Circuit de la Porte Rouge

Face à l’église paroissiale de Saint-Romain-de-Colbosc, prenez la rue de la République qui se trouve derrière vous. Empruntez ensuite la rue Dubois à gauche. Poursuivez jusqu’à l’avenue Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny où vous tournerez également à gauche, et marchez jusqu’au rond-point.

Au rond-point, traversez et tournez à droite. Longez la D39 jusqu’au premier carrefour et dirigez-vous à gauche sur la route de Saint-Laurent, avant de tourner à nouveau à gauche. Poursuivez jusqu’à la prochaine intersection, où vous tournerez également à gauche. Prenez ensuite le chemin qui se trouve sur votre droite. Arrivé à l’intersection de la rue du Four-à-Chaux, continuez sur votre gauche, jusqu’à la D6015.

Traversez la D6015 pour rejoindre la rue de l’Église qui se trouve en face. À la prochaine intersection, allez tout droit, allée de l’Aubépine, et longez sur votre gauche la Vieille-Route-Porte-Rouge. À la prochaine intersection, tournez à droite rue de la Cour-Masure, jusqu’au château d’eau.

Une fois le château d’eau sur votre droite, continuez tout droit sur la route puis prenez le chemin qui descend vers la forêt, jusqu’au prochain croisement où vous traverserez la départementale, où vous marcherez sur la gauche, en empruntant le petit chemin situé derrière la barrière de sécurité.

Prenez le premier chemin à droite jusqu’à la route de la Cerlangue où vous tournerez à gauche. Au giratoire, allez tout droit avenue du Général-de-Gaulle pour retourner au point de départ.

En 1883, Théodule Benoist, maire de Saint-Romain-de-Colbosc, fit construire quatre monuments sur la place centrale de sa ville. En première ligne, deux majestueuses bâtisses furent érigées pour héberger la salle des fêtes et de l’hôtel de ville, et derrière furent créées les halles aux grains.

La commune de Saint-Aubin- Routot naît en 1823 du regroupement de trois paroisses : Saint-Aubin-des-Cercueils, Routot et Beaucamp. Le nom de la commune principale, Saint-Aubin-des-Cercueils est apparu au XIIIe siècle, époque où la paroisse se nommait Sanctus Albinus de Sarquelet, nom dû aux nombreux cercueils de pierre retrouvés dans l’enceinte du village. Ces cercueils auraient appartenu aux soldats de l’armée de César dont le camp était situé sur la commune voisine de Sandouville. Les Saint-Albinais et Saint-Albinaises sont les habitants de la commune.