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Notes et avis
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Tour du Pays des Ecrins en 3 jours

Village les Vigneaux
Col de la Pousterle
Randonneurs au Col de la Pousterle
Village de Vallouise
Crédit : © Parc national des Ecrins - Thierry Maillet

Description

Entre Vallouise et Durance, le randonneur s’imprègne en douceur de l’histoire de ce territoire de montagne tout en découvrant, aux détours des chemins, des paysages et sommets emblématiques des Ecrins.Vallouise, point de départ de l’itinérance, est une petite bourgade touristique à l’architecture traditionnelle. Vous pourrez y visiter la maison du Parc, découvrir les jardins et ruelles, faire vos dernières emplettes avant de partir pour votre excursion.La première étape suit un chemin en forêt jusqu'à Puy-Saint-Vincent, petite commune de montagne et station de ski. Puis, en traversant plusieurs hameaux de la commune, on atteint le col de la Pousterle et ses vastes étendues herbeuses entourées de mélèzes. Ici, panorama exceptionnel sur le Pelvoux et le Glacier Blanc. En descendant vers la Durance, l’univers forestier très présent pendant une majeure partie de la descente laisse la place à des ambiances plus urbaines : l’Argentière la Bessée, petite ville au riche passé industriel, a su préserver à la fois une dynamique économique et sociale, un cadre et une qualité de vie !La deuxième étape conduit au charmant hameau d’alpage de Bouchier. Après avoir suivi le torrent de la Gyronde, et traversé le village des Vigneaux, on s’élève vers ce hameau en profitant de vues superbes sur le Queyras et le briançonnais. Ce versant est orienté plein sud, et malgré le couvert forestier, il peut y faire très chaud.Durant la nuit à Bouchier, profiter de la pureté du ciel et de l’absence de pollutions lumineuses pour regarder les étoiles, soit en direct, soit s’il est ouvert, depuis l’observatoire astronomique installé là.La dernière étape ramène à Vallouise. Le cheminement en balcon au-dessus de la la Gyronde longe le massif de Montbrison et ses célèbres Dentelles. Après les Vigneaux, la vue s’ouvre sur les vallées glaciaires d’Ailefroide et du Glacier Blanc, mais aussi sur votre première étape : Puy-Saint-Vincent et la Pousterle.

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 14/10/2022
36 km
72 h 1 mn
max. 1811 m
min. 971 m

Profil altimétrique

Point de départ

Lat : 44.846042Lng : 6.489523

Étapes

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1

L'église de Vallouise

L’église Saint-Étienne date des XVème et XVIème siècles. Elle abrite un retable et un tabernacle en bois doré du XVIIIème siècle, ainsi que des peintures murales. Non loin d’elle, se tient la chapelle des Pénitents datant de la fin du XVIème siècle avec façade peinte XIXème siècle.

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2

Le petit rhinolophe

Dans les combles de l’église gîtent en été des chauves-souris. L’espèce ici présente est le petit rhinolophe, qui a fortement régressé ces dernières décennies. Chaque année, les mères reviennent après une hibernation dans des grottes et mettent au monde un petit chacune. Les chauves-souris sont des mammifères insectivores menacés par les insecticides dans les champs et sur les charpentes, la disparition de leurs habitats de chasse et de leurs gîtes etc. Elles sont toutes protégées.

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3

Vallouise

Dans la vieille rue du village, se situent des maisons caractéristiques de l'architecture de la vallée datant des XVIIème et XVIIIème siècles, à plusieurs niveaux. Le rez-de-chaussée est réservé aux bêtes, le premier niveau pour l’habitation et les niveaux supérieurs pour la grange. On passait d’un niveau à l’autre par les balcons reliés entre eux par un escalier. Beaucoup de ces balcons sont à arcades avec des colonnes en pierres. Ce type de balcon à arcades se retrouve dans toute la vallée.

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4

Le cincle plongeur

Perché sur un bloc au milieu de la rivière, un oiseau trapu, à la queue courte, brun avec une grande bavette blanche, se balance de haut en bas avec la queue dressée. Puis il plonge et ne réapparaît que quelques instants plus tard. Cet oiseau chasse ainsi, plongeant puis marchant à contre-courant au fond de l'eau en quête de larves aquatiques d’insectes, de petits crustacés ou petits poissons, soulevant les galets avec son bec pour les déloger.

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5

Le Semi-Apollon

Ce papillon aux ailes hyalines, blanc translucide, marquées de deux taches noires vole dans les clairières ou en lisière de bois, là où pousse la plante hôte de ses chenilles, la corydale. Semblant abondante localement, c’est pourtant une espèce en forte régression et protégée.

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6

Le sentier du Facteur

Autrefois, le facteur empruntait ce même chemin quotidiennement : il partait de Vallouise, déposait les courriers à Puy-Saint-Vincent et redescendait à Vallouise en faisant une halte aux hameaux de Parcher. L’hiver, quand les chutes de neige étaient trop importantes, ce sont les Traversouires (les habitants de Puy-Saint-Vincent) qui chaussaient des raquettes et se munissaient de pelles pour tracer le chemin du facteur jusqu’à Vallouise. 

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7

Les chauves-souris forestières

Les chauves-souris ne vivent pas que dans les grottes ! En été, certaines espèces forestières s’abritent pendant le jour dans de vieux arbres creux ou des trous de pics. Les femelles peuvent aussi y faire une petite colonie où naîtront les petits (un par femelle). Dans cette forêt encore jeune sans trop de vieux arbres, des gîtes ont été installés pour aider les chauves-souris et mieux les étudier.

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8

La chouette chevêchette

C’est au printemps qu’on peut entendre ce petit rapace nocturne ; ou en automne, période à laquelle il peut lancer de drôles de cris. D'activité diurne et crépusculaire, la chouette chevêchette est une prédatrice de passereaux et de petits rongeurs forestiers.  Mais lorsqu'ils la repèrent, les passereaux n'hésitent à venir la houspiller en grand nombre afin de rendre vaine toute tentative d'attaque surprise. Elle est inféodée aux forêts de montagne où elle recherche les arbres à cavité de pic pour établir son nid.

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9

L’épilobe en épi

Le long des pistes forestières, s’étalent de grands massifs d’une haute plante aux nombreuses fleurs purpurines, disposées en épis lâches. L’épilobe en épi, plante pionnière, affectionne les talus de piste, les sols qui ont été remués. À la fin de l’été, ses très nombreuses graines dotées d’un plumet s’envolent en masse dans la lumière déjà rasante…

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10

Les orpins

Sur les zones rocailleuses s'étalent de petites plantes « grasses » aux fleurs étoilées, blanches pour certaines espèces, jaunes pour d'autres. Leurs feuilles sont souvent cylindriques, pointues à l’extrémité ou non selon les espèces, et pleines d'eau : vivant sur des lieux secs, elles font ainsi des réserves pour les jours difficiles ! A leur hauteur, si près de la roche, ça chauffe en été !

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11

Le hibou petit duc

Dès fin avril, on peut entendre la nuit et même le jour ses tiou très doux. Il revient d'Afrique où il a passé l'hiver, car il est essentiellement insectivore : pour ce petit hibou, de gros insectes (grande sauterelle verte …) font de bons repas. Pour nicher, il s'installe dans un arbre creux ou même dans une cavité en bâtiment. Il affectionne les lieux chauds … et riches en insectes bien sûr !

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12

La turbine Francis

L’américain James Francis a mis au point la turbine Francis entre 1849 et 1855. Il s’agit d’une turbine “à réaction” adaptée à des moyennes chutes (entre 15 et 500 m de chutes). L’eau entre dans la turbine puis circule entre les aubes directrices et les aubes de la roue, qui sont fixes, alors que la roue intérieure est mobile. La pression à l'entrée de la roue est supérieure à la pression de sortie de la roue. 

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13

Le compresseur mobile

Dans les mines, l’air comprimé permet de chasser la poussière et de créer de l’énergie pour les perforatrices. Le compresseur mobile contient, dans un réservoir résistant, de l’air comprimé qui est amené à une forte pression via une pompe (le compresseur). Une conduite permet ensuite de distribuer l’air comprimé aux machines de la mine.

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14

Les bergeronnettes

Avec leurs longues queues qu'elles hochent constamment, les bergeronnettes se reconnaissent facilement. L'une est en noir et blanc, c'est la bergeronnette grise, l'autre au dos gris cendré et au ventre jaune, c'est la bergeronnette des ruisseaux, plus strictement liée à l'eau que sa cousine, comme son nom l'indique. Elles sont insectivores. On peut les observer couramment au bord de l’eau.

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15

Les larves de phryganes

Les phryganes sont des insectes ressemblant un peu à de petits papillons de nuit. Leurs larves vivent dans l'eau. Sortes de chenilles avec 6 pattes et des crochets à l'arrière, elles tissent grâce à leur « salive » un fourreau de soie qu'elles recouvrent avec leurs pattes de devant et leur bouche d'éléments récoltés autour d'elles, ici de petits grains de sable. On peut les observer au bord de l'eau dans les endroits calmes. Attention, barrage en amont.

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16

Les strates

La via s'élève sur la roche où l'on observe facilement des strates (des couches). Certaines résistent mieux à l'érosion et sont en relief. Ces states correspondent à différentes phases de dépôts marins où alternent des couches de natures diverses.

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17

Le bulime zébré

S'il n'est pas aussi rapide qu'un zèbre, le bulime zebré, escargot dont la coquille est de forme conique, est bien rayé ! On trouve des coquilles en pagaille dans les pelouses sèches environnantes. Et oui, certains escargots vivent dans des milieux secs et le bulime zébré est l'un des plus commun. Il hiberne en s’enterrant dans le sol.

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18

Le barry de la Batie

On peut voir, en rive droite de la Durance, les vestiges d'un grand mur. Improprement nommé mur des vaudois, cette ligne de fortification (un barri en occitan alpin) édifiée au 14ème siècle servait de barrière douanière et sanitaire entre le Briançonnais et l'Embrunais, dont faisait partie L'Argentière-la-Bessée. Elle barrait toute la vallée de la Durance. Ce qu'il en reste est classé Monument historique.

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19

Truite

Le polymorphisme de la truite fario a longtemps brouillé sa systématique : les anciens avaient recensé une cinquantaine « d'espèces » différentes. Mais la génétique a eu le dernier mot, il n'y aurait qu'une seule espèce avec trois formes écologiques : la truite de rivière (Salmo trutta fario) qui reste dans les cours d’eau ; la truite de mer (Salmo trutta trutta) qui met en place des mécanismes d’adaptation à l’eau salée et un comportement de banc ; la truite de lac (Salmo trutta lacustres).

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20

Le village des Vigneaux

Malgré l’altitude, le climat sec de la région et un terroir de calcaire et d’alluvions orienté plein sud ont permis l’implantation de vignes, ce dès le Xème siècle. Le nom de la commune a pour origine la présence de ce vignoble qui fut très important. À la fin du XIXème siècle, l’arrivée quasi simultanée du phylloxera et du train à Briançon, transportant du vin de Provence, mit fin à cette exploitation.

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21

L'Église des Vigneaux

L'église Saint-Laurent, avec son élégant porche, date des XVème et XVIème siècles. Sur son mur sud, des fresques représentent les vices, entraînés vers l’enfer par un démon, et leurs châtiments. Brrrrr !  Son clocher roman lombard comporte une très rare horloge à une aiguille, datant du XVIIIème siècle. C’est l'une des plus anciennes encore en fonctionnement.

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22

Le cadran solaire

Le cadran solaire est une tradition du XVIIIème siècle largement répandue dans les Alpes du Sud où le soleil est omniprésent. Des artisans cadraniers sont à l’origine de ces cadrans qui habillent et embellissent les façades des maisons, les édifices religieux ou des monuments. Oeuvres artistiques, ils peuvent aussi être philosophiques par la devise qui est inscrite. 

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23

Les représentations de la vigne

L’appellation des Vigneaux tient son nom de la culture de la vigne qui était, auparavant, présente sur les coteaux. La vigne est d’ailleurs représentée sur le blason de ville avec un cep de vigne mais également sur les maisons anciennes avec des treilles. Les maisons à pressoir rappellent aussi l’importance de la vigne.

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24

Le lézard vert occidental

Très farouche, ce grand lézard se réfugie vite sous un buisson, une pierre ou dans l’enchevêtrement d’une haie lorsqu’il se sent en danger. Il mesure 30 cm en moyenne et est vert vif légèrement moucheté de noir. En période de reproduction, le mâle présente une coloration bleu vif à la gorge et sur les côtés de la tête. Il vit sur les adrets bien exposés au soleil, dans les friches et les lisières, où il se nourrit essentiellement d'insectes.

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25

Le circaète Jean-le-Blanc

C’est en mars que ce grand rapace brun sur le dessus et blanc moucheté de noir en dessous, avec la tête sombre, revient d’Afrique subsaharienne où il a passé l’hiver. Il se nourrit surtout de reptiles qu'il chasse dans les zones steppiques ou dénudées, les friches ou les pierrailles. Il construit son nid dans un pin où grandira un seul poussin. On peut facilement l’observer faisant du surplace dans les airs, à une trentaine de mètres du sol,  puis fondre sur sa proie.

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26

Le hameau de Bouchier

Bouchier est un petit hameau de la commune de Saint-Martin-de-Queyrières qui, malgré son accès difficile, accueille quelques habitants permanents. Située à l’écart du hameau, sur un promontoire dominant la vallée de la Durance, la chapelle Saint-Hippolyte date du début du XVIème siècle. Elle est accolée à ce qui fut une cellule d’ermite et abrite des fresques dont certaines relatent des guérisons miraculeuses effectuées par le saint. Elle attirait les malades venus demander son intercession. 

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27

Le hameau de Bouchier

Bouchier est un petit hameau de la commune de Saint-Martin-de-Queyrières qui, malgré son accès difficile, accueille quelques habitants permanents. Située à l’écart du hameau, sur un promontoire dominant la vallée de la Durance, la chapelle Saint-Hippolyte date du début du XVIème siècle. Elle est accolée à ce qui fut une cellule d’ermite et abrite des fresques dont certaines relatent des guérisons miraculeuses effectuées par le saint. Elle attirait les malades venus demander son intercession. 

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28

Le chêne pubescent

Dans le bois, se mêle au pin sylvestre le chêne pubescent. C’est un petit chêne aux feuilles marcescentes : elles sèchent l’automne mais restent sur l’arbre tout l’hiver. Il a été nommé pubescent car ses jeunes rameaux, ses bourgeons et parfois le dessous de ses feuilles est pubescent, c'est-à-dire recouvert d’un fin duvet. La forêt de pin sylvestre et de chêne pubescent est une forêt typique des adrets montagnards dans les vallées intra-alpines. 

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29

La grive draine

Elle est présente toute l'année, profitant en hiver des nombreuses baies du gui poussant sur les pins. En été, ce sera plutôt insectes, escargots ou vers pour le repas. En hiver, elle se déplace souvent en petites troupes pleines de cris d'alarme : trrrrrrrrr, trrrrrrrr. Dès le mois de mars cependant, les mâles lancent leur chant flûté ressemblant un peu à celui du merle.

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30

L'ascalaphe soufré

Un drôle d’insecte mi-papillon mi-libellule, aux grandes antennes noires, aux ailes transparentes teintées de jaune ou de blanc et aux nervures bien marquées, vole sur la prairie aux heures chaudes de la journée. C’est l’ascalaphe soufré. Les ascalaphes font partie de la famille des névroptères et sont cousins des fourmilions et des chrysopes. Ce sont des prédateurs de petits insectes, surtout des mouches. 

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31

Les aigles de la Tête d'Aval

On peut observer des aigles planant autour de la Tête d’Aval, qui bénéficient, aux heures chaudes de la journée, de l’air s’élevant au-dessus des falaises calcaires. Ayant ainsi pris de l’altitude, ils peuvent aller rejoindre leur territoire de chasse sans donner un coup d’aile. 

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32

Le chévrefeuille d'Étrurie

L'Étrurie était le territoire des Étrusques et correspond à l’actuelle Toscane. Si ce chèvrefeuille ne vit pas uniquement en Toscane, il est néanmoins méditerranéen et, à l’état naturel, pousse uniquement dans la moitié sud de la France. Ayant besoin de chaleur, il ne vit pas en altitude sauf ici, où l’adret est particulièrement sec et chaud. ses grandes fleurs roses et jaunes sont particulièrement odorantes.

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33

Á l'adret, la pinède

La piste traverse une forêt de pin sylvestre auquel se mêle le chêne pubescent. C’est une forêt typique des adrets (versants exposés au soleil), en bas de versant, dans les vallées intra-alpines.

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34

Le héron cendré

Si on ne s'y attend pas forcément, on peut cependant observer régulièrement des hérons cendrés le long de la Gyronde. S'il pêche poissons ou amphibiens, il peut aussi se nourrir,de petits rongeurs dans les prairies avoisinant la rivière. Sa technique est toujours la même, une chasse à l'affût avec, une fois la proie repérée, une détente foudroyante du cou et le harponnage avec son bec en poignard. Redoutable !

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35

Le torcol

Au printemps se fait entendre dans les vieux arbres du verger un drôle de chant,  puissant, ressemblant un peu à celui du pic vert mais plus lent. C’est celui du torcol fourmilier, ainsi nommé en raison de sa façon d’étirer et de tordre son cou à l’extrême quand il se sent menacé, et parce qu’il se nourrit de fourmis.  Difficile à observer car de couleur se confondant avec celle des troncs, il trahit sa présence par son chant lorsqu’il revient de migration.

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36

Le pin sylvestre

Un long tronc brun rougeâtre dans sa partie supérieure, une ramure peu fournie, des aiguilles gris vert groupées par deux… Nul doute c’est le pin sylvestre. Ce résineux se contentant d’un sol pauvre résiste au gel comme à la sécheresse estivale aussi est-il très commun dans les vallées intra-alpines telles que la Vallouise, au climat continental.

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37

La limodore à feuilles avortées

Dans le sous-bois de la pinède se dresse une grande orchidée entièrement violacée. Elle n'a pas de feuille comme son nom l'indique, juste quelques écailles blanchâtres sur la tige. Sans chlorophylle (le pigment vert de la plante intervenant dans la photosynthèse, processus permettant de fabriquer de la matière organique), elle vit en parasite sur des racines d'arbres.

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38

Le pic noir

Le pic noir, coiffé d’une calotte rouge, est le plus grand des pics. Méfiant et solitaire, il est difficilement observable mais ses cris sonores révèlent sa présence. Il se nourrit principalement de fourmis et d'insectes vivant dans les arbres morts, qu'il prélève en martelant le bois. Il creuse dans les arbres sa loge qui, une fois les jeunes partis, pourra être récupérée par des chouettes ou des chauves-souris forestières.  

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Informations complémentaires

Départ

Vallouise

Arrivée

Vallouise

Ambiance

Vadrouiller de richesses patrimoniales en alpages isolés, de hameaux perchés en villages de vallées. Trois jours riches en histoire et en paysages d'une porte d'entrée majeure des Ecrins, avec toujours au loin les cimes des sommets enneigés.

Accès routier

À 9 km de L’Argentière-La Bessée, prendre la D994E.

Parking conseillé

Parking Maison du Parc, Vallouise

Transport en commun

Transports en commun : paysdesecrins.com/transportsPensez au covoiturage : www.blablacar.fr/

Les chiens de protection des troupeaux

En alpage, les chiens de protection sont là pour protéger les troupeaux des prédateurs (loups, etc.).Lorsque je randonne, j’adapte mon comportement en contournant le troupeau et en marquant une pause pour que le chien m’identifie.En savoir plus sur les gestes à adopter avec le dossier Chiens de protection : un contexte et des gestes à adopter.En cas de problème, racontez votre rencontre en répondant à cette enquête.

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