Avec ce sentier, vous partirez d'Alloue puis vous passerez dans différents hameaux : Lasfont, La Grange Pigassoux, le Moulin de la Basse-Lande etc... Par ailleurs, vous traverserez aussi un bois qui contient un étang. Moment parfait pour faire une pause pique-nique et se rafraichir !
With this path, you start from Alloue then you go through different hamlets: Lasfont, La Grange Pigassoux, le Moulin de la Basse-Lande etc... Moreover, you will also cross a wood which has a pond. Perfect moment to take a picnic break and refresh yourself!
Balisage rose
11 km
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max. 199 m
min. 142 m
90 m
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Le moulin à blé date vraisemblablement du 18e siècle. Il a été remanié au 19e et au 20e siècles. Il n'est plus en activité. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Le moulin à blé date vraisemblablement du 18e siècle. Il a été remanié au 19e et au 20e siècles. Il n'est plus en activité. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
En 1399, « Guy de l´Aage Landri, damoiseau, rend aveu à Aimar abbé de Charroux, de son hébergement de l´Age de Volude en Alloue ». « Age » signifie enclos fortifié, tandis que « volude » désigne une petite vallée. Il a été occupé successivement par les familles Green de Marsault, de l'Aage et de Verdilhac. Le manoir a ensuite été transformé en exploitation agricole. L´enceinte quadrangulaire cantonnée de tours circulaires date du 15e siècle. La tour sud-est semble antérieure au reste de l´enceinte. Le logis a été construit à la fin du 16e siècle et a été remanié ensuite. Sur le plan cadastral de 1835, des douves étaient représentées au sud et à l´est, les quatre tours étaient encore présentes et un bâtiment qui s´appuyait sur l´enceinte au sud-ouest, dans le prolongement de l´actuelle pièce voûtée, reliait en 1835 les deux tours d´angles. Sur l'esquisse de Brouillet réalisée au milieu du 19e siècle, une galerie couverte d'un auvent est représentée pour accéder à l'étage de la tour d'escalier depuis ce bâtiment sud-ouest. Les vestiges de cet aménagement sont encore visibles sur des vues anciennes du début du 20e siècle, de même que la tour située au nord-ouest. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Le lavoir semble dater du 19e siècle. Il aurait été agrandi en 1923 selon le projet d'acquisition de la parcelle B 382, par le conseil municipal, pour son élargissement. Le lavoir est situé au nord-ouest de la place du Maquis-Foch. Il est constitué d'un bassin entouré de dalles de pierre. Ses murs sont en brique et sa couverture est en tuile mécanique. Il a été restauré à la fin des années 2000. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce petit canal d'irrigation ne semble pas antérieur à la seconde moitié du 19e siècle. Il permet à un petit ruisseau de s'écouler dans la Charente. Situé en bordure de la place du Maquis-Foch, ce petit canal est maçonné. Une dalle relie les deux rives. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
L'église n'est pas antérieure à la fin du 12e siècle ou au début du 13e siècle. Bien qu'ayant subi des remaniements au fil du temps, les premières mentions de travaux dans les archives datent de 1831 : toiture, charpente, voûte. En 1862, des réparations sont faites au clocher. Après son classement comme monument historique en 1929, de nouvelles campagnes de restauration seront effectuées comme la réfection totale de la toiture (un coq est même installé en 1986) et la remise en état du portail. Les travaux sont terminés en 1989. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce puits date vraisemblablement du 19e siècle et a pu être un puits banal. Ce puits, en bordure de rue, a une margelle circulaire en pierre et des superstructures métalliques portant le rouleau de bois où s'enroule la chaîne. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Cet ancien moulin à blé était en activité au 19e siècle. Il est devenu une huilerie-laiterie, puis simplement une habitation. Il ne reste aucun vestige de sa première destination et la Charente en a été détournée. C'est une propriété privée. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Les premiers seigneurs connus du domaine sont les Guyot. La cheminée de la cuisine a conservé la date 1670. Marc Guyot du Repaire reçoit par héritage la seigneurie de La Vergne en 1679. En 1704, Marc Guyot, époux de Marie de Mairé, s'installe à La Vergne qui a rang de Châtellenie. En 1715, la veuve de Marc Guyot de la Mothe de Villognon vend la maison noble et la métairie de la Vergne à Marc Guyot de Lespars. Par son mariage en 1812, Françoise Guyot de Ferrodière fait passer le domaine à la famille Loyseau de Grandmaison. La date 1843, inscrite sur le claveau central du passage couvert correspond au mariage de François Charles de Grandmaison avec Anne de Pertat. En 1933 la propriété est vendue à René Barbier. Sa veuve, Madame Imbert, l'obtient par achat aux enchères publiques en 1952. C'est à cette dernière que Maria Casarès achète la Vergne en 1961. A sa mort, en 1996, le domaine est légué à la commune d'Alloue. Depuis se met en place, en ce lieu, un projet culturel porté par la Maison Maria Casares, résidence et lieu d'échange d'auteurs, d'acteurs et de metteurs en scène du théâtre. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Lavoir à bassin découvert. Cet ensemble a été restauré au début des années 2010. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine