Ce sentier commence au village Gaulois. C'est en vous faisant passer à travers les différentes fermes et manoirs anciens, que ce chemin vous fait découvrir la vie quotidienne et le monde agricole du début du siècle dernier.
This trail begins at the village Gaulois. It is by taking you through the various farms and old manors, that this path makes you discover the daily life and the agricultural world of the beginning of the last century.
Balisage vert
10 km
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max. 242 m
min. 150 m
107 m
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Ce pont, appelé pont Bicot, Biscot ou Birot au XIXe siècle, a longtemps été désigné sous le nom de " pont du diable ", sa solidité laissant croire qu'il ne pouvait être l'ouvrage des hommes. Jusque dans la première moitié du XIXe siècle il ne restait du pont qu'une arche, ne correspondant en réalité qu'à la première assise de la voûte. Cette ancienne construction serait d'origine romaine. La décision de réparer le pont fut prise par le conseil municipal le 28 septembre 1828. Une lettre du 28 avril 1853, émanant de la sous-préfecture de Confolens, décide de la construction du pont. Selon la légende les Vikings auraient été arrêtés par Chilméric II à cet endroit.
L'église faisait partie de l'ancien diocèse de Limoges et le matériau granitique qui la constitue est très caractéristique de la région de la Marche limousine à laquelle elle appartient. Si le bâtiment primitif date en grande partie de la seconde moitié du 12e siècle, son allure générale a été modifiée au cours des guerres de Cent ans. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Un moulin figure à cet emplacement sur la carte de Cassini. Sur le cadastre de 1825 figurent un bâtiment accolé au fleuve et un second bâtiment plus au sud. Sur le cadastre de 2004 figure un troisième bâtiment. Ces bâtiments sont aujourd'hui détruits. Il n'en reste que des vestiges envahis par la végétation. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce monument aux morts se situe devant l'église, au pied du tilleul dit " de Sully ". Il se compose d'une dalle sur laquelle repose un gisant de soldat en béton. Derrière lui se dresse une pierre sur laquelle sont inscrits les noms des soldats morts pendant la seconde guerre mondiale. Cette pierre est un fragment de la table du dolmen de Périssac. Ce monument a été inscrit monument historique en 2021.
La mairie est installée dans l'ancien presbytère qui date de 1788. Depuis 1999, on peut visiter un musée consacré aux ostensions : tradition populaire limousine, qui prend la forme d'une procession où l'on expose des reliques des Saint. Les ostensions se déroulent tous les 7 ans.
Ce puits ne semble pas postérieur au XIXe siècle. Il a été restauré en 2001. Ce puits se compose d'une margelle maçonnée et d'une superstructure en bois recouverte d'un petit toit à longs pans. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce puits et le lavoir qui l'accompagne pourraient dater du XIXe siècle. Ils ont été restaurés à la limite du XXe et du XXIe siècle. Le puits comprend un mur de margelle maçonné et surélevé, couvert d'un petit toit en appentis. Il est fermé par une petite grille en métal. Le lavoir qui se trouve à proximité est entouré d'un muret en moellons. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce puits ne semble pas postérieur au XIXe siècle. Le mur de margelle de ce puits est maçonné. La superstructure en bois est protégée par un petit toit à longs pans dissymétrique en bardeau, complété par des panneaux également recouverts de bardeaux sur les côtés. source : inventaire général du patrimoine culturel Confolens
Ce puits n'est vraisemblablement pas postérieur au XIXe siècle. Il a été restauré en 2003. Ce puits possède un mur de margelle maçonné surmonté d'une superstructure en bois couverte d'un petit toit à deux pans. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce puits ne semble pas postérieur au XIXe siècle. Ce puits comprend un mur de margelle maçonné et surmonté d'une margelle monolithe en granite. La superstructure, en bois, est protégée par un toit à deux pans dissymétrique en de bardeaux en bois. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine