Ce sentier tire son nom du moulin de la Gouterie, idéalement situé sur la rive gauche de la Vienne.
Balisage bleu
This trail takes its name from the Gouterie mill, ideally located on the left bank of the Vienne.
Blue marking
Le moulin, dont il ne reste que des vestiges, est antérieur au XIXe siècle, peut-être du XVIIe siècle. Il figure sur le plan cadastral de 1824 avec un plan identique. Il était en activité jusqu'à la Première Guerre Mondiale. Le logement du meunier et les dépendances, dont le plan est différent par rapport à 1824, semblent dater de la deuxième moitié du XIXe siècle. La grange, selon le chronogramme, aurait été construite en 1861. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Le monument aux morts est situé dans le square devant la mairie-école. Il a la forme d'un obélisque. Sa face ouest est gravée, on distingue une croix de guerre, une épée et des branches de chaîne et de laurier entrelacées. Sur la face est se trouve la signature " P. Dinet entrepreneur à Confolens ". source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce manoir figure avec un plan identique sur le cadastre de 1824. Il pourrait dater du XVIe siècle. Le logement accolé au nord a été remanié au XIXe siècle. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce puits n'est pas postérieur au XIXe siècle.
Le château de Manot a été construit à la fin du XVIe siècle, peut-être sur les ruines ou à l'emplacement du logis du prieuré. Il a été construit par Bertrand de Salignac, seigneur de La Mothe-Fénelon. Celui-ci a acheté la baronnie de Loubert à la suite du démembrement de la principauté de Chabanais. Il a construit le château vers 1586, date portée sur l'échauguette contenant la tour d'escalier. A sa mort, la baronnie de Loubert passe par testament à son petit-neveu, Pons de Salignac. Le membre de la famille le plus célèbre est François Fénelon, archevêque-duc de Cambrai, auteur de Télémaque. A partir du milieu du XVIIIe siècle, le château de Manot est occupé par des fermiers généraux. Le logis sud a été largement remanié en 1829-1830. C'est peut-être à cette époque qu'il a été arasé. Le château a été occupé par une laiterie. Des travaux récents ont permis de restaurer l'échauguette et de refaire la couverture du logis nord. source : inventaire général du patrimoine culturel - Région Nouvelle Aquitaine
Ce bâtiment ne figure pas sur le cadastre de 1824. Il pourrait dater de la fin du XIXe siècle ou du début du XXe siècle. Il s'agit d'un ancien abattoir. Ce bâtiment est de plan presque carré. La façade est couverte d'une croupe. Elle est percée d'une grande porte et d'une fenêtre couvertes en arc segmentaire. Une petite fontaine est aménagée à l'intérieur au bord du mur nord. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine