Alloue sentier de Beaumont

Ce pont, dit le Pont-Neuf, aurait été construit en 1741. Il a été entretenu au 19e et au 20e siècles. Il est situé au sud-ouest du village, sur la route départementale 740 reliant Confolens à Ruffec et permet le franchissement de la Charente. Il se compose de trois arches cintrées avec becs arrondis de part et d'autre. Le tablier est pourvu de garde-corps en ferronnerie. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

L'église n'est pas antérieure à la fin du 12e siècle ou au début du 13e siècle. Bien qu'ayant subi des remaniements au fil du temps, les premières mentions de travaux dans les archives datent de 1831 : toiture, charpente, voûte. En 1862, des réparations sont faites au clocher. Après son classement comme monument historique en 1929, de nouvelles campagnes de restauration seront effectuées comme la réfection totale de la toiture (un coq est même installé en 1986) et la remise en état du portail. Les travaux sont terminés en 1989. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Ce moulin situé en bordure de la Charente ne figurait pas sur le plan cadastral de 1835, contrairement à l'autre moulin de la Roche qui se trouve sur la rivière elle-même. La roue a disparu. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Ce moulin figure sur le plan cadastral de 1835, ainsi que sur la carte de Cassini (milieu 18e siècle). Le bâtiment a été totalement refait au 20e siècle. Il semble avoir eu deux roues dont une, extérieure, a été restaurée. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Le pavillon est indiqué comme étant une seigneurie au 18e siècle sur la carte de Cassini. Une partie du gros-oeuvre du logis pourrait dater de cette époque bien que celui-ci ait été modernisé au 19e siècle. Des dépendances, qui existaient au sud du logis sur le plan cadastral de 1835, ont aujourd'hui disparu. Elles ont été remplacées, dans la seconde moitié du 19e siècle, par une grande ferme ordonnancée à l'écart au sud. Vaste logis de plan en L, avec pavillon hors-oeuvre accolé à l'angle est. Il se compose d'un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré pour l'aile sud-est et un comble à surcroît. Les toitures sont à longs pans à croupes et en pavillon, avec tuiles plates, pour le pavillon. La ferme est un vaste bâtiment de plan en U et à cour fermée par un mur, avec grange au fond entre deux ailes d'étables et un petit logement. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Villa construite vers 1910, par Adrien Paul Mairat, journaliste, conseiller général de Champagne-Mouton à partir de 1894, élu député en 1906, qui fut un initiateur de la ligne de chemin de fer Angoulême-Confolens et qui donna à cette maison le nom de sa femme, Sarah. Elle fut construite en deux temps comme nous l'indiquent des cartes postales, d'abord le corps de bâtiment central et l'aile nord-ouest, puis fut ajoutée l'aile sud-est. Maison située dans un vaste jardin fermée sur la route par une grille. Elle est surélevée et entourée d´une terrasse accessible par quelques marches à l´avant et à l´arrière. Constituée de plusieurs corps de bâtiment avec des toitures différentes, elle présente un corps central saillant entre deux ailes symétriques, chaque partie ayant une travée en façade, un bandeau entre les deux niveaux et une corniche moulurée sur les parties latérales. Les baies du rez-de-chaussée sont couvertes d´un arc en plein-cintre à clé saillante, celles de l´étage d´un arc segmentaire en brique et pierre, également à clé saillante. A l´arrière se retrouve la même disposition mais le corps central est plus saillant et à sa droite un corps de bâtiment, en rez-de-chausée et couvert en terrasse, est accolé. Son élévation présente trois ouvertures. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Cet ancien moulin à blé était en activité au 19e siècle. Il est devenu une huilerie-laiterie, puis simplement une habitation. Il ne reste aucun vestige de sa première destination et la Charente en a été détournée. C'est une propriété privée. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Ce petit canal d'irrigation ne semble pas antérieur à la seconde moitié du 19e siècle. Il permet à un petit ruisseau de s'écouler dans la Charente. Situé en bordure de la place du Maquis-Foch, ce petit canal est maçonné. Une dalle relie les deux rives. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Le lavoir semble dater du 19e siècle. Il aurait été agrandi en 1923 selon le projet d'acquisition de la parcelle B 382, par le conseil municipal, pour son élargissement. Le lavoir est situé au nord-ouest de la place du Maquis-Foch. Il est constitué d'un bassin entouré de dalles de pierre. Ses murs sont en brique et sa couverture est en tuile mécanique. Il a été restauré à la fin des années 2000. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Ce puits date vraisemblablement du 19e siècle et a pu être un puits banal. Ce puits, en bordure de rue, a une margelle circulaire en pierre et des superstructures métalliques portant le rouleau de bois où s'enroule la chaîne. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine