Randonnée cyclo touristique dans la Montagne Bourbonnaise

Escarpement rocheux et lieu pittoresque offrant un des plus beaux points de vue de la Montagne Bourbonnaise.Site équipé pour l'escalade. Pierre du Charbonnier : point de vue. Pour découvrir le site nous vous proposons le PR11 "La Pierre Châtel" (4,5 km - 1h30) au départ de l'église de Saint-Nicolas-des-Biefs.

L'église actuelle a été construite de 1890 à 1896, sur le site d'un édifice plus ancien qui fut détruit, en granit de Bizin et pierre blanche de la Nièvre et de Saône-et-Loire.Lorsqu’il arrive au Mayet, le père FAURE entreprend de reconstruire entièrement l’église. Une souscription est aussitôt lancée auprès des habitants. Les plans sont réalisés par l’architecte Moreau, de Moulins, et la construction va durer plusieurs années. Toute la paroisse participe aux travaux, les uns donnant de l’argent, les autres offrant gratuitement leurs services sur le chantier. On emploie essentiellement le granit de Bizin qui se trouve sur la commune. Le chevet et deux travées sont d’abord édifiés. L’ancienne église est alors démolie. Les trois dernières travées et le clocher sont élevés. En 1896 l’église est consacrée par Mgr Delbourg, évêque de Moulins.

Ce musée rassemble plus de 800 objets relatifs à la vannerie : paniers, paillasses, bottes d'osier et autres merveilles ainsi qu’outils et de vanneries miniatures.Un grand nombre de tableaux ou vidéos vous expliqueront son usage, sa fabrication, ses outils, sa confection, mais aussi le rôle de la vannerie en Montagne bourbonnaise et l’influence qu’elle a encore dans la vie de ses habitants. Ce musée tout droit sorti de l’envie et de l’imagination d’un vétérinaire local (Christian Ponsonnard) qu’il a mis en place en 1996 ; répond pour l’association A.M.B. non seulement à l’objet de ses statuts, mais aussi au désir de faire découvrir l’art populaire et la vannerie traditionnelle sur le territoire Montagne bourbonnaise et bien au-delà. La vannerie fut tout d’abord une activité familiale, rurale de veillée, en se révélant également une activité financière d’appoint pour les familles, avant de devenir petit à petit un élément indispensable du quotidien. Cependant, la réussite d’un musée n’est pas uniquement conditionnée aux pièces de collection qui s’y trouvent, mais à l’animation et à l’interactivité qui intéressera sans doute un peu plus le visiteur. Pour permettre d’accéder à cet objectif, l’association et ses bénévoles ont repensé, créé, acheté, transformé ce lieu ayant déjà existé mais fermé depuis début 2015. Afin de recréer sur le Mayet-de-Montagne, un musée plus interactif avec des visites que les bénévoles ont souhaité plus dynamique, ludique et animé avec quelques petites surprises. Ce musée nous l’espérons saura retenir positivement l’attention des petits comme des grands. Tout au long des 230 m² d’exposition constitués de salles où de couloirs d’expo, le visiteur pourra découvrir un grand nombre de vanneries, tableaux ou vidéos qui expliqueront son usage, sa fabrication, ses outils, sa confection... Dans une des petites salles de projection une vidéo d’environ 18 minutes, narrée par un ancien instituteur de Saint-Clément, retracera pour le visiteur le rôle de la vannerie sur la Montagne bourbonnaise et l’influence qu’elle a encore dans nos vies. Dans la grande salle principale, 6 tableaux mis en scène comme au théâtre, lui raconteront au travers de vannerie ciblées, l’importance de celles-ci dans « La Guerre et le monde médical », « Le monde rural », « La boulangerie », « La vie quotidienne, « La pêche et les loisirs » ... Il découvrira des décors mettant en avant des œuvres d’exception comme la malle de l’amiral Nelson ou encore une des rare guérite de plage de Deauville et bien d’autres vanneries très rares faisant de ce musée nous espérons, un des plus important des 4 existant en France. À quelques pas du musée se trouve le Salicetum, entretenu par les étudiants du Lycée Claude Mercier, où plusieurs espèces d'osiers sont alignées et offrent un jardin qu'il est aussi possible de visiter.

Pour les amoureux d’air pur et de détente, le lac des Moines du Mayet-de-Montagne en direction de Saint-Clément répondra à leurs attentes.Seul, en famille ou entre amis, il est toujours agréable de s’adonner à la détente et à de nombreuses occupations comme la lecture, les jeux, le bronzage sur une pelouse bien entretenue et où les arbres offrent des endroits ombragés qui s’allient à la douceur et au calme de l’eau. Des tables de pique-nique sous les arbres permettent de déjeuner en toute quiétude en se laissant distraire par la beauté du lac et des alentours. Certains profiteront de la piscine, des terrains de tennis ou des parcours de mini-golf pour s’adonner à des journées sportives où la joie et la bonne humeur seront présentes. De petits emplacements ont été aménagés au bord du lac, y compris pour les personnes à mobilité réduite, pour permettre aux pêcheurs de déplier tout leur matériel et de pêcher des poissons pour une excellente friture. Carpes, truites peuvent également mordre à l’hameçon. La pêche est autorisée avec carte de pêche suivant les dates d'ouverture de la pêche à la truite. Les cartes de pêche sont en vente à l'Office du Tourisme de la Montagne Bourbonnaise. Si la pêche n’a pas été fructueuse, le restaurant" Au lac des Moines" situé juste à côté de l’intersection vous permettra de découvrir la gastronomie bourbonnaise. Le lac des Moines, c’est un peu le havre de paix du Mayet-de-Montagne et un lieu consacré exclusivement à la détente et aux loisirs.

Base de loisirs aménagée. Elle offre à tous ses visiteurs des loisirs familiaux et conviviaux dans un environnement propice à la détente et au repos. Classé grand lac intérieur de montagne.Pendant la saison estivale, le plan d’eau de Saint-Clément profite de l’ensoleillement pour attirer de nombreux visiteurs désireux de trouver calme, détente et repos. En couple ou en famille, profitez des embarcations (canoë, barques, pédalos, etc…) qui sont didponible à la location pour parcourir l’ensemble du lac sous un vent frais et une eau aussi calme que reposante. Le restaurant, le sentier pédagogique , la baignade et le ponton de pêche sont labelisés Tourisme et Handicap pour les 4 handicaps (moteur, mental, visuel et auditif). Pour les sportifs, le plan d’eau n’a pas dévoilé toutes ses facettes : il offre la possibilité en famille ou entre amis de se prendre pour Tarzan dans le Parc Saint-Clément Aventure où vous passerez un agréable moment à voltiger d’arbre en arbre. Pour les plus intrépides, deux tyroliennes traversent le lac juste au dessus, sensations fortes assurées. La tyrolienne géante du parc aventure est accessible aux personnes à mobilité réduite. Pendant les beaux jours profitez également de la zone de baignade surveillée pour vous rafraichir. Le poste de secours est accessible aux personnes à mobilité réduite et équipé d’une boucle magnétique pour les personnes malentendantes. Deux fauteuils hippocampes sont disponibles pour la mise à l’eau. Enfin, les pêcheurs trouveront leur bonheur hors saison avec de magnifiques prises : sandres, brochets, carpes etc…La pêche aux carnassiers est ouverte toute l'année. La carte de pêche est obligatoire. Vous la trouverez "Chez La Louise" à Saint-Clément. Un dépliant de la fédération de pêche vous sera remis pour vous donner des précisions sur la réglementation en vigueur dans un "grand lac intérieur de montagne". Le ponton de pêche. Accès et parcours de pêche rive droite labellisé famille, et personnes à mobilité réduite. Zone de pique-nique avec barbecues et terrain de pétanque, toilettes adaptées PMR. À proximité Quant aux amateurs de sports mécaniques, ils pourront également montrer leurs talents de pilotes grâce aux randonnées en quad qui sont organisées.

Visite libre ou commentée de cet espace de 500 m2 où sont exposés les machines agricoles et les outils utilisés jadis. Au mois d'août à l'occasion de la fête de la moisson, les machines agricoles sortent du musée.Ouverture du musée les dimanches de juillet et d'août de 10h à 12h et 15h à 18h

Cette petite église de la Montagne Bourbonnaise a pour particularité sa décoration intérieure de style Art déco. En effet, en 1934 le curé du village fut chargé d'instruire les paroissiens et de les guider vers les exercices de la vertu.La construction de l’église débute en 1836 puis elle fut agrandie de 1852 à 1858. Un nouveau chœur, deux chapelles, une nouvelle nef et un clocher sont construits en style néo-gothique de 1883 à 1900, Elle a été restaurée de 1913 à 1935, notamment par des peintures sur papier encollé sur les murs de granit. L’ église tire sa particularité de sa décoration intérieure dont le curé Claude Mercier, originaire du « village Pion » à Lavoine, est le précurseur. Il fut nommé par l’autorité diocésaine pour mener une action d’ordre spirituel. Il avait ainsi pour rôle d’instruire les paroissiens et de les guider vers les exercices de la vertu. Il s’adonna à cette tâche dès 1934. De 1933 à 1935 il entreprend la restauration de l’église et sollicite à cette occasion le peintre cussetois Despalles, pour réaliser les plus belles incitations à la piété. Ces peintures inspirées par la Bible de 1920 furent restaurées en 2013 par Madame Fabienne Matichard de l'entreprise Antares. Ses dessins « art-déco », souvent reproduits à partir de croquis parus dans des publications, sont accompagnés de libellés tirés de l’écriture de l’enseignement catholique de l’époque.

Le bourg de la Chabanne est construit sur un aplat rocheux avec un panorama ouvert sur la vallée de la Besbre qui serpente en bas entre collines et vallons. Il se dégage une atmosphère calme et sereine, le temps ralenti.A l’origine la Chabanne n’est qu’un hameau qui dépend de la baronnie de Brunard. Plusieurs baronnies se succèdent jusqu’à la révolution. En 1836 une église est édifiée, en 1844 elle devient paroisse et en 1849 la commune est créée et des territoires appartenant à Saint Nicolas, Saint Clément et Laprugne lui sont rattachés. Comme dans beaucoup de communes de la Montagne Bourbonnaise les habitants vivent de la forêt (sabotiers et charbonniers) et de l’agriculture. Quelques mines sont exploitées. Sous la révolution de nombreux prêtres réfractaires viennent s’y réfugier. La commune de la Chabanne est riche en petit patrimoine, bâchasses, fond de lait, pierres druidiques, moulins, croix et même une mine à Ramillard ou environ 25 ouvriers extrayaient jusqu’en 1914 du plomb argentifère appelé galène. Vous pourrez découvrir ce patrimoine avec les 3 randonnées proposées ou/et le sentier découverte du Sapey qui vous propose 2 parcours un de 3.6 km et un de 5.3 km. Pour les amateurs de pêche, la Besbre rivière de 1ère catégorie avec un parcours no-kill du pont de Javagnaux au pont de Presles. Carte de pêche en vente à l’Auberge les Campanules ou dans les offices de tourisme du secteur.

Cet espace naturel sensible tient son caractère remarquable du fait de la présence d'un nombre important de hêtres, parfois en alignement, aux formes tortueuses vieux de près de 400 ans.Leur aspect si particulier est le résultat d'une technique ancestrale d'entretien des haies vives : le plessage. L’un des alignements au « chemin des Creux », constitué de sujets monumentaux, est l’un des plus anciens vestiges de haie plessée des Monts de la Madeleine. Mais l'ENS abrite d'autres hêtres de ce type, comme ceux de Pré Jouancet, de Pierre Châtel... Vous pourrez certainement rencontrer d'autres Hêtres lors de vos sorties à St Nicolas des Biefs car l'inventaire n'est pas encore exhaustif. La Pierre-Châtel, escarpement rocheux et lieu pittoresque offre un paysage saisissant et complète cet espace. Des départs de randonnées sont aussi possible depuis ce site, aussi équipé pour l'escalade.

Cinq cols sont répertoriés dans le département de l'Allier. La Montagne Bourbonnaise est le territoire le plus élevé du département. Et très logiquement, c'est dans cette zone de moyenne montagne que les principaux cols sont situés. On en dénombre quatre.Le Col de la Rivière Noire dépasse la barre symbolique des 1000 mètres. Il se situe entre les départements de l'Allier et de la Loire. Dans l'Allier, son ascension est réalisable par Saint-Clément puis Saint-Nicolas des Biefs sur une bonne douzaine de kilomètres. Le circuit de cyclotourisme : N° 8 Au cœur de la Montagne Bourbonnaise vous permet d'emprunter Le Col de la Loge des Gardes et celui de la Rivière Noire. Le col de la Plantade et celui du Beau Louis nécessite un petit détour sur le circuit.

Véritable paradis pour de nombreuses espèces, dont certaines remontent à la période glaciaire, ce plateau très sauvage, entouré de landes montagnardes, offre de magnifiques vues sur le Roannais, les Alpes et l’Auvergne. Site Natura 2000.Le chemin serpente à travers les landes montagnardes où un pâturage a été remis en place pour aboutir au cœur de la tourbière. Des panneaux et une table d’orientation vous aident à décrypter les paysages et ce milieu à la fois riche et fragile. A l’est du village de Saint-Nicolas-des-Biefs, le plateau de la Verrerie présente des espèces végétales rares, dont certaines remontent à la période glaciaire. Cette nature préservée et riche est, pour de nombreuses espèces, un habitat exceptionnel. Ce plateau se caractérise par des landes montagnardes typiques irisées de teintes roses en fin d'été, mais également par la présence d'une tourbière (zone d'accumulation de matière organique), milieu de vie du rare lézard vivipare ou encore d'une petite plante carnivore, la Drosera à feuilles rondes. Depuis 2011, une estive a été remise en place sur ce site naturel protégé avec le pâturage de troupeaux de mai à octobre. Le site reste accessible à tous les randonneurs non motorisés, mais quelques règles sont à respecter comme adapter son comportement aux animaux présents (bovins, moutons, chèvres…) en respectant leur tranquillité, ou bien refermer les portillons des parcs. La signalétique d’interprétation des milieux naturels vous aidera à mieux comprendre pourquoi ce plateau est un héritage naturel unique et préservé. La passerelle en bois, aménagée sur le plateau, permettra à tous les visiteurs de découvrir la tourbière et des paysages étonnants. Depuis la table d’orientation, près du Roc du Vacher, la vue est imprenable sur la plaine de Roanne, les Alpes et la chaîne des Puys mais aussi sur la vallée de la Loire, la plaine du Forez et les monts du Lyonnais. Si le beau temps est avec vous, vous pourrez même apercevoir le massif du Mont Blanc. Le plateau porte le nom de Verrerie en référence aux verriers qui viennent s’établir à Saint-Nicolas-des-Biefs au XVIIe siècle car la région disposait de tout ce qu'il leur fallait : de la silice pour fabriquer le verre et des forêts pour alimenter les fours. L’activité des verriers fut florissante jusqu’à la Révolution. Ce site est protégé au niveau européen (inscrit au réseau des sites Natura 2000) et est labellisé par le Département de la Loire, Espace Naturel Sensible départemental (ENS).

Le musée du Verrier présente l'histoire des verriers lorrains venus s'installer en 1660 sur le plateau dit de "la Verrerie". Galerie du verre au 1er étage : pièces du 18e au 20e s. Histoire locale : Les anciens métiers du bois - L'art de la dentelle.Arrivés en 1660 les gentilshommes verriers et leurs équipes d'ouvriers construisirent en plusieurs lieux des fours au milieu des forêts recouvrant le plateau à l'époque, d'où le nom de "verreries forestières". Ils trouvèrent en ces lieux le bois pour alimenter les fours, le sable qui sera fondu dans les creusets, l'argile pour la construction des fours, l'eau des ruisseaux pour trier et laver le sable ainsi que pour travailler l'argile. Un four en grandeur réelle a été reconstitué, celui-ci est entouré de vitrines contenant de très nombreuses pièces archéologiques. Une galerie du verre expose des objets allant du 18ème aux années 1970. Les expositions de verre comportent des objets parfois insolites, d'âge et d'usage divers, en provenance de verreries ou cristalleries française et étrangers de renom. Lors des visites on vous explique des techniques, des savoir-faire, des particularismes, en replaçant les objets dans l'histoire du verre. Des exposions temporaires ont lieu en saison estivale, elles sont liées à l'histoire du verre ou à l'histoire locale. Vidéo possible à la demande. Visite groupe sur réservation du 1er mars au 31 octobre

Perché dans la Montagne Bourbonnaise, Châtel-Montagne conserve un des plus beaux exemples de l’art roman auvergnat. Ses rues anciennes, vous permettront de découvrir l'Office de Tourisme et son espace Art Roman, le chemin d’étonnement ...Le charmant village de Châtel-Montagne (Castrum in Montanis) perché au sommet d’une colline abrite l’une des plus belles églises romanes d’Auvergne. L’édifice s’impose au regard et domine l’écrin de verdure qui l’environne. Édifiée sur un sanctuaire dédié à la Vierge Marie, entre le XIème et le XIIème siècle, elle dépendait de l’abbaye de Cluny. Châtel-Montagne occupe une position stratégique depuis l’antiquité, tout d’abord oppidum gaulois puis siège d’une importante garnison romaine. Le village est d’abord rattaché au fief des ducs d’Aquitaine dont les contes d’Auvergne et du Berry sont les vassaux, vers 1216 il passe sous l’autorité des Bourbons. Sous la domination des Bourbons, Châtel-Montagne fera partie d’un front défensif dirigé contre le Forez. L’importance des voies de passage qui se croisent à Châtel, permettait la tenue de foires régulières entrainant la richesse du village. Ce fait est attesté par l’inscription de Châtel-Montagne sur la liste des 30 villes et villettes les plus importantes du bourbonnais au XVIème siècle. Le château de Châtel-Montagne, siège d’une importante baronnie, protégeait la voie de pénétration de la Montagne Bourbonnaise de Vichy à Roanne dès le XIème siècle. Aujourd’hui en ruines, la forteresse révèle néanmoins non seulement sa position stratégique au sommet d’un plateau aux pentes à pic, dominant la Besbre, mais aussi son plan : une enceinte aux sept tours d’angle et un massif donjon circulaire. En 1370, Erard I de Châtel-Montagne fut un fidèle compagnon du duc Louis II de Bourbon. La baronnie passa entre diverses mains pour tomber, en 1661, dans celles de Louis de Crevant, marquis d’Humières, premier baron de Touraine, maréchal de France et sénéchal du Bourbonnais. Sa veuve la vendit à Etienne Brunet de Rancy qui la transmit à son fils Gilles Brunet d’Evry marquis de Lapalisse, seigneur de Châtel-Montagne, de Saint-Clément et autres terres. Le château, mal entretenu depuis le XVIIe siècle, était si dégradé en 1720 que Gilles Brunet d’Evry renonça à l’habiter. Le site a été considéré d’intérêt et fait l’objet d’une campagne de fouilles depuis 2019. L’église Notre-Dame, superbe exemple de roman auvergnat, présente une nef et des bas-côtés du début du XIIème siècle tandis que son déambulatoire, les chapelles rayonnantes et son porche à deux étages datent de la fin du XIIème siècle. Elle possède également des chapiteaux originaux et des traces de peinture murale dans la tribune, datés des XIIe et XIIIe siècles. Son clocher carré à deux étages est du début du XIIIe siècle. À pied, l'accès par le "Chemin des Dames" offre une vue intéressante sur l'édifice qui est l'une des églises romanes les plus réputées du Bourbonnais. L'Office de Tourisme de Châtel-Montagne dispose d’un espace Art Roman sur l’histoire de l’église (maquette, grimoires et vidéo), d’une boutique (librairie, sélection d'œuvres d'art et artisanat), propose des informations touristiques et la location de VTT électriques (adultes) et VTT classiques (adultes et enfants). L’ACER (Amicale châteloise pour l’église romane) anime des visites guidées de Notre-Dame, organise des concerts et œuvre passionnément à l’entretien et à la mise en valeur de l’édifice (statuaires, chemin de croix, horloge, vitraux, etc.) Pour découvrir le village, un circuit d’étonnement de 3,5 km permet de découvrir le patrimoine naturel et culturel de Châtel-Montagne grâce aux énigmes à trouver au fil de la balade. Accessible aux enfants et adultes. Le questionnaire est à retirer à l'Office de Tourisme (gratuit).

Visite libre avec panneau d'information. Superbe exemple de roman auvergnat, cette église présente une nef et des bas-côtés du début du XIIe siècle tandis que son déambulatoire, les chapelles rayonnantes, son porche à deux étages datent de la fin du XIIe.Elle possède également des chapiteaux originaux et des traces de peinture murale dans la tribune, datés des XIIe et XIIIe siècles. Son clocher carré à deux étages est du début du XIIIe siècle. Site inscrit. À pied, l'accès par le "Chemin des Dames" offre une vue intéressante sur l'édifice qui est l'une des églises romanes les plus réputées du Bourbonnais. L'entrée se fait par la petite porte latérale au niveau du chœur.

Maquettes, grimoires et vidéos vous immergeront au temps de la construction de l’église « Notre Dame de Châtel » et du travail des bâtisseurs.L'Espace Art Roman vous propose de vous replonger aux temps des bâtisseurs. Des vidéos présentent le travaille des différents artisans qui sont intervenus dans la construction de l'église : tailleurs de pierres, forgerons, charpentiers.... Des maquettes de l'église vous montre le travail architectural, des grimoires racontent l'histoire de Châtel-Montagne et de son église.

Les anciens commerces reprennent vie et voient leurs vitrines arborer des photos du village et des villageois prises il y a plus de 100 ans.

Oeuvre Land'art au cœur de la Montagne bourbonnaise. Ouverte sur les paysages magnifique de Châtel-Montagne, cette étrange cabane s’enroule petit à petit sur elle-même.Ses parois sont constellées de billes de verre qui laissent filtrer la lumière, tel un kaléidoscope. « Cabane Spirale, ressourcement, passage de lumière, jeu d’apparition/disparition du paysage, coquille, revenir au cœur, souterrain annulaire, forme organique, protection… » Autant de mots clés pour définir les inspirations et les valeurs de cette installation qui se veut implantée et intégrée au cœur de la Montagne bourbonnaise. En dialogue avec la nature et l’histoire des lieux, elle est conçue dans un soucis d’écologie : choix des matériaux (bois de récupération et essence locales) et des méthodes de travail volontairement à échelle humaine, limitant au maximum l’usage des machines. La construction devient point de fusion entre le réel et l’imaginaire. Trois artistes et constructeurs associés sur cette œuvre Land'Art : Lou Rat-Fischer, Robin Maris et Guillaume Brunel.

Les anciens commerces reprennent vie et voient leurs vitrines arborer des photos du village et des villageois prises il y a plus de 100 ans.