pour construire un bâtiment en béton armé, que l’on peut aussi rapprocher du courant architectural de l’Art déco. La façade est rythmée par des ouvertures et des pignons « gothiques ». Le clocher culmine à 45 m. La statue de la Vierge, de près de 7 m, ainsi que les autres statues, sont dues à Georges Serraz. Les trois travées intérieures se regroupent en une coupole unique. L'autel est du sculpteur Toros. Le chemin de croix est réalisé par Jac Martin-Ferrières. Ce peintre né en 1893, d’abord marqué par le courant pointilliste, développe ensuite son propre style. Peintre et chimiste, il choisit de revenir à une technique antique, celle de la peinture à l’encaustique. Délayer les pigments dans de la cire d’abeille lui permet d’obtenir des couleurs plus contrastées. Il développe le thème du chemin de croix comme une histoire qui se déroule sur l’ensemble des murs de l’édifice, sans oublier les coupoles. La réalisation des vitraux est confiée à deux maîtres-verriers : Louis-Ferdinand Balmet (Grenoble) pour la nef et le choeur, et Georges Thomas (Valence) pour l’entrée. De 1941 à 1949, maîtres-verriers, peintre et sculpteur travaillent de concert pour produire un ensemble homogène, où la lumière vient mettre en valeur les autres oeuvres présentes dans l’église. L’iconographie choisie demeure classique : chaque vitrail représente un saint et plusieurs d’entre eux sont consacrées à Notre-Dame. Le choix du bleu comme couleur prédominante peut aussi être vu comme un hommage à Marie, à qui cette couleur est traditionnellement associée. Le mobilier du choeur est issu d’une commande passée en 1984 au sculpteur Toros, sculpteur romanais d’origine arménienne. Réalisé en feuilles de laiton, le mobilier très sobre représente des enfants portant une lyre (pupitre) et tendant les bras vers le ciel (autel). Au centre de l’autel, une mère recroquevillée sur son enfant est également présente. (Le 3 du document " Parcours Romans du Moyen Age au XXIème siècle" correspond au O du plan découverte de Romans)

7 Rue Solférino 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter
image du object

Escarpin à Talon Aiguille - Charles Jourdan

L'escarpin rouge retrouve aujourd'hui sa place (après avoir été déplacé quelques mois dans les jardins du Musée), face à l'Office de Tourisme Place Jean Jaurès dans un environnement valorisant. Le musée de la chaussure hors les murs.Inspirée de modèles emblématiques exposées au musée de la Chaussure, ces œuvres rendent hommage à la créativité et à la technique de grands chausseurs, tels que Roger Vivier, Stephane Kelian ou Charles Jourdan... Jean-Luc Tamisier et Sylvie Favel, mandatés par la Ville, sont à l'origine de cette scénographie urbaine et du design des soclages. Chaussure de femme en chevreau noir, décolleté avec nœud en chevreau. L'escarpin est dans sa version rouge "Jourdan" . Cette chaussure s'inspire de la création de Charles Jourdan de 1963. Cet escarpin est une chaussure emblématique des années 1960 et de la maison Charles Jourdan. Avec son bout pointu et son talon aiguille Louis XV, il témoigne de toute l'élégance et du savoir faire de l'entreprise installée à Romans depuis 1921. Devenue un leader de la chaussure de luxe sur la scène internationale, sa collaboration avec Christian Dior confirme sa renommée. Charles Jourdan et ses fils réussissent à adapter l'entreprise aux évolutions de la mode. Ils développent l'image d'une entreprise créative et audacieuse. fermée en 2007 , l'histoire et le savoir faire de Charles Jourdan restent étroitement liés à la ville de Romans et ses habitants. Dimensions sans socle de la version monumentale: L.2,90m X H.1,75m X I.0.92m

Place Jean Jaurès 26100 Romans-sur-Isère
- Valence Romans Tourisme -
Consulter

Informations complémentaires

Mis à jour par

Valence Romans Tourisme - 09/12/2025
www.valence-romans-tourisme.com/fr/
Signaler un probleme

Période d'ouverture

Toute l'année tous les jours.

Contact

Téléphone : 04 75 02 28 72

Notes et avis

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾