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À voir autour

Le Chemin de Saint-Guilhem par le GR®6 variante des Gorges du Tarn (d'Aumont-Aubrac aux Vignes)

Croix de la Rode
Le panorama du Point sublime.
La Canourgue, ses canaux
La Croix de Bioulac en descendant sur Trélans
L'oculus au Roc des Loups, Marchastel, table de lecture verticale des paysages
Crédit : © OT Aubrac Lozérien

Description

Long de 240 km, le chemin de Saint-Guilhem™ traverse les vastes espaces naturels qui relient le département de la Lozère au nord, à celui de l’Hérault au sud.Ici ne s'affiche que la portion de tronçon allant d'Aumont-Aubrac jusqu'à la commune des VignesPour plus d'information sur l'itinéraire complet : Se procurer le Topoguide® édité par la Fédération de Randonnée pédestre : boutique.ffrandonnee.fr/le-chemin-de-saint-guilhem-le-desertle site internet du Chemin de Saint-Guilhem : chemin-st-guilhem.fr/

Informations techniques

Marche
Difficulté
Difficile
Durée
360h6mn
Dist.
114 km
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Profil altimétrique

Point de départ

Lat : 44.722586Lng : 3.284464

Étapes

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5

Le mur en pierre sèche chantier-école de Nasbinals

Très présents sur le territoire du Parc, les murs en pierre sèche sont des marqueurs forts et emblématiques des paysages de l’Aubrac. Dans la Charte du Parc, les élus ont clairement inscrit leur préservation et leur mise en valeur comme étant essentielles. Les raisons sont multiples : patrimoniale et paysagère évidemment, mais aussi pour préserver les savoir-faire et développer la filière économique de la pierre locale, voire le développement de productions agricoles.Depuis plusieurs siècles, les drailles et les estives de l’Aubrac sont délimitées par ce type de murs fabriqués très sommairement avec les pierres présentes au milieu des prairies. Sous leur apparente simplicité, se cachent de vrais savoir-faire et de multiples fonctions que le Parc de l’Aubrac a pour mission de préserver et de mettre en valeur. Ces murs dits « paysans » rassemblent de multiples qualités et fonctions. La ressource et la main-d’œuvre sont locales, le matériau est naturel. Les ouvrages sont drainants et participent à lutter contre l’érosion. Ils constituent enfin des abris pour la biodiversité animale et végétale.Dans les secteurs en pente, ailleurs sur le territoire du Parc, ces ouvrages en pierre sèche deviennent aussi des murs de soutènement pour des terrasses qui peuvent accueillir des activités agricoles : élevage, arboriculture, viticulture, maraîchage, châtaigneraies… Le site est idéal pour une formation ! Tout est à faire : terrassement, fouilles, stockage des pierres et construction du mur, depuis les fondations jusqu’au couronnement.Il s’agit d’une formation qualifiante : un « Certificat de qualification professionnelle Ouvrier professionnel en pierre sèche » encadrée par un formateur de l’ABPS*, partenaire privilégié du Parc et des collectivités locales qui souhaitent mener des projets autour de la pierre sèche, comme c’est le cas depuis plusieurs années. En effet, c’est la seconde fois que le Parc participe à l’accueil d’un chantier-école sur son territoire, le précédent s’était déroulé en 2018 à Rieutort d’Aubrac.Ce type de chantier-école permet la formation des professionnels sur le terrain, de communiquer avec les élus, la population locale et les randonneurs de passage. D’ailleurs, depuis moins d’une dizaine d’années, ce sont au moins 7 artisans locaux qui se sont formés et apportent leurs compétences aux communes et aux porteurs de projets qui souhaitent réhabiliter ce patrimoine.

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7

Eglise de Saint-Chély-d'Aubrac

En 1385, l’ancienne église (citée dès 1082) est incendiée par les routiers qui pillent le village (Guerre de Cent ans). Elle est reconstruite au début du XVe siècle sous l’impulsion du Dom d’Aubrac. Son clocher comporte la trace de la tour de guet (meurtrières) sur laquelle il a été édifié. La voûte en berceau brisé - sur le modèle de la Domerie d’Aubrac - est renforcée par de gros arcs doubleaux, en tuf volcanique, qui déterminent les travées.Le mobilier est assez exceptionnel pour un édifice aussi discret. Le maître-autel du XVIIIe siècle a été remanié vers 1860 par le peintre Castanié, auquel on doit aussi la copie de la « Descente de Croix » de Rubens, ainsi que le demi-relief présentant le Père Eternel et le tabernacle. Les niches latérales sont ornées de statues dorées de saint Roch et de saint Éloi (patron de la paroisse). La deuxième chapelle, à droite, comporte deux tableaux de remise du Rosaire par Lemaire (XVIIe siècle), mais la pièce maîtresse est certainement constituée par deux fragments de bas-relief en calcaire (première moitié du XIVe siècle), représentant le Christ et sept de ses apôtres, dont Jacques le Majeur, portant le bourdon des pèlerins de Galice et le grand chapeau à coquille. Cette très belle pièce a été exposée au musée du Louvre en 2009, dans le cadre de l’exposition « Les premiers retables, une mise en scène du sacré ».A l'office du tourisme, demandez le dépliant de visite du village.

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11

St Georges de Lévéjac

Saint-Georges de Lévéjac est un village situé sur le Causse de Sauveterre, tout près du panorama du Point sublime. L’Histoire du village remonte aux origines du christianisme dans cette région. Au VIème siècle, Saint-Hilaire, évêque de Mende, fait construire un oratoire dédié à Saint-Pierre à l’emplacement des Baumes, dans les Gorges du Tarn. Il fut remplacé au XIème siècle par une église desservant les habitants des Gorges et du Causse de Sauveterre jusqu’à la Piguière. Il fallait cependant établir un oratoire sur le Causse, pour répondre aux besoins du peu d’habitants qui vivaient sur ce plateau aride. Jusqu’au XIIIème siècle, l’oratoire de Saint-Georges sera une simple dépendance de l’église Saint-Pierre, mais les rôles s’inverseront peu à peu au fur et à mesure que les Causses se peuplent. L’église de Saint-Pierre et rattachée à celle de Saint-Georges en 1700, puis détruite en 1866. L’église de Saint-Georges fut particulièrement prospère au Moyen-Age, formant un prieuré rattaché au Monastère Saint-Martin de La Canourgue.  Un bâtiment à l’entrée du village témoigne de l’époque ou le village abritait une congrégation de sœur. Les sœurs du Sacré-Cœur furent les premières à fréquenter la bâtisse, ancienne auberge Boisset. En 1899, elles s’uniront à la congrégation de la Providence de Mende. Le couvent restera fréquenté jusqu’en 1980, et de nombreuses filles de la région vinrent y faire leurs études. Le presbytère de l’église est aménagé en gîte ruraux.  Au cours du XIXème siècle, Saint-Georges est l’endroit le plus peuplé du Sauveterre, notamment grâces aux hameaux de Soulages, qui possédait sa propre chapelle. Aujourd’hui, ce dernier est particulièrement bien restauré et constitue un exemple pittoresque de hameau caussenard préservé.

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Points d'intérêt

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Eglise de Saint-Chély-d'Aubrac

En 1385, l’ancienne église (citée dès 1082) est incendiée par les routiers qui pillent le village (Guerre de Cent ans). Elle est reconstruite au début du XVe siècle sous l’impulsion du Dom d’Aubrac. Son clocher comporte la trace de la tour de guet (meurtrières) sur laquelle il a été édifié. La voûte en berceau brisé - sur le modèle de la Domerie d’Aubrac - est renforcée par de gros arcs doubleaux, en tuf volcanique, qui déterminent les travées.Le mobilier est assez exceptionnel pour un édifice aussi discret. Le maître-autel du XVIIIe siècle a été remanié vers 1860 par le peintre Castanié, auquel on doit aussi la copie de la « Descente de Croix » de Rubens, ainsi que le demi-relief présentant le Père Eternel et le tabernacle. Les niches latérales sont ornées de statues dorées de saint Roch et de saint Éloi (patron de la paroisse). La deuxième chapelle, à droite, comporte deux tableaux de remise du Rosaire par Lemaire (XVIIe siècle), mais la pièce maîtresse est certainement constituée par deux fragments de bas-relief en calcaire (première moitié du XIVe siècle), représentant le Christ et sept de ses apôtres, dont Jacques le Majeur, portant le bourdon des pèlerins de Galice et le grand chapeau à coquille. Cette très belle pièce a été exposée au musée du Louvre en 2009, dans le cadre de l’exposition « Les premiers retables, une mise en scène du sacré ».A l'office du tourisme, demandez le dépliant de visite du village.

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St Georges de Lévéjac

Saint-Georges de Lévéjac est un village situé sur le Causse de Sauveterre, tout près du panorama du Point sublime. L’Histoire du village remonte aux origines du christianisme dans cette région. Au VIème siècle, Saint-Hilaire, évêque de Mende, fait construire un oratoire dédié à Saint-Pierre à l’emplacement des Baumes, dans les Gorges du Tarn. Il fut remplacé au XIème siècle par une église desservant les habitants des Gorges et du Causse de Sauveterre jusqu’à la Piguière. Il fallait cependant établir un oratoire sur le Causse, pour répondre aux besoins du peu d’habitants qui vivaient sur ce plateau aride. Jusqu’au XIIIème siècle, l’oratoire de Saint-Georges sera une simple dépendance de l’église Saint-Pierre, mais les rôles s’inverseront peu à peu au fur et à mesure que les Causses se peuplent. L’église de Saint-Pierre et rattachée à celle de Saint-Georges en 1700, puis détruite en 1866. L’église de Saint-Georges fut particulièrement prospère au Moyen-Age, formant un prieuré rattaché au Monastère Saint-Martin de La Canourgue.  Un bâtiment à l’entrée du village témoigne de l’époque ou le village abritait une congrégation de sœur. Les sœurs du Sacré-Cœur furent les premières à fréquenter la bâtisse, ancienne auberge Boisset. En 1899, elles s’uniront à la congrégation de la Providence de Mende. Le couvent restera fréquenté jusqu’en 1980, et de nombreuses filles de la région vinrent y faire leurs études. Le presbytère de l’église est aménagé en gîte ruraux.  Au cours du XIXème siècle, Saint-Georges est l’endroit le plus peuplé du Sauveterre, notamment grâces aux hameaux de Soulages, qui possédait sa propre chapelle. Aujourd’hui, ce dernier est particulièrement bien restauré et constitue un exemple pittoresque de hameau caussenard préservé.

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Informations complémentaires

Ambiance

Reliant Aumont-Aubrac (via Nasbinals) à Saint Guilhem le Désert, ce chemin est un tracé en itinérance pour une randonnée  d’une douzaine de jours pour notamment traverser les paysages et les sites de l’Aubrac.

Arrivée

Saint Guilhem le Désert

Départ

Aumont-Aubrac

Auteur de la donnée

Notes et avis

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Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾