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Rallye pédestre pour les enfants et leurs parents: découverte du patrimoine architectural d'un quartier spadois

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Description

Ce parcours libre permet aux enfants accompagnés de leurs parents de découvrir en s’amusant quelques éléments caractéristiques du patrimoine architectural spadois, en répondant à des questions relatives aux bâtiments à valeur patrimoniale qu’ils rencontreront dans le quartier sud et dans un quartier du centre de la ville. Pour les plus grands et pour les parents, un complément d’information est apporté au fil des découvertes. Il se trouve dans les encadrés.

Nous vous invitons à la découverte de ce quartier de notre ville thermale, ville originelle de la tradition thermale qui a donné son nom « SPA » à toutes les villes thermales du monde et inscrite depuis juillet 2021 sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO aux côtés de dix autres villes thermales européennes.

AVERTISSEMENT

Soyez prudents lorsque vous traversez les rues. Cette activité se réalise sous votre responsabilité. SPA PATRIMOINE ASBL ne peut être tenue responsable des accidents qui pourraient survenir durant cette activité. Bonne découverte et bon amusement.

Apprendre à regarder, en ville ou à la campagne. Les façades anciennes peuvent raconter des histoires, parler de leur vie. Pas besoin d’être architecte ou historien. Prendre simplement le temps de les regarder et de les lire. Regarder, c’est-à dire prendre la peine, au-delà d’une simple vision passive de l’objet et de l’information subie, d’aller à la rencontre de monuments. Prendre le temps de lever le nez, constater, découvrir, s’interroger. Apprendre à regarder la couleur des matériaux, la forme des fenêtres, celle de la toiture, repérer des détails, des éléments particuliers, insolites. Déchiffrer, noter la mise en œuvre des matériaux, repérer les cicatrices, les coutures, les agrandissements, les exhaussements. Comprendre que le bâtiment a vécu, qu’il a subi des transformations, qu’il a peut-être connu l’évolution des styles, qu’il a été mis au goût du jour. 

Comprendre qu’un de ses habitants, un jour, a peut-être décidé d’abaisser les appuis de fenêtre pour mieux profiter de la lumière naturelle ou, de son fauteuil, des scènes de la rue. Faire parler un bâtiment, lire ses façades. Tant d’éléments peuvent en dire long sur sa vie. Apprendre à regarder, aller au-delà d’une simple perception vague qui banalise la vision de l’architecture. Prendre le temps de s’arrêter, de lire une page d’architecture, de la comprendre, de l’écouter, comme un livre d’histoire.

1. LA FONTAINE MONUMENTALE

2. LES BALCONS

3. L’ÉGLISE ET LA PLACE ACHILLE SALÉE

4. RUE DU WAUX-HALL

5. LE WAUX-HALL

6. AVENUE ANTOINE POTTIER

7. AVENUE MARIE-THÉRÈSE

8. BOULEVARD RENER

9. PLACE DES ÉCOLES

10. PLACE VERTE 

11. PLACE DU MONUMENT

12. PLACE ROYALE 

13. RUE DELHASSE ET RUE DAGLY

14. POUHON PIERRE-LE-GRAND

L’objectif de l’asbl SPA PATRIMOINE est la valorisation et la sauvegarde du patrimoine architectural, naturel et culturel de Spa, notamment en assurant sa promotion et sa connaissance par le développement d’activités de découverte, d’animations et de publications.

www.spapatrimoine.org

Pour en savoir plus :

REGION WALLONNE – AWaP, Inventaire du Patrimoine Culturel Immobilier, 2017. 

www.wallonie.be/patrimoine/ipic

CURIEN Emeline et NELLES Norbert (sous la direction de), Guide architecture moderne et contemporaine 1868-2022- Verviers, Spa, Ostbelgien, cellule architecture de la fédération Wallonie-Bruxelles, 2022

MARCHAL Martine, A la découverte du patrimoine architectural spadois, dans MAUGIS- La revue des Amis de l’Ardenne, Spa, Perle de l’Ardenne, n°72, juin 2021.

Informations techniques

Marche
Difficulté
Non renseignée
Dist.
2.6 km
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Profil altimétrique

Point de départ

4900   Spa
Lat : 50.49231Lng : 5.86721

Points d'intérêt

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Le Pouhon Pierre-le-Grand

La source appelée Pouhon Pierre-Le-Grand, située en plein centre de la ville, est abritée dans un remarquable bâtiment construit en 1880 sur les plans de Victor Besme.Le mot « Pouhon » provient de l’ancien français « puison », endroit où l’on puise l’eau.Le Pouhon porte le nom de Pierre-Le-Grand, tsar de Russie, depuis sa guérison en 1717, alors qu’il était venu en cure à SpaCe bâtiment est éclairé par de grandes fenêtres cintrées et par un lanterneau, en sommet de toiture. De nombreux éléments décoratifs en zinc ornent cette toiture.QUESTION 27. De quelle forme est le plan du bâtiment abritant la source ? Carré ? Rectangulaire? Hexagonal ? Octogonal ?REPONSE27. Le plan du bâtiment abritant la source est octogonal.Ici s’achève une balade à Spa, ville thermale reconnue patrimoine mondial de l’Unesco avec 10 autres villes thermales d’Europe. Quelques-unes de ses caractéristiques ont été découvertes à travers ce parcours : les anciens thermes, des fontaines, un casino, des villas, …toute l’atmosphère d’une ville thermale. Simplement en regardant. L’objectif de l’asbl SPA PATRIMOINE est la valorisation et la sauvegarde du patrimoine architectural, naturel et culturel de Spa, notamment en assurant sa promotion et sa connaissance par le développement d’activités de découverte, d’animations et de publications.www.spapatrimoine.orgpour en savoir plus :REGION WALLONNE – AWaP, Inventaire du Patrimoine Culturel Immobilier, 2017. www.wallonie.be/patrimoine/ipiccurien Emeline et NELLES Norbert (sous la direction de), Guide architecture moderne et contemporaine 1868-2022- Verviers, Spa, Ostbelgien, cellule architecture de la fédération Wallonie-Bruxelles, 2022MARCHAL Martine, A la découverte du patrimoine architectural spadois, dans MAUGIS- La revue des Amis de l’Ardenne, Spa, Perle de l’Ardenne, n°72, juin 2021.

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L'église et la place Achille Salée

L’église paroissiale Notre-Dame et Saint-Remacle est un vaste édifice en pierre, construit de 1883 à 1886.Une église est presque toujours orientée, c’est-à-dire que le chœur se trouve à l’orient, à l’est. Ce n’est pas le cas ici. L’édifice actuel a été construit à l’emplacement d’une église plus ancienne qui, elle, était orientée. Question 5. Dans cette église furent célébrées les funérailles de la Reine Marie-Henriette, dont on vient de voir un portrait au-dessus de la fontaine monumentale. En quelle année ?Comme son nom l’indique, un clocher est destiné à recevoir les cloches. Le son des cloches est dirigé vers le trottoir grâce aux abat-sons, les lames horizontales insérées obliquement dans les baies (les ouvertures) du clocher. Le clocher est surmonté d’une flèche, c’est-à-dire une très haute couverture à versants. Question 6. Combien de faces présentent les deux flèches des clochers ?Regardez maintenant toutes les façades des maisons de la place, côté droit en montant, et recherchez la plus petite en vous dirigeant vers la rue du Waux-Hall.Question 7. Quel numéro porte cette plus petite façade ? Quelle est sa largeur ? Environ 2,75 mètres, 2,50 mètres ou moins de 1,80 mètre ?Cette église, construite en calcaire sur les plans de l’architecte Eugène Carpentier, de Beloeil, est de style néo-mosan-rhénan. À l’intérieur, le mobilier de style néo-roman a été dessiné par C. Sonneville et en partie réalisé par le sculpteur anversois Pierre Peeters, à la fin du 19e siècle.La plus petite façade de la place compte une seule travée, c’est-à-dire une seule tranche verticale d’ouvertures superposées. Le niveau, ou l’étage, correspond quant à lui à une tranche horizontale de baies alignées.Le bâtiment dessiné en pièce-jointe compte 2 niveaux et 3 travées.REPONSES5. Les funérailles de la Reine Marie-Henriette ont eu lieu le 22 septembre 1902.6. Les 2 flèches de l’église présentent 2 X 8 pans = 16 pans.7. La plus petite façade porte le n°19 et mesure moins de 1,80 mètre.

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Rue du Waux-Hall

En montant la rue du Waux-Hall, on passe devant deux maisons dont les façades sont classées (Numéros 4 et 6.) Elles portent chacune un écusson qui donne cette information, à droite de leur porte d’entrée. Cela signifie qu’elles sont protégées. Elles sont protégées parce qu’elles sont caractéristiques de l’architecture du milieu et de la seconde moitié du 18e siècle. Le trottoir qui les longe, constitué de pavés, est également protégé.Question 8. Au numéro 4, quels sont les éléments en bois peints en bleu ?Les fenêtres sont complétées de persiennes, c’est-à-dire de contrevents formés de lamelles horizontales inclinées, assemblées dans un châssis. Ces lamelles sont mobiles. Le contrevent est un panneau pivotant sur un de ses bords verticaux. Il sert à doubler extérieurement un châssis vitré. Le volet est un panneau pivotant sur un de ses bords verticaux. Il sert à doubler intérieurement un châssis vitré.Comment reconnaître un bâtiment de la seconde moitié du 18e siècle ? Notamment par la forme des baies et de leurs linteaux, presque toujours interrompus par une clé trapézoïdale.Représentations des types de linteaux les plus fréquents de la seconde moitié du 18e siècle en pièce-jointe.En continuant le long de la rue du Waux-Hall se trouve sur le même trottoir une maison d’une autre époque, portant le numéro 12.Question 9. Quel est le nom de l’architecte qui a construit cette maison ?Cette construction date des années 1930. La façade est recouverte d’un enduit décoratif peint en blanc d’inspiration Art Déco, comme les garde-corps en fer forgé et la porte d’entrée.Continuez jusqu’à l’entrée du jardin du Waux-Hall.REPONSE8. Les éléments peints en bleu sont la porte d’entrée, les châssis, les persiennes et la corniche.9. Le nom de l’architecte est Jean Montulet.

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Le Waux-Hall

Le Waux-Hall est un grand bâtiment en briques peintes en rose clair, précédé d’une cour d’honneur bordée d’une belle grille en fer forgé. Œuvre de l’architecte liégeois Jacques-Barthélemy Renoz, il a été construit de 1769 à 1771 pour abriter un casino et une grande salle de bal à l’étage. Cette salle de bal est éclairée par les grandes fenêtres cintrées percées à l’étage du bâtiment central.Les anciens bâtiments en briques étaient toujours peints. Pas uniquement pour les embellir mais surtout pour les protéger. Les briques étaient autrefois cuites de façon artisanale. Elles étaient donc parfois poreuses, perméables à la pluie. Pour les rendre plus résistantes à l’humidité, elles étaient peintes ou enduites. Dans cette seconde moitié du 18e siècle, la mode était aux teintes pastel : blanc cassé, beige, jaune très pâle, vert clair (vert tilleul), gris perle.Question 10. Et toi, quelle couleur parmi elles choisirais-tu ?La palette chromatique des bâtiments a évolué au fils des siècles. De manière générale, jusqu’au début du 18e siècle, la gamme des teintes qui recouvraient les façades s’étendait du rouge-brun sombre au rouge orangé, les argiles locales et les oxydes de plomb constituant la matière première colorante.Petit à petit, sous l’influence de la mode et des courants classiques et néo-classiques, le rouge est abandonné au profit des teintes pastel, appréciées durant la seconde moitié du 18e siècle, puis du blanc, symbole de pureté et de propreté. S’opposant à l’uniformisation générale parfois imposée du blanc, une nouvelle esthétique fait son apparition au 19e siècle : l’éclectisme. La combinaison de matériaux différents et de teintes variées est mise à l’honneur. S’ensuivra la mode du décapage des façades, causant la disparition des témoins de teintes anciennes mais provoquant aussi des dommages parfois irréversibles aux parements de briques dont la protection disparaissait.On retrouve de grandes fenêtres cintrées, caractéristiques de la seconde moitié du 18e siècle, qui éclairent la salle de bal. Il s’agit ici d’un bâtiment prestigieux, richement décoré. La clé du cintre (claveau au milieu de l’arc) de chacune de ces baies est sculptée. Elle porte des mascarons, (figures fantastiques) alternativement masculin et féminin.Afin d’éviter de tomber en se penchant par les fenêtres, celles-ci sont dotées chacune d’un petit garde-corps en fer forgé, appelé accoudoir.Traverser le jardin du Waux-Hall en longeant la grille côté gauche. Les habitants du quartier y ont aménagé un petit jardin d’herbes aromatiques et de plantes potagères et y ont fait pousser des fleurs. Empruntez ensuite la seconde rue à droite, l’avenue Antoine Pottier.REPONSE10. Réponse au choix parmi les teintes pastelles proposées

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Avenue Antoine Pottier

La cité Antoine Pottier est une petite cité-jardin de 51 logements sociaux conçue par l’architecte spadois René Paës et construite de 1925 à 1933. Les habitations y sont regroupées par 3 ou 4. Ces blocs séparés épousent ainsi la pente du terrain.Comme beaucoup de rues à Spa, celle-ci est plantée d’arbres sur les deux côtés du trottoir. La rue est bordée de petites maisons mitoyennes qui sont toutes précédées d’un jardinet. Des maisons mitoyennes sont des maisons jointives, construites côte à côte. Question 11. Certaines de ces maisons portent un nom. Pouvez-vous en trouver deux ? Il est intéressant de conserver et de mettre en valeur grilles, murets, piliers et haies qui ferment ces jardinets. Ceux-ci font souvent partie de la conception architecturale initiale de l’habitation et font alors souvent partie du « petit patrimoine » de la ville.La rue tourne à angle droit. Continuez de repérer les maisons qui portent un nom. Regardez bien la façade des numéros 14 et 18. Elles portent un décor qui ressemble à un décor de branches et de troncs d’arbres, comme une cabane. Ces maisons pittoresques sont recouvertes d’un rusticage, (ce qui caractérise leur style dit rustique). Il s’agit d’un enduit décoratif simulant des éléments en bois naturel (branchages, troncs, etc.).Au bout de l’avenue, traverser le carrefour et continuer tout droit, avenue Marie-Thérèse.REPONSE11. Noms de maisons : « Bel Horizon », « Les Raniers » …

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Avenue Marie-Thérèse

A l’angle de la rue se trouve une ancienne boîte aux lettres en fonte peinte en rouge. Mis en service en 1897, ce modèle porte la marque de fabrique de la fonderie J.G.Réquilé, de Liège. Cette boîte auxlettres est toujours utilisée.Question 12. A quelle heure est la dernière levée du facteur ?Ici aussi, deux rangées d’arbres agrémentent l’avenue. La présence d’arbres embellit considérablement l’espace-rue. Grâce aux plantations, le cadre de vie est plus coloré et il évolue avec les saisons. Regardez bien les formes des fenêtres des habitations en avançant dans l’avenue.Question 13. Quels numéros portent les deux maisons jointives qui ont une fenêtre ronde ?Une fenêtre ronde percée dans un mur et fermée par un châssis vitré est un oculus. Une fenêtre ronde percée dans un toit et fermée par un châssis vitré est un œil-de-bœuf.Question 14. Comment s’appelle la villa située au numéro 32 ?A Spa, d’après un recensement effectué en 1903, 300 villas portaient un nom qui les personnalisait. Les appellations sont variées : prénom, nom de famille, nom d’un lieu étranger. Le nom choisi peut aussi être en relation avec le site dans lequel la villa est implantée ou celui d’un végétal (fleur, arbre, …) ou bien encore celui d’un oiseau, etc.Tourner à droite boulevard RenerREPONSES12. La dernière levée est à 10 heures.13. Le n° des maisons ayant des fenêtres rondes est le 9 -13.14. La villa située au n°32 est la villa Jenny.

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Place des Ecoles

Question 16. Juste à l’angle de la rue Lezaack et de la place des Écoles, en levant les yeux, on peut découvrir au numéro 22 deux cheminées qui portent des initiales en fer forgé. Quelles sont ces initiales ?Sur la place, traverser au premier passage pour piétons et se retourner.Question 17 Quels sont les animaux représentés sur les vitraux de la loggia de la maison portant le numéro 33, à l’étage ?Le vitrail est une composition faite avec des morceaux de verres colorés, sertis au plomb.Avec le renouveau des arts décoratifs de la fin du 19e siècle, les façades intègrent souvent des vitraux. C’est le cas de plusieurs façades de cette place inspirées du style Art Nouveau.Question 18. Quels sont les arbres plantés sur la place ? (Le nom de la maison numéro 31 ne vous aidera pas à trouver la réponse.)Question 19. En quelle année a été construite la maison portant le numéro 13 ?Descendre jusqu’au bas de la place et tourner à gauche rue des Ecomines. Regardez bien les façades … et certains détails…Descendre la rue en empruntant à droite la rue des Chaffettes pour arriver place Verte.Une chaffette (du terme wallon « tchafète ») est une femme bavarde. On raconte qu’à la sortie des offices qui se tenaient à la chapelle des Capucins toute proche, les femmes s’arrêtaient souvent dans cette petite rue pour bavarder.Tourner à droite place VerteREPONSES16. Les initiales des ancres sont : A et M.17. Au n° 33, les vitraux de la loggia représentent des papillons.18. Les arbres de la place sont des érables.19. D’après l’inscription se trouvant au dernier niveau, la date de construction est 1911.

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Rue Delhasse et rue Dagly

Autrefois, de très nombreux hôtels accueillaient les touristes qui fréquentaient Spa. Dans cette rue se trouvent deux importants hôtels du 18e siècle :l’hôtel de Bourbon et l’hôtel d’Irlande. Ils datent de la seconde moitié du 18e siècle et ont été repeints en jaune pâle.Question 25. Quel numéro porte l’ancien hôtel de Bourbon ? En quelle année a-t-il été construit ?Cet hôtel, qui est élevé sur trois niveaux de cinq travées, est un double corps : il présente deux rangées de pièces distribuées par un couloir central. Dans le cas de double-corps, la façade est symétrique et compte toujours un nombre impair de travées. La travée centrale, qui abrite l’entrée, est en légère avancée. Elle est limitée de part et d’autre sur toute sa hauteur, comme aux angles de la façade, par des pilastres à refends (piliers en faible saillie taillé de fentes horizontales régulières). Ici aussi, un joli balcon surmonte l’entrée. Son garde-corps en fer forgé porte le nom de l’hôtel.Question 26. D’autres anciens hôtels se situent également rue Dagly. Quels sont leurs noms ?Des lucarnes éclairent les combles (espaces intérieurs sous la toiture) des deux anciens hôtels. Les toitures des deux bâtiments sont recouvertes toutes les deux d’ardoises, mais la forme de ces toitures est différente. Au numéro 32, le toit est à deux versants. Au numéro 30, le toit est brisé. Il présente deux pentes différentes sur le même versant, séparées par une arête.Le parcours s’achève au bout de la rue Dagly pour rejoindre le Pouhon Pierre-le-Grand, une autre grande source spadoise.REPONSES25. Au numéro 32, l’ancien hôtel de Bourbon a été construit en 1774.26. Rue Dagly, on trouve aussi l’hôtel de Suède et l’hôtel d’Autriche, deux constructions du 18e siècle

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