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Les troupes russes en France pendant la Première Guerre mondiale

Les troupes russes en France pendant la Première Guerre mondiale
Les troupes russes en France pendant la Première Guerre mondiale
Crédit : 77pascalg

Description

Ce parcours est proposé par le site cheminsdememoire.gouv.fr.
Ce site s’inscrit dans le cadre de la politique menée par le ministère de la défense pour développer le tourisme de mémoire.
Son objectif est la valorisation des lieux de mémoire existant en France, pour lesquels il propose de nombreux reportages photo et donne des informations, en répartissant équitablement les domaines : Histoire, mémoire, tourisme et culture.

Visiter...

Etape 1 : la Marne

1 - Nécropole russe de Saint-Hilaire-le-Grand
La nécropole de Saint-Hilaire-le-Grand, dans la Marne, rassemble les corps des soldats russes tombés sur le sol français lors de la Première Guerre mondiale.

2 - Musée du Fort de la Pompelle
Clef de voûte de la défense de la ville de Reims et lieu de combats acharnés entre 1914 et 1918, le Fort de la Pompelle abrite un musée.

Circuit décrit par Pascal G. (77).
V1.0 de mars 2016

source :
www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/les-troupes-russes-en-france-pendant-la-1ere-guerre-mondiale
Ministère de la Défense
SGA
Direction de la mémoire, du patrimoine et des archives, Site Chemins de mémoire

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 04/04/2024
33 km
4 h
max. 139 m
min. 91 m
158 m

Profil altimétrique

Point de départ

51600 Saint-Hilaire-le-Grand
Lat : 49.1578Lng : 4.39998

Points d'intérêt

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Nécropole russe de Saint-Hilaire-le-Grand

La nécropole de Saint-Hilaire-le-Grand, dans la Marne, rassemble les corps des soldats russes tombés sur le sol français lors de la Première Guerre mondiale. Située près du lieu-dit "Ferme de l'Espérance", sur la commune de Saint-Hilaire-le-Grand (Marne), d'une superficie de 3412 m2, elle a recueilli 915 corps (489 en tombes, 426 en ossuaire). L'une de ces tombes est celle d'un sous-lieutenant russe du 23e Régiment de marche des volontaires étrangers, mort pour la France le 8 juin 1940. Une centaine de morts y furent inhumés en 1916, puis une trentaine en 1917. Informations historiques Cette petite nécropole, conservée après la guerre, devint le cimetière de regroupement des sépultures russes. De 1922 à 1934, environ 750 corps y furent transférés en provenance de Loivre, Hermon-ville, La Neuvillette, Cormicy, Châlons-sur-Vesle, Suippes, Sézanne, etc. En 1957, 1960 et 1972, une dizaine de corps y furent encore ré-inhumés, dont 6 venant de Forbach (Moselle). En 1988, 35 autres corps exhumés à Charleville (Ardennes) du cimetière communal y furent enterrés. Le 16 mai 1937, l'association des officiers russes anciens combattants sur le front français, fondée en 1923 et dont le président d'honneur était le général Gouraud, inaugura avec les anciens de la Division marocaine, dans la nécropole, une chapelle commémorative dédiée aux 4 000 soldats russes tombés en France et sur le front de Salonique. Cette oeuvre fut réalisée par l'architecte et peintre Albert Benois dans le style orthodoxe du XVème siècle. Les cérémonies du souvenir regroupent toujours aujourd'hui les anciens combattants russes et français unis pour honorer les morts. Ils se recueillent dans la nécropole, chaque année, le dimanche de Pentecôte. Les militaires russes inhumés dans nombre de cimetières nationaux français sont des prisonniers de guerre capturés par l'ennemi à l'Est et ramenés en France pour effectuer des travaux forcés à l'arrière de son front. Bagnards soumis souvent à des conditions de vie inhumaines, ces malheureux soldats périrent par milliers. Les principaux cimetières où ils reposent sont en Moselle, à Metz (1280), Thionville (692), Riche (158); dans le Bas-Rhin à Haguenau (122), Sélestat (38), Strasbourg (149), Wissembourg (221), Plaine (26); la Meuse à Brieulles (123), Montmédy (127) ; la Meurthe-et-Moselle à Labry (358), Pierrepont (493), les Ardennes à Sedan Saint-Charles (379), Rethel (213), Vouziers (124) ; le Nord : Asseyent (260), Cambrai (192), Valenciennes (207) ; l'Aisne : Cerny-en-Laonnois (54), Effry (281), Saint-Quentin (117), etc. A Saint-Hilaire-le-Grand, près de la nécropole, existe un monument érigé durant la Grande Guerre sur les lieux de leurs premiers combats par les fantassins du 2e régiment spécial, et dédié à leurs morts. Sur l'une de ses faces, on lit : "Enfants de France ! quand l'ennemi sera vaincu et que vous pourrez librement cueillir des fleurs sur ces champs, souvenez-vous de nous, vos amis russes, et apportez-nous des fleurs". Point d'intérêt décrit par Pascal G. V1.0 mars 2016 source : cheminsdememoire.gouv.fr/fr/necropole-russe-de-saint-hilaire-le-grand

51600 Saint-Hilaire-le-Grand
- Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18 -
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Musée du Fort de la Pompelle

Clef de voûte de la défense de la ville de Reims et lieu de combats acharnés entre 1914 et 1918, le Fort de la Pompelle abrite un musée.Clef de voûte de la défense de la ville de Reims et lieu de combats acharnés entre 1914 et 1918, le Fort de la Pompelle abrite un musée. Le Fort de la Pompelle se trouve à 5 km de Reims. Classé monument historique, ce haut lieu de la guerre 1914-1918 est le seul fort resté aux mains des Alliés durant les combats et qui a permis la défense de Reims. Le Fort de la Pompelle s'étend sur 2,31 hectares. Il a été édifié de 1880 à 1883 pour soutenir les forts principaux de Witry-les-Reims, Nogent-l'Abbesse, Berru, Brémont, Saint-Thierry, Fresne et Montbré, qui constituent la ceinture défensive de Reims. Les travaux sont effectués, sous la direction d'officiers du Génie, par une compagnie disciplinaire. Les casemates, prévues pour loger normalement 11 officiers, 16 sous-officiers et 250 hommes, ainsi que les murailles, en granit de l'Est, sont recouvertes d'une couche de terre crayeuse de quatre mètres d'épaisseur. L'approvisionnement en eau est assuré par un puits profond de quarante-huit mètres. L'armement, démonté en 1913, correspond aux préconisations de l'état-major. Il se compose de dix pièces d'artillerie (six canons de 155 mm modèle 1881 du système Bange et quatre canons de 138 mm) de rempart et de huit pièces de flanquement. Durant les quatre années de guerre, 180 régiments, dont deux brigades spéciales russes en 1916 et des bâtiments fluviaux de la Marine nationale postés embossés (amarrés) sur le canal entre Sept-Saulx et Courmelois, se succèdent pour défendre le Fort de la Pompelle et Reims. Les bombardements allemands, incapables de venir à bout des défenseurs, bouleversent complètement le site. Le Fort de la Pompelle en effet, désarmé lors du commencement de la guerre, est pris sans combat par les troupes allemandes le 4 septembre 1914 mais reconquis, le 24 septembre 1914, par le 138e régiment d'infanterie, dans le sillage des victoires de la Marne. Le 1er corps d'armée du général Mazillier ne libère la zone de l'emprise allemande qu'en 1918. Abandonné pendant quarante ans, les ruines du fort sont mises en vente en 1955. La Fédération Nationale André Maginot se porte acquéreur et le cède ensuite à la ville de Reims en 1968. Les collections du musée évoquent, au moyen de documents originaux, la vie quotidienne dans les tranchées de même que les âpres combats pour la défense de la cité des sacres : armes, équipements, pièces d'uniformes et d'artillerie, mannequins, etc. La salle consacrée à l'artillerie de tranchée présente notamment des canons de 75 français et de 77 allemands ainsi que les souvenirs du corps expéditionnaire russe en Champagne et ceux de l'aviation de chasse française. Une série unique au monde de 560 coiffes de l'armée impériale allemande renforce le caractère exceptionnel du site. Le dispositif de défense de la ville de Reims se compose de plusieurs forts : Réduit de Chenay Fort de St Thierry Batterie de Loivre Fort de Brimont Batterie du Cran Fort de Fresnes Fort de Witry-les-Reims Ouvrages de la Vigie de Berru Fort de Nogent l'Abbesse Fort de La Pompelle Fort de Montbre Point d'intérêt décrit par Pascal G. V1.0 mars 2016 source ; cheminsdememoire.gouv.fr/fr/musee-du-fort-de-la-pompelle

51500 Puisieulx
- Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18 -
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Information complémentaire

A lire

Le corps expéditionnaire russe pendant la Première Guerre mondiale

Après les accords de décembre 1915 avec la France, le gouvernement impérial russe met sur pied quatre brigades d'infanterie, fortes de 44 000 hommes, réparties en huit régiments spéciaux.

Les 2e et 4e brigades débarquent à Salonique pour se battre sur le front d'Orient, aux côtés des Alliés commandés par le général Sarrail. Elles serviront jusqu'à leur dissolution en janvier 1918.

Les 1re et 3e, (généraux Lochwitsky et Maruchevski), arrivent au printemps 1916 à Marseille, Brest, La Rochelle, acclamées par la population.

www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/le-corps-expeditionnaire-russe-pendant-la-premiere-guerre-mondiale

Auteur de la donnée

Image Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18
proposé par Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18
France

Notes et avis

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