Suivre le n°7 et le balisage jaune. Découvrez les Rives de la Crûme, et notamment le château de la Godelinière et le Calvaire. Le Château de la Godelinière remonte à des temps immémoriaux, mais on peut supposer que sa construction date de l'aube du second millénaire. Un pont-levis devait exister, et on peut encore voir un vestige de douves.
11 km
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max. 121 m
min. 80 m
74 m
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Styles : RandonnéeBaladeÀ la campagne Thématique : Patrimoine |
Prendre à gauche pour rejoindre la Grande Nallière en traversant la D755, puis rejoindre la Rondardière
Prendre à gauche après les bâtiments d'exploitation pour emprunter le chemin de terre
Prendre à droite jusqu'au vieux pont qui enjambe la Crûme. Prendre à gauche après le pont et suivre la rivière jusqu'à la D72.
Prendre le chemin à droite, puis à gauche après 500m en direction de la Perverie. Après la Perverie continuer sur la route goudronnée vers le bourg
Prendre à gauche la rue du chemin vert puis à gauche vers la Godelinière en contournant l'étang pour aller voir la grotte de Lourdes. Puis retour au point de départ.
Ancienne chatellenie de la Godelinière (XVème siècle), qui offre un site authentique et convivial propice à l'organisation de votre séjour. Le domaine s'ouvre sur un espace boisé et des prairies verdoyantes bordant un étang. Pêche, accueil de séjours scolaires, centre de loisirs, mariages, séminaires, réunions, hébergements (max 57 personnes). L'origine du château de la Godelinière se perd dans la nuit des temps. On peut toutefois supposer que sa construction date du début du second millénaire. L'antique demeure a été plusieurs fois remaniée. Sont visibles, à l'extérieur, un vestige de douves et l'emplacement d'un pont-levis.
Ruisseau le plus rapide de Vendée (23 km/h). Il prend sa source à 129 m d'altitude à Chambretaud (Concise) et se jette dans la Sèvre Nantaise au pied du Château de Tiffauges
Elle a été élevée en souvenir du Grand Massacre du 7 février 1794, commis par les "Bleus" (88 victimes, essentiellement femmes et enfants). Ce jour-là, le bourg fut incendié par une des colonnes infernales de Turreau. La Chapelle Saint-René, située face au cimetière, et qui abritait la statue d'une Vierge miraculeuse vénérée de toute la région subit le même sort. Sur une plaque commémorative, on peut lire les circonstances de cet horrible épisode des Guerres de Vendée.
Erigé en 1891 sur l'emplacement d'un monument précédent, détruit en en 1840 et qui ne possédait qu'une croix de bois sur un socle de granit. Il fut totalement rénové à l'occasion d'une "Mission" en 1959. La croix est flanquée de quatre statues : Notre-Dame des sept douleurs, Saint Jean, le Père de Montfort et Saint François Xavier. Autrefois, deux moulins à vent (aujourd'hui disparus) étaient érigés de part et d'autre du monument actuel. Au pied de ce grand calvaire : la borne Napoléon. Elle porte la mention "Base des Landes-Génusson 1807". Il s'agit probablement d'un repère sur une base de triangulation ayant servi à l'établissement du Cadastre Napoléonien.
Située sur la rive du Gaudineau, qui conflue avec la Crûme à Chambrette, à l'emplacement d'un ancien étang dont subsiste la chaussée, elle fut bénite le 25 mai 1879. L'autel actuel fut habillé de mosaïques par un artiste italien, Lipseo Zavagno, en 1944. Pèlerinage annuel le 1er dimanche de septembre.