Ce circuit permet d’aborder, à partir du centre-ville de Villefranche-de-Rouergue, la vallée de l’Aveyron ainsi que la colline Saint-Jean-d’Aigremont, qui offre un magnifique point de vue sur la ville.
Depuis la promenade (parking du parc du Saint-Jean), suivre la rivière vers l’amont, direction Figeac. Traverser l’Alzou, passer sous le pont du chemin de fer et prendre en face, l’accès pédestre de la Côte du Calvaire.
A mi-côte, 10m après le virage serré, prendre à droite le chemin goudronné (panneau sans issue). A la ferme, continuer tout droit, puis, laisser l’allée qui mène à une belle demeure pour emprunter à droite le sentier qui descend jusqu’à la D269. Suivre la route par la gauche et prendre le premier chemin à droite (chemin des Moulins). A son débouché, continuer sur le goudron sur 700m.
Après la chaussée du moulin, veiller à prendre à gauche le sentier (présence d’une source au départ) qui grimpe en sous-bois jusqu’au plateau. Arriver à la route, tourner à droite et, 400m plus loin, s’engager à gauche sur le chemin de crête. On trouve là l’antique voie romaine de Ségodunum à Divana (Rodez à Cahors) que l’on suit sur 1200m. Au carrefour, sur le goudron, prendre en face la Route du Calvaire. Arrivé au pied de la butte de l’ancien oppidum, contourner la barrière par le passage prévu sur le chemin qui mène à la croix du sommet.
Retourner sur ses pas pour obliquer en contrebas vers l'église de Saint-Jean d'Aigremont (chevet roman). Puis, prenez à gauche la route qui remonte pour emprunter la première à droite la voie romaine qui vous ramènera à la côte du Calvaire pour redescendre vers la bastide.
Depuis la voie romaine, beau point de vue à gauche sur la vallée de l'Aveyron et à droite sur la vallée de l'Alzou.
Le frère Célestin, ermite de Mauriac, décide de bâtir un ermitage pour lui et tout autre ermite désireux de se retirer dans ce lieux propice à l’érémitisme. Il fait faire élever un calvaire et bâtir une chapelle du saint Sépulcre au pied de la croix figurant le sauveur. Le 5 mai 1715, la première pierre de la chapelle est posée et bénite le 14 septembre de la même année. En 1759, l’édifice connaît des réparations portées par confrères pénitents noirs.
Beau point de vue sur la bastide de Villefranche-de-Rouergue avec son quadrillage caractéristique de "ville nouvelle" du XVIIème siècle dominée par la masse imposante de sa collégiale.
Edifiée vers 1050, la chapelle saint Jean-Baptiste fonctionne comme église paroissiale jusqu'au XIVe s. Elle devient ensuite annexe de la collégiale.