Avec ce sentier qui débute à Manot, vous pourrez voir le magnifique patrimoine de la vallée de la Vienne.
With this trail that begins in Manot, you will have the opportunity to see the beautifull heritage of the Vienne valley
Balisage rose
Ce puits n'est pas postérieur au XIXe siècle.
Ce manoir figure avec un plan identique sur le cadastre de 1824. Il pourrait dater du XVIe siècle. Le logement accolé au nord a été remanié au XIXe siècle. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Le monument aux morts est situé dans le square devant la mairie-école. Il a la forme d'un obélisque. Sa face ouest est gravée, on distingue une croix de guerre, une épée et des branches de chaîne et de laurier entrelacées. Sur la face est se trouve la signature " P. Dinet entrepreneur à Confolens ". source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce pont a été construit entre 1880 et 1887, période de construction de la voie ferrée reliant Roumazières à Confolens. Historique de la ligne ferroviaire : La voie Roumazières - Confolens - Le Vigeant a connu une longue histoire entre 1856, date du vœu de sa construction par le conseil général, et sa première concession en 1872, son tracé étant arrêté définitivement en 1879. L'essentiel des travaux est achevé en 1883, mais l'inauguration de cette voie n'a lieu que le 31 juillet 1887 pour la section Roumazières-Confolens et 1901 pour Confolens-Le Vigeant, section pour laquelle les travaux n´ont débuté qu´en 1895. En 1901, il y avait quotidiennement trois trains de voyageurs dans chaque sens, mais seulement deux en 1914. Les années suivantes, le nombre de voyageurs chute et, en 1938, le Conseil général décide la fermeture du trafic voyageurs. La ligne est progressivement déclassée : d´Availles-Limousine au Vigeant (Vienne) en 1970, puis la section sud jusqu´à Confolens en 1979, la ligne étant utilisée jusqu´en 1978 pour le transport des pierres de la carrière de Négrat vers Confolens. Aujourd'hui, la ligne ferroviaire est utilisée par le vélo-rail. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine.
Le château de Manot a été construit à la fin du XVIe siècle, peut-être sur les ruines ou à l'emplacement du logis du prieuré. Il a été construit par Bertrand de Salignac, seigneur de La Mothe-Fénelon. Celui-ci a acheté la baronnie de Loubert à la suite du démembrement de la principauté de Chabanais. Il a construit le château vers 1586, date portée sur l'échauguette contenant la tour d'escalier. A sa mort, la baronnie de Loubert passe par testament à son petit-neveu, Pons de Salignac. Le membre de la famille le plus célèbre est François Fénelon, archevêque-duc de Cambrai, auteur de Télémaque. A partir du milieu du XVIIIe siècle, le château de Manot est occupé par des fermiers généraux. Le logis sud a été largement remanié en 1829-1830. C'est peut-être à cette époque qu'il a été arasé. Le château a été occupé par une laiterie. Des travaux récents ont permis de restaurer l'échauguette et de refaire la couverture du logis nord. source : inventaire général du patrimoine culturel - Région Nouvelle Aquitaine
Le moulin, dont il ne reste que des vestiges, est antérieur au XIXe siècle, peut-être du XVIIe siècle. Il figure sur le plan cadastral de 1824 avec un plan identique. Il était en activité jusqu'à la Première Guerre Mondiale. Le logement du meunier et les dépendances, dont le plan est différent par rapport à 1824, semblent dater de la deuxième moitié du XIXe siècle. La grange, selon le chronogramme, aurait été construite en 1861. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Cette chapelle a été fondée en 1097. Les parties les plus anciennes pourraient dater de cette période. La chapelle était probablement plus grande à l'origine. La partie conservée correspondrait au choeur de l'édifice. Elle était autrefois accompagnée d'un cimetière. Sur le plan cadastral de 1825, elle possède un plan identique à aujourd'hui. D'après la légende, cette chapelle aurait été fondée par sainte Radegonde à la suite du " miracle des avoines ". Chaque année, le 6 mai, étaient organisées une frairie et une louée de domestiques. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Cette maison de garde-barrière a été construite entre 1880 et 1887, époque de construction de la voie ferrée. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Le four ne figure pas sur le plan cadastral de 1824. Il pourrait dater de la deuxième moitié du XIXe siècle. Le four, précédé d'un fournil, est couvert d'un toit en tuiles creuses. L'entrée du four et la cheminée sont en briques. Il menace ruine. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
L'origine de la fontaine est inconnue. Cette fontaine est située au bord du chemin menant du hameau du Jeune-Fougerat à la Vienne. Elle est envahie par la végétation. Elle alimente un petit bassin. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
L'origine de cette fontaine est inconnue. Elle ne semble pas avoir été aménagée au XXe siècle. Cette fontaine se trouve dans le hameau du Vieux-Fougerat. Elle est constituée de pierres irrégulières. Elle est couverte d'une grande dalle monolithe. Elle alimente une petite mare, puis un ruisseau se jetant dans la Vienne. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce bâtiment ne figure pas sur le cadastre de 1824. Il pourrait dater de la fin du XIXe siècle ou du début du XXe siècle. Il s'agit d'un ancien abattoir. Ce bâtiment est de plan presque carré. La façade est couverte d'une croupe. Elle est percée d'une grande porte et d'une fenêtre couvertes en arc segmentaire. Une petite fontaine est aménagée à l'intérieur au bord du mur nord. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Le four et le bâtiment qui le contient ne figurent pas sur le plan cadastral de 1824. La construction date du XIXe siècle. L'entrée du four est couverte d'un linteau monolithe, précédée d'une très large cheminée en brique dont l'ouverture est en arc segmentaire. Le four est situé dans un bâtiment de trois niveaux couvert en appentis. Au rez-de-chaussée, une croix a été peinte avec du goudron sur une porte. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine