N°9 Entre Loire et plaine

L'exploitation familiale transforme son lait en glace et desserts. Ces terres sont cultivées en agroécologie, et grâce à elles produisent : bière artisanale, lentilles vertes, maïs pop-corn, steak haché, lait cru et crème fraîche (sur commande).Vente directe au magasin : Depuis plus de 30 ans, La ferme des délices foréziens transforme son lait en onctueuses crèmes glacées ses fruits locaux en délicieux sorbets, et crée des desserts glacés et des biscuits, tout aussi délicieux les uns que les autres. A travers des visites familiales et thématiques, venez découvrir la vie d’une exploitation laitière qui transforme une partie de son lait en délicieuses glaces. Il y en a pour tous les âges et pour tous les goûts ! Notre programme de visites est à l’image de la diversité de nos activités : L’agroécologie, le cycle du lait, les énergies renouvelables et la méthanisation, la biodiversité et sa chasse aux petites bêtes, la fabrication de glaces artisanales, les travaux des champs et la découverte du matériel agricole, mais aussi nos « Fermes en histoires » pour les plus petits, tout en manipulations et en chansons… Autres activités : -Escape Game : 1362 : La Révolte des Paysans -Laser Game Extérieur -Un gîte 6/8 personnes dans une ferme des années 50 -En Eté : Labyrinthe de Maïs -Espace jeux gonflables printemps été, suivant la météo. - Swincar : balade en buggy tout terrain électrique. Visites et activités : toute l’année sur réservation. Domaines d'Activités : - Élevage Laitier - Fabrication de glaces, sorbets, desserts glacés et biscuits. - Visites thématiques et Animations touristiques - Production d'énergies renouvelables - Culture. Accueil Vélo: "La Ferme des Délices foréziens est labellisée depuis 2021". Accueil Vélo est une marque nationale (appartenant à France Vélo Tourisme - www.francevelotourisme.com) qui garantit un accueil et des services de qualité auprès des cyclistes le long des itinéraires cyclables.

Lors de la création de la place de l'église (1972), les fouilles réalisées confirment que le site de Marclopt est occupé depuis environ 2000 ans. Derrière l'église, à l'est, une sépulture carolingienne a été trouvée (entre 800 et 1000 ans).Cette sépulture semble indiquer qu'un lieu de culte existait, sans doute à la place de l'église actuelle. Le chœur de l'église semble remonter à la fin du 11ème siècle ou au commencement du 12ème. L'abside est circulaire, voûtée en cul-de-four, avec trois arcatures reposant sur des colonnes dont les chapiteaux trapus portent des têtes et des feuillages grossièrement sculptés. Un bahut, à hauteur d'appui, couronné d'une belle moulure, reçoit les bases de ces colonnes. Il existe deux absidioles servant de sacristies, celle de gauche étant certainement plus ancienne. Actuellement, la nef centrale comporte trois travées, les murs sont évidés par deux fois trois arcatures basses en arc brisé, qui communiquent avec les nefs latérales. Le seigneur de Marclopt résidant dans la Maisonfort avait droit de chapelle dans l'église, ce qui fait dire à certains qu'il existait un souterrain reliant l'église à la Maisonfort. Pour le moment ce souterrain n'a pas été mis à jour. Le clocher a été érigé vers 1500. Il a été pourvu d'une cloche en 1520. Elle a été changée en 1785 puis en 1923.

L’église semble avoir été construite au 10ème siècle et remaniée plusieurs fois, elle était d’ailleurs la chapelle des mariniers.La Loire étant réservée à la navigation, un port y fut construit. Les sapines ou rambertes étaient des embarcations à fond plat construites pour transporter la houille jusqu'à Roanne. Le village était donc fréquenté par les bateliers, profession qui existait entre le 13ème siècle et le 18ème siècle. C’est sans doute pour cela que la porte d’entrée de l’église a été placée en direction du fleuve, soit à l’opposé du bourg. La mairie, qui à cette époque était la cure, a le même profil; la porte d’entrée est également tournée vers l’extérieur de ce même bourg. Ces deux particularités font que le centre de St Laurent-la-Conche se distingue des autres villages. La profession de bateliers sur cette partie du fleuve avait disparu en 1850 dès la mise en service de la ligne de chemin de fer St Etienne-Roanne rendant le prix du transport de la houille plus intéressant.