À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter

Oups... Il semblerait que Cirkwi n'ait pas l'autorisation d'utiliser votre position.

Description
Carte
Points d'intérêt
Notes et avis
À voir autour

Le refuge du Mont Myon

Le refuge du Mont Myon
Le refuge du Mont Myon
Le refuge du Mont Myon
Le refuge du Mont Myon

Description

Depuis le village de Pressiat une ascension par les pâturages jusqu'au sommet du Mont-Myon (650m) et son refuge.
Descente par la face nord et le col de Plain Champ.
Départ possible depuis le Plan d'eau de Chevignat.

Table d'orientation - Panorama 360° - Vol de parapentes - Aire de pique-nique

1 - Pressiat, prendre route du Mont Myon
2 - Avant le site d'escalade (vestiges bâtiment), prendre à gauche pour l'ascension au milieu des pâturages.
3 - Arrivée au pré sommital, passer les clôtures et prendre le chemin à droite pour un aller retour jusqu'au refuge et à la table d'orientation
4 - Depuis le refuge, reprendre sur ces pas jusqu'à la forêt au nord du Mont Myon
5 - A la forêt, prendre la descente à gauche jusqu'au col de Plain Champ.
6 - Juste avant le col, prendre le chemin à gauche.
7 - A la route départementale, prendre à droite et de suite à gauche jusqu'au plan d'eau de Chevignat
8 - Passer à côté de la chapelle de Chevignat et filer tout droit jusqu'à Pressiat

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 09/11/2023
7.3 km
3 h 5 mn
3 h 5 mn
max. 651 m
min. 306 m
333 m

Profil altimétrique

Point de départ

Départ devant la Mairie , 01370 Val-Revermont
Lat : 46.323742Lng : 5.385725

Points d'intérêt

image du object

Auberge du Mont Myon

Restaurant au pied du Mont Myon, site classé & aire de vol des parapentistes Départ de randonnées. A proximité de l'école de parapente et du site d'escalade du Mont Myon. 2 salles - TerrasseCuisine traditionnelle de fabrication maison à base de produits frais. Service traiteur - Repas de fêtes - Livraison de repas

Le village 01370 Val-Revermont
- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter
image du object

Mont Myon

Sommet mythique du Revermont (663 mètres d’alt). Espace classé au titre des paysages remarquables. Au sommet; table d’orientation, refuge, espace pique-nique, aire de parapente. (Accès pédestre conseillé) Les monts voisins : le Montfort et le mont-Châtel.Ce site (663 m d’alt), classé depuis 1947, est un des plus hauts points du Revermont, d’où vous profitez d’un vaste panorama à 360° (voir la table d’orientation, aire de pique-nique). Face à l’ouest, le refuge est un lieu propice à la pause. Avec ses voisins, le Montfort et le Mont Châtel, le Mont-Myon constitue un ensemble paysager surprenant et repérable de loin. On dit du Mont-Myon qu’il est la lumière du Revermont … peut être par sa douceur de courbe et sa posture, ou peut être par la tradition des feux sur son sommet, dit-on héritée des Druides. Quand la météo est favorable il se couvre de voiles de parapentistes, spectacle coloré et féérique. L’accès au sommet est conseillé à pied par Pressiat ou Plain champ. Ecole de parapente 04 74 51 58 67(topoguides - PI) Mont-Myon : mediolanum « au milieu de la terre » (même étymologie que Montmélian et Milan !) ou « limite de terre ». Le Mont-Myon, lieu sacré ! A rapprocher également de la pierre Amion ou pierre à Myon, qui domine le Colombier, dans le Valromey.

- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter
image du object

Borne frontière de 1613 - Plain Champ

La borne fait partie d'une série de bornes frontières posées en 1613, et marquant alors la nouvelle frontière entre le Royaume de France avec la Franche-Comté bourguignonne. Cela suite aux Traité de Lyon, de 1601, ainsi que celui d'Auxonne, de 1612A proximité du col de plain Champ au dessus de Chevignat, cette borne fait partie d'une série de bornes frontières posées en 1613, et marquant alors la nouvelle frontière entre le Royaume de France (après la prise du Revermont, de la Bresse et Bugey aux États de Savoie par le roi de France) avec la Franche-Comté bourguignonne. Cela suite aux Traité de Lyon, de 1601, ainsi que celui d'Auxonne, de 1612. Cette limite naturelle et cette frontière d'état a accueilli au moyen-âge des pierres patibulaires (gibet). Plusieurs points de vue et panorama sur le parcellaire typique du Revermont. Vestiges de Capettes (cabanes en pierres sèches). Accès au Mont-Myon, à la carrière de Roissiat et à Dingier. Délimitation avec la Franche-Comté (voir la Tibériade en illustration : plan en relief) A découvrir : la délimitation de la Bourgogne et de la Franche-Comté par une tibériade des lieux litigieux vers Coligny (Civria, Chazelles, Saint-Jeand'Etreux, etc.), arrêtée à Saint-Amour, le 21 juillet 1611. Outre le sort des terres en sursis aux confins septentrionaux des duché et comté de Bourgogne au XVe siècle, le traité du Câteau-Cambrésis entre France et Espagne avait prévu en 1559 que serait aussi réglés à l'amiable d'autres différends sur les limites entre les deux "souverainetés" plus au sud, notamment vers la Bresse. Il fallut toutefois attendre la fin des guerres intestines et extérieures supportées par la France jusque sous Henri IV pour que s'engagent des négociations sur ces litiges frontaliers. Le 6 juin 1611 débutèrent enfin à Auxonne des conférences entre une députation du Parlement de Dijon, agissant au nom du roi de France, et une députation égale du Parlement de Dole, agissant au nom des archiducs Albert et Isabelle Claire Eugénie, qui gouvernaient alors la Franche-Comté depuis Bruxelles. Les litiges sur toute la zonne frontalière, du Bassigny à la Bresse, furent examinés sur pièces et sur place jusqu'au 15 février 1612, date de la signature d'un traité entre les députés, ratifié le 2 mars par les archiducs et le 3 avril par Louis XIII. D'ultimes ajustements furent encore apportés ensuite pour répondre à des réclamations locales, jusqu'au 20 avril 1613, date à laquelle les députations signèrent la fin du procès verbal de leurs travaux à Auxonne. Les débats sur les lieux contestés aux environs de Coligny se déroulèrent en juillet 1611 et février 1612. Légende A est la Croix Magnin ; B la Croix Gille ; C la Croix Souillart ; D charrière tirant à Belfort ; E chemin tirant au prey des Sauges ; F le prey des Sauges ; G le bief Saubagnaut ; H contrée des Ripes ; I grand chemin tendant de Sainct-Amour à Coligny ; K chasteau de Coligny-le-Viel ; L chasteau de Coligny-le-Neuf dict de Menton et le bourg autour d'icelluy ; M église et maisons estans au communal de Colligny ; N la maison de Guillaume Dojac ; O le lieu apellé Planchan ; P la croix apellée par les députéz du roy "la Croix Brotet" ; Q le lieu où les députéz du roy ont dict que c'estoit la Croix Jean-François et les députéz des archiducz ladicte Croix Brotet ; R le murgier et buisson Ragois ; S la montaigne de Montmyen ; T lieu où estoit le signe partibulaire de Chevignia ; U la Combe-au-Sou ; X le goulet aux Loups ; Y essart faict par ceux de Chevignia Archives Départementales de la Côte-d'Or, fonds de la Chambre des comptes de Dijon, B 265, procès verbal des commissaires députés en 1611-1613, registre de 245 folios, couverture parchemin frappé à l'or aux armes royales ; plan aquarellé (61x151 cm), le quatrième du registre, primitivement inséré au fol. 96, détaché et restauré en 1997 (Ateliers Quillet, Loix-en-Ré). Sur les lieux concernés par ce plan : dits et contredits des députations, fol. 96v°-112v° et 206-211, article du traité, fol. 224v°-225. Voir aussi : l'exemplaire identique de ce procès verbal conservé dans les archives du Parlement de Dole, Archives Départementales du Doubs, 2 B 412 ; la copie du registre B 265 (complété d'autres documents) faite en 1755 pour les Etats de Bourgogne, Archives Départementales de la Côte-d'Or, C 3527, plan inséré entre fol. 177v° et 178.

- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter
image du object

Carrière de Roissiat

La carrière de Roissiat, toujours en activité, a été en partie réaménagée. Table d'orientation. Accès au belvédère de la carrière par le sentier n°107 depuis le col de plain champ (20mn) ou Roissiat. Magnifique panorama sur le Bresse et Maconnais.Les couches calcaires qui affleurent du Revermont sont exploitées depuis très longtemps. La carrière de Roissiat toujours en activité en est un exemple. Accès au belvédère de la carrière par le sentier n°107. Magnifique panorama sur le Bresse et Maconnais. Découvrez les Chamois du Revermont Il n’est pas rare de les croiser autour de la carrière de Roissiat.

- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter
image du object

Chevignat et Roissiat

Anciens villages de vignerons, villages "frontière" martyrisés au cours de l'histoire et en particulier pendant la Seconde Guerre mondiale, Chevignat et Roissiat sont aujourd'hui le point de départ de belles balades dans le Revermont.Le hameau de Chevignat a pour origine « Chivisiacum », signifiant ""le domaine de Civisius"", nom de l'ancien occupant romain. Quant à Roissiat, son nom ancien est « Rothazia » qui provient de « Rotaticum », nom du péage prélevé sur les chariots. Les Celtes et les Romains s'étaient installés sur les pentes du Revermont, la plaine bressane n’étant qu’une forêt marécageuse. La voie romaine qui reliait Lyon à Besançon longeait le Revermont jusqu’à Coligny. Situés à la frontière du royaume de France et de la Comté de Bourgogne, Roissiat et Chevignat furent incendiés en 1637 par les Comtois, excédés des incursions françaises sur leur territoire. Mais c'est au XXe siècle que le traumatisme sera le plus grand, avec la déportation de certains des habitants et surtout l'incendie du 18 juillet 1944 (cf. mémorial du Grand Brûle). En 1949, la commune de Chevignat reçoit la Croix de guerre, pour ses actes de résistance et les sacrifices consentis. Depuis le XVe siècle, la vigne était devenue l’activité principale de ces villages. Les vins blancs de Roissiat étaient renommés. Mais l’arrivée des vins du midi via le train et le phylloxéra (apparu pour la première fois en 1876) mirent fin à cette culture. Reste une architecture de maisons de vignerons en pierre, disposant d’une cave sous l'habitation. Un escalier permet d’accéder à une pièce, autrefois unique, qui servait à la fois de chambre et de cuisine. Un second bâtiment est souvent accolé : grange ou étable surmonté de son fenil. Viticulture et élevage étaient souvent associés. De 1913 à 1937, le tram reliait le Revermont à Bourg-en-Bresse et passait par Roissiat et Chevignat. Bien entendu il transportait des voyageurs, mais aussi les pierres de la carrière de Roissiat et des animaux, le jour du marché à Bourg-en-Bresse. Remplacé aujourd'hui par une ligne d’autocar. Une partie de son tracé est encore visible.

- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter
image du object

City stade de Chevignat

City stade situé vers le plan d'eau avec aire de jeux et de pique-nique.

Chevignat 01370 Courmangoux
- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter
image du object

Col de plain Champ

Le Col de Plain Champ offre un beau point de vue sur les 3 Monts (Mont Myon, Mont Châtel et Montfort). Vous surplombez la carrière de Roissiat : ouvrez bien les yeux et vous apercevrez peut-être des chamois !Sur la gauche du pré, un arbre a été préservé : "l'arbre des fusillés" est un témoignage de l'Histoire liée à la Résistance. Ce col au dessus de Chevignat marque la limite naturelle avec le Jura. Borné depuis 1613 (frontière entre France et Comté de Bourgogne), il a accueilli au moyen-âge des pierres patibulaires (gibets). Vestiges de Capettes (cabanes en pierres sèches).

Parking Pierres du Revermont 01370 Courmangoux
- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter
image du object

Eglise de Pressiat

Eglise du 12e siècle / peintures du 15e siècle. Ces images édifiantes à l’usage de fidèles illettrés sont exceptionnelles. On y reconnaît le jugement dernier, avec la résurrection des morts et la pesée des âmes. Clef à retirer à l’Auberge du Mont Myon.

Place de l'église 01370 Val-Revermont
- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter
image du object

Gibet du Col de plain Champ

Col au dessus de Chevignat, limite naturelle avec le Jura, borné depuis 1613 (frontière entre France et Comté de Bourgogne) a accueilli au moyen-âge des pierres patibulaires (gibet). Aujourd'hui, seuls vestiges quelques pierres de tailleCol au dessus de Chevignat, limite naturelle avec le Jura, borné depuis 1613 (frontière entre France et Comté de Bourgogne) a accueilli au moyen-âge des pierres patibulaires (gibet). Plusieurs points de vue et panorama sur le parcellaire typique du Revermont. Vestiges de Capettes (cabanes en pierres sèches). Accès au Mont-Myon, à la carrière de Roissiat et à Dingier Borne frontière : La borne fait partie d'une série de bornes frontières posées en 16132, et marquant alors la nouvelle frontière entre le Royaume de France (après la prise de la Bresse, du Revermont et du Bugey aux États de Savoie par les troupes du roi de France) avec la Franche-Comté bourguignonne. Cela suite aux Traité de Lyon, de 1601, ainsi que celui d'Auxonne, de 1612. Les fourches patibulaires (historique) Les fourches patibulaires étaient un gibet constitué de deux colonnes de pierres ou plus sur lesquelles reposait une traverse de bois horizontale. Placées en hauteur et bien en vue du principal chemin public, elles signalaient le siège d'une haute justice et le nombre de colonnes de pierre indiquait le titre de son titulaire. Les condamnés à mort étaient pendus à la traverse de bois et leurs corps étaient laissés sur le gibet pour être exposés à la vue des passants et dévorés par les corneilles (corbeaux, selon plusieurs chansons). L’expression fourches patibulaires s’écrit habituellement au pluriel bien qu’on la retrouve parfois au singulier. L'origine du terme de fourches patibulaires remonte aux temps des Romains qui après avoir dépouillé le condamné à mort de tous ses habits lui faisait passer la tête dans une fourche et son corps attaché au même morceau de bois était battu à coup de verges jusqu'à ce que le condamné mourût de ses souffrances. Les fourches patibulaires étaient en général placées sur une hauteur, hors des villes, bourgs et villages, et ordinairement près d'un grand chemin et dans un lieu bien exposé à la vue des voyageurs afin d'inspirer au peuple l'horreur du crime. Malgré le caractère macabre de ces constructions et la mauvaise odeur qui s’en dégageait, le voisinage des fourches patibulaires était souvent garni de cabarets, car les pendaisons étaient un spectacle très couru au Moyen Âge. Le nombre des piliers de justice des fourches patibulaires variait suivant la qualité des seigneurs qui les construisaient : seul le roi pouvait en avoir autant qu’il voulait, les ducs en avaient huit, les comtes six, les barons quatre, les châtelains trois et les simples gentilshommes hauts justiciers deux. Tout haut justicier devait posséder des fourches patibulaires qui manifestaient son pouvoir de justice.

- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter
image du object

Mémorial du Grand Brûle

Le mémorial du Grand Brûle domine les villages du Revermont incendiés par des troupes allemandes en juillet 1944. Il est édifié en 2011, comme une extension du sentier Mémoire de Pierre de Courmangoux.En juin et juillet 1944, le Revermont est contrôlé par la Résistance et est même déclaré ""libéré"" par les FFI. Les sabotages des liaisons ferroviaires se multiplient, notamment sur l'axe Bourg/Lons-le-Saunier, vital pour les Allemands en cas de retraite. Ces derniers réagissent par une opération de représailles qui va concerner tout le département et dont le nom de code est ""Treffenfeld"". Dans le Revermont, le 18 juillet 1944, une colonne de mercenaires cosaques, souvent utilisés pour les basses besognes et encadrés par des officiers allemands, pillent les villages de Verjon, Roissiat, Chevignat, Pressiat et Cuisiat. Les soldats, à la recherche de Maquisards, interrogent les villageois avec violence. Ils profitent des caves et boivent abondamment. A Cuisiat, l'officier allemand ordonne de faire demi-tour et d'incendier les villages ! Les habitants sont expulsés de leur maison sans pouvoir rien emporter. Les animaux, qui n'ont pu être détachés, brûlent vifs dans les étables. Les soldats sont ivres et tirent dans tous les sens, terrorisant encore davantage la population qui se réfugie dans les bois. On dit que la lueur de l'incendie se voyait dans toute la Bresse ; de là vient l'expression de ""Grand Brûle"". Seront également touchés, les villages de Poisoux, Valresson et Saint-Rémy. Au cours de cette terrible journée, 278 bâtiments sont brûlés : 45 à Cuisiat, 82 à Pressiat, 67 à Chevignat et Roissiat, 47 à Verjon , 31 à Poisoux, 1 à Saint-Rémy et 5 à Valresson. Ces évènements ont profondément marqué les habitants de ces villages du Revermont. Rappel de l’histoire : Roissiat et Chevignat sont incendiés en 1637 par les Comtois excédés des incursions françaises sur leur territoire.

Chevignat 01370 Courmangoux
- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter
image du object

Plan d'eau du Grand Chevalet

Plan d'eau au pied du Mont-Myon pour la pêche, avec aire de jeux et de pique nique ; tour du plan d'eau agréable en famille et poussette. Calme et tranquilité. Accès au site du Grand brûle.

Chevignat Rue du plan d'eau 01370 Courmangoux
- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter
image du object

Site d'envol de parapente du Mont-Myon

Le Mont Myon : Dôme herbeux de 300 mètres de dénivelé surplombant la plaine de la Bresse. Sensations assurées !Le Mont Myon : Dôme herbeux de 300 mètres de dénivelé surplombant la plaine de la Bresse. Sensations assurées ! Vue sur la chaîne du Jura et des Alpes. Altitude point culminant : 680 mètres. Site naturel classé. Itinéraires randonnée et VTT Table d'orientation - Aire de pique-nique

Route du Mont Myon 01370 Val-Revermont
- Bourg-en-Bresse destinations - Office de tourisme -
Consulter

Informations complémentaires

Période d'ouverture

Toute l'année.

Mis à jour par

Bourg-en-Bresse Destinations - Office de tourisme - 28/10/2023
www.bourgenbressedestinations.fr
Signaler un probleme

Auteur de la donnée

Notes et avis

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter