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Points d'intérêt
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Circuit du centre historique d'Amay

Villas fleur
Crédit : Office du Tourisme d’Amay

Description

Découvrez la petite et la grande histoire d'Amay ! D'origine romaine et marquée par le Moyen Âge, Amay est aujourd'hui peuplée de 14.000 habitants. Ses rues, ses ruelles et ses monuments nous livrent un brin de son passé honorable, riche de fortes personnalités. Bonne promenade !

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 04/03/2024
2 km
max. 105 m
min. 69 m
28 m

Profil altimétrique

Point de départ

3 Place Adolphe Grégoire , 4540 Amay
Lat : 50.54847Lng : 5.31782

Points d'intérêt

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Collégiale Saint-Georges et Sainte-Ode

Sainte-Ode ou Chrodoara ?Derrière ces deux prénoms, une seule personne ! Une riche princesse mérovingienne qui vécut au 6ème siècle. Elle était l’épouse du duc d’Aquitaine dont le royaume s’étendait du nord-est de la France jusqu’aux bassins de la Meuse et de la Moselle. A la mort de son époux, décidée à consacrer sa vie à Dieu, elle se mit en route vers Amay où elle possédait des terres. Sa légende raconte qu’en arrivant sur un promontoire rocheux, elle s’arrêta pour admirer la vallée de la Meuse et son domaine et lança, avec force, son bâton de voyage vers l’autre rive en faisant le serment de construire un sanctuaire là où il retomberait.La collégiale trouve donc ses origines dans une première église érigée par Chrodoara à l’époque mérovingienne. Chrodoara était généreuse envers les pauvres et les religieux. A tel point que quand elle mourut, ses contemporains, les Mérovingiens, placèrent sa dépouille dans un sarcophage au sein de l’église qu’elle avait fait bâtir. Chrodoara devint par la suite sainte Ode.Vers 1089, une église de style roman fut bâtie sur les précédentes. De cette période, subsistent la haute nef percée sur chaque face de cinq baies surmontées d’arcs en plein cintre et les deux tours latérales en grès. La tour médiane ne s’élèva qu’à partir de 1525.L’église devint Collégiale avec un chapitre de chanoines séculiers (càd qu’ils n'appartenaient pas un ordre religieux) mentionné pour la première fois à la fin du 11ème siècle.Remaniée au 18 ème siècle, la Collégiale perdit le caractère rigide et sévère de ses origines, pour se mettre « au goût du jour » : les dimensions des nefs furent modifiées et l’intérieur de l’édifice - maître-autel, jubé, chapelles latérales, l’autel de sainte Ode, chair de vérité, … - fut aménagé dans un style classique.En 1977, le Cercle archéologique Hesbaye-Condroz fait la découverte du sarcophage mérovingien de Chrodoara sous le chœur de l’édifice. Son état de conservation – malgré ses 1.400 ans - et la qualité de ses dessins le rendent unique ! De 1998 à 2001, d’importantes rénovations sont effectuées : les trois tours et le clocher sont stabilisées, les fondations sont consolidées, les toitures refaites, les murailles nettoyées, l’horloge et les boiseries remplacées ; les abords aménagés.L’édifice est classé patrimoine exceptionnel de Wallonie depuis 2016.

2c Place Sainte-Ode 4540 Amay
- Maison du Tourisme Terres-de-Meuse -
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Les anciens cimetières d'Amay

Les pelouses au nord et au sud de la collégiale étaient du 7e au 19e s. occupées par des cimetières.La volonté des croyants était d’être enterrés au plus près du lieu saint. Les défunts étaient donc inhumés dans le centre du village et faisaient partie du quotidien de nos ancêtres. Le cimetière n’était pas exclusivement un lieu de recueillement. Jusqu’à la fin de l’Ancien Régime, c’est aussi un endroit où l’on se rassemble pour bavarder, écouter des communications officielles ou organiser des ventes publiques.Mais la surcharge de ce cimetière a déréglé le processus naturel de réduction des corps inhumés dans une terre qui, par conséquent, polluait l’eau de la fontaine et qui, retournée par les cochons de la ferme, dégageait des odeurs nauséabondes. C’est le bourgmestre de l’époque, Joseph Ramoux, qui décida de déménager ce cimetière à la fin du 19e siècle, pour améliorer les conditions sanitaires des Amaytois et leur éviter maladies et épidémies.Diplômé de l’Académie de médecine de Paris, il a été influencé par le mouvement hygiéniste du 19e s. auquel il a assisté : comme les déménagements des cimetières paroissiaux vers les buttes de Montmartre et du Père Lachaise, extérieures aux centres-villes et ventilées.A côté du déménagement du cimetière, il a œuvré pour la création d’un abattoir, la canalisation et le raccordement aux égouts des habitations amaytoises, incité les foyers à aérer leurs habitations et leurs draps.Précurseur mais incompris, il se heurta au conservatisme local. Ce furent ses successeurs qui mirent finalement en œuvre la majorité des mesures qu’il préconisait.

3 Place Adolphe Grégoire 4540 Amay
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La fontaine Sainte-Ode

Ce petit édifice cubique en calcaire de style Louis XIV, fut bâti en 1850 sous le maïorat de Joseph Ramoux à l’emplacement d’un ancien point d’eau. L’eau s’y écoulait via un cracheur en forme de mufle de lion. A l’époque, l’eau potable manquait cruellement à Amay. La pompe mit à l’abri la population de riches bourgeois (habitant dans le centre) des épidémies telles que la fièvre typhoïde, le choléra et autres maladies endémiques.

2c Place Sainte-Ode 4540 Amay
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Office du Tourisme d'Amay

L'Office du Tourisme d'Amay vous renseigne en semaine en hiver et tous les jours en été. Documentation touristique locale et régionale, projections vidéo gratuites, expositions temporaires. WC Accessible aux Personnes à mobilité réduite. L’accès au bâtiment se fait par la place Sainte-Ode ou par la chaussée Roosevelt. www.amay.be (onglet Loisirs puis Tourisme et Promenades). +32 85.31.44.48 - office.tourisme@amay.be

10 Chaussée Roosevelt 4540 Amay
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La vieille ferme

Vous voici devant le corps de logis et le porche d’entrée de la ferme déjà attestée en 1419 sous l’appellation « Cense Saint-Lambert ». Elle appartient à l’époque au chapitre Saint-Lambert à Liège et subvient également aux besoins du chapitre d’Amay. Jusqu’il y a peu, ce bâtiment était une ferme en carré englobant toutes les maisons à gauche en montant la rue Gaston Grégoire.Les divers bâtiments orientés vers la cour intérieure comprenaient des écuries, des étables, des bergeries, des granges, …

2c Place Sainte-Ode 4540 Amay
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La maison Gossuart

Voici une première maison canoniale. Un chapitre de chanoines entourait la collégiale 5 siècles après Chrodoara. Cette promenade vous en présentera les principales. Ce sont pour la plupart d’anciennes demeures rehaussées au 18e siècle.Contrairement aux moines qui vivent en communauté, les chanoines peuvent posséder des biens et c’est ainsi qu’ils construisent leurs habitations autour du lieu de culte. Celle-ci fut élevée et habitée par le chanoine Gossuart à la fin du 18e siècle puis par son neveu Godefroid qui y ajouta notamment le portail monumental dont le fronton porte toujours un monogramme composé de deux G entrelacés.Un de ses occupants sera Freddy Terwagne (1925-1972), Ministre des Relations communautaires et bourgmestre d’Amay.Cheminée, boiseries, escalier, mobilier, peintures murales ont été soigneusement entretenus. Ils témoignent du raffinement des décors intérieurs du 18e siècle.

30 Rue Gaston Grégoire 4540 Amay
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La Maison Grégoire

Encore une maison canoniale. Elle est précédée d’une petite cour accessible par un portail monumental, de style rocaille, aujourd’hui privé de son couronnement.Sa construction est située vers le milieu du 18e siècle et est attribuée au chanoine Dony. Elle était à l’époque nommée « les terrasses » du fait de ses beaux jardins et vignobles.Nous sommes ici dans le quartier du Roua dont les jardins en terrasse exposés au sud et séparés par des murs de clôture étaient consacrés aux cultures maraichères, au pâturage du bétail mais surtout à la culture de la vigne ! Amay était d’ailleurs le 3e vignoble de Belgique (9ha en 1846) ! Cet atout de l’économie amaytoise subsistera jusqu’au début du 20e s.Revenons à la maison canoniale : elle fut occupée au 19e siècle par la famille Grégoire, dont un des membres, Gaston, né en 1860, fut Gouverneur de la Province de Liège de 1919 à 1927.

32 Rue Gaston Grégoire 4540 Amay
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Pompe du Roua

On parlait déjà de cette fontaine au 15e siècle. Il y a 90 ans, elle fournissait encore aux habitants de l’eau censée être potable bien qu’en réalité, elle était souvent source de maladie : le voisinage y abandonnait ses détritus et les bouchers y abattaient les porcs à même la rue laissant les déchets dans les égouts qui infectaient l'eau !

47 Place des Cloîtres 4540 Amay
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Les escaliers Lambermont

Les escaliers comptent 165 marches. La promenade ne vous oblige pas à les gravir… mais… vous laisserez-vous tenter ? Déjà mentionnés en 1364 sous le nom « en Lamber mon », les escaliers sont dénommés aujourd’hui la « rue aux terrasses ». En effet, les volées de marches irrégulières reliaient le centre aux hauteurs d’Amay, les Thiers, après avoir traversé d’anciens jardins en terrasse. Le sommet des escaliers offrait un point de vue sur le centre de la ville qui a inspiré de nombreux artistes comme le peintre liégeois du 17e siècle Englebert Fisen. Son tableau « La Charité de sainte Ode », qui orne le chœur de la Collégiale, présente un paysage assez similaire au panorama qu’offre le sommet des escaliers. Avez-vous vu les ruines d’une maison au premier coude ? C’est la seule construction de cette ruelle, elle a été construite dans les années 1860 par un serrurier.

36 Rue Gaston Grégoire 4540 Amay
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La ruelle Saint-Pompée

Vous êtes dans la plus ancienne ruelle d’Amay, déjà mentionnée au 14e siècle et qui menait à l’ancienne église Sainte-Catherine, démolie début du 20e siècle. Cette appellation tire son origine du nom de saint Pompée, confesseur de sainte Ode. Selon la légende, sainte Ode fut guidée dans son œuvre par son confesseur, Pompée, que la ferveur populaire éleva au titre de saint. Son culte n’est guère répandu en dehors d’Amay où les cultivateurs l’invoquaient pour la protection du bétail. Actuellement, il est encore parfois prié dans certains cas de maladies d’enfants.

3 Rue Désiré Léga 4540 Amay
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La tombe de Joseph Ramoux

L’ancienne terrasse à mi-hauteur de la ruelle Saint-Pompée abrite la tombe deJoseph Ramoux. Il y repose avec son épouse Aimée de Rochelée.Médecin et bourgmestre progressiste du milieu du 19e siècle, il s’est illustré au sujet de l’hygiène.On lui doit le transfert en 1857 du cimetière hors du centre de la ville bien que le projet provoque de violentes réactions et lui valut d’être traité de profanateur. Décédé en 1872, il fut le dernier Amaytois enterré en dehors du cimetière communal.

3 Rue Entre-Deux-Tours 4540 Amay
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La Maison Truninke

L’actuel Centre Culturel d’Amay était une maison canoniale qui abritait le prévôt de Léonard dans la seconde moitié du 18e siècle.

3 Rue Entre-Deux-Tours 4540 Amay
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La maison Duquet

Cette habitation de chanoines badigeonnée de rouge rappelle la tradition liégeoise des 17e et 18e siècles. Elle a été occupée notamment par le chanoine Duquet qui l’a probablement bâtie et y a fit figurer au fronton son monogramme DC.

3 Rue Pascal Dubois 4540 Amay
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Le Prieuré

L'ensemble néogothique n’est pas la construction la plus ancienne de votre promenade, il date seulement du début du 20e siècle.Le prieuré fut occupé par le couvent des Carmélites et, ensuite de 1926 à 1939, par les moines bénédictins de l’Union des Eglises. Ceux-ci réussissaient à faire cohabiter moines orthodoxes et catholiques. Ce dialogue rare entre deux églises attisa la curiosité de Mgr Roncalli (pape Jean XXIII de 1963 à 1958) qui se déplaça à Amay dans l’entre-deux-guerres !Le site abrita jusque 2008 une maison de repos. Malheureusement, l’inoccupation du site, pendant deux décennies, cède le terrain à la mérule, ce champignon qui, favorisé par la présence d’humidité, ronge les murs.Il a été récemment acquis par un promoteur immobilier qui voudrait en abattre les ruines pour le transformer en un ensemble résidentiel agrémenté d’un parc (information datant du 29 septembre 2022).Dans cet ensemble, se trouve une ancienne maison claustrale du dernier tiers du 18ème siècle qui possède encore jardins et pavillon. Elle fut habitée par le bourgmestre Ramoux.

2 Rue Pascal Dubois 4540 Amay
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La maison du Voué

Il s'agit de l’ancien corps de logis, du 17e siècle, constituant la « ferme de la Bassecour » aujourd’hui disparue.Cette maison fut occupée par l’avoué qui demeurait là-bas plutôt qu’à la Tour romane, visible plus loin sur l'itinéraire, dont le confort fut trop rudimentaire.

6 Chaussée de Tongres 4540 Amay
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Les villas Art Nouveau

Commandées par Xavier Delcominette pour ses deux enfants Carl et Nelly, cet ensemble de quatre villas dessinées en 1914 est l’œuvre de l’architecte amaytois Maréchal. Décédé durant la guerre, il ne vit jamais les villas terminées.L’architecte recourut à des motifs végétaux typiques du style Art Nouveau qu’il combina à une structure et à d’autres éléments plus classiques.On remarque des carreaux de faïences aux motifs de fleurs dans le tympan des fenêtres de chaque rez-de-chaussée. A l’étage, au-dessus de la baie correspondante, en carreaux analogues, des noms de fleurs : Marguerite, Rose, Lys et Glycine désignent chaque villa. Celles-ci sont également différenciées par la couleur des boiseries.Les différents niveaux sont aussi soulignés par des bandeaux de briques émaillés et colorés.Les balcons, les verres colorés ainsi que le découpage des toits donnent rythme et légèreté à la façade.

36 Chaussée Roosevelt 4540 Amay
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La maison de l'Hôpital

Cet hôpital des pauvres fut fondé au 15e par Henry de Hosdent (apparenté aux voués du ban d’Amay - point 17). A sa mort, en 1433, il le légua à la ville.La ferme attenante (autrefois appelée « Cense aux champs » puisqu’elle était isolée de la ville) comprend une habitation du 15ème siècle et une exploitation agricole clôturée regroupant, autour d’une cour, des bâtiments fort remaniés des 15e, 17e et 19e siècles.

6 Rue de l'Hôpital 4540 Amay
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La Tour Romane

Ce donjon est érigé aux alentours du 12ème siècle pendant la campagne de consolidation et de construction de places fortes destinées à protéger la Principauté de Liège (sous Henri de Leez 1145-1164).Construite à l’origine à l’écart des habitations, la tour domine la plaine alluviale proche de la Meuse.Elle était occupée par les Avoués. Ceux-ci aidaient les chanoines en intervenant dans les questions militaires ou judiciaires. Parmi eux on trouve Henri de Hosdent, fondateur de l’hôpital des pauvres ou encore le baron de Rochelée, père d’Aimée et dernier Avoué d’Amay. Vous souvenez-vous d'Aimée, l'épouse du bourgmestre Ramoux ?Le donjon mesure plus de 15 mètres et ses murs ont une épaisseur de 1,5m. En cas de nécessité, le pont-levis pouvait être relevé contre la porte, assurant ainsi une double protection avec les douves remplies d’eau qui entouraient la tour.On accédait au premier étage, lieu de résidence de la famille de l’Avoué, par le pont. Le rez-de-chaussée accueillait les domestiques et la cave était occupée par un puits (elle servait aussi de garde-manger).L’édifice est restauré en 1991, ses abords sont aménagés en parc communal.Il est actuellement le siège du Syndicat d’Initiative.

38 Rue de l'Industrie 4540 Amay
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La gare

La gare d'Amay est située sur la ligne Liège-Namur et est desservie par un train omnibus. Elle fut mise en service en 1850 en pleine Révolution industrielle alors qu’une large part de la population de Amay, de Flône et surtout d’Ampsin (2 autres localités de la commune) était déjà occupée aux fours à chaux et dans les carrières d’extraction (de houille, de calcaire et d’alun). L’arrivée du train favorisa le développement de briqueteries réputées jusqu’en Russie et d’une céramique dont les carreaux ornent l’hippodrome de Mexico, pour ne citer qu’un exemple !

4540 Amay
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Le château de Stockem

Imaginez-vous que ce château est entouré au 18e s. par un parc de dix hectares qui filait jusqu’à la Meuse ? Il est occupé tour à tour par le bourgmestre Farcy, par de grandes familles d’Avoués : les Delcominette et les de Rochelée ainsi que par la belle-fille du prince Eugène de Ligne dont on disait qu'il était candidat au trône de Belgique …Gasparine de Rochelée, fille d’Avoué, épouse dans les années 1800 le baron Léopold de Stockem qui donne son nom au château. Les Avoués, bien que déchus de leurs fonctions, ne furent cependant pas dépossédés de leurs biens. Le baron étant sans descendance, les de Rochelée conservent le château et le louent à la belle-fille du prince Eugène de Ligne (1804-1880).En 1927, le domaine est disloqué et le château se trouve rapidement ceinturé par de nouvelles habitations. Aujourd’hui, les armes des de Rochelée sur le fronton triangulaire sud nous rappellent l’ancien statut de la propriété.Le dernier acheteur, en 2007, scinde le château en deux parties habitables.

35 Rue Joseph Wauters 4540 Amay
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Au Valrieu / Val Rieux

Cette jolie maison du 18e siècle, précédée d’une belle porte à encadrement de calcaire mouluré, a gardé le nom d’une des plus anciennes rues d’Amay, Aval riwe qui désignait le tronçon où le ruisseau se dirigeait vers la Meuse.

19 Rue Joseph Wauters 4540 Amay
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La maison Rome

Il s’agit de l’une des plus anciennes maisons de la ville et sans conteste, elle fut, l’une des plus belles !Elle est probablement construite en 1645 par l’abbé Jean-Amand van den Steen.Au 18e siècle, elle devint la propriété du chanoine Glaireuse, dernier prévôt d’Amay.La maison Rome porte le nom de la famille qui l’habitat de 1820 à 1924, dont GustaveRome Député Permanent de la Province de Liège de 1886 à 1907.

2 Rue de la Paix 4540 Amay
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