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La Belle Meusienne

Description

Un circuit à deux vitesses, la première partie sera vous donner du mordant avec du dénivelé et de la vitesse. Au travers d'une première partie de circuit qui sera synonyme de montagnes russes, entre le col menant aux portes de la forêt de Verdun, la descente ardente après l'ossuaire de Douaumont, l'adrénaline sera au rendez-vous. Mais plus dur sera la prochaine côte ! La deuxième partie du circuit quant à elle plus indulgente avec la présence de légères plaines et de terres agricoles. Mais avant cela, une agréable traversée de la forêt domaniale de Spincourt vous est proposée par la discrète route forestière. De nombreux petits étangs longent par ailleurs le tracé en sortie de cette même route. Après cette exploration de la forêt de Spincourt, vous quitterez les espaces boisées au profit de la quiétude qui règne dans la campagne Verdunoise, notamment aux alentours de la réserve naturelle de l'Etang d'Amel. Progressivement un cadre à la fois sauvage et préservé se dévoile, les champs de roseaux y sont légion. L'opportunité pour vous d'apercevoir bon nombre d'espèces d'oiseaux. Par la suite, les retrouvailles avec la forêt domaniale de Verdun se clôtureront par une montée tenace. L'effort se verra récompensé par une descente à pleine vitesse du col, pour un retour facile à Verdun !

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 15/03/2022
78 km
3 h
max. 361 m
min. 194 m
527 m
Styles : DécouverteÀ la campagneInsoliteTerroir
Publics : SportifsCyclistes
Thématiques : AdrénalinePatrimoineTourisme de mémoireBalade natureGrand sitesHistorique

Profil altimétrique

Point de départ

69 Quai de Londres , 55100 Verdun
Lat : 49.16193Lng : 5.38665

Points d'intérêt

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La Tour Chaussée

Appelé aussi « Porte Chaussée », la Tour Chaussée date de 1380 et mesure 20 mètres de hauteur. Offerte à la Cité par un bourgeois, Jean Wautrec, ce monument était l’une des 3 portes monumentales du Grand Rempart. En 1690, au cours des travaux de fortifications réalisés selon les projets de Vauban, un portail remplace la porte originale et une des tours s'étant effondrée a été reconstruite à l'identique. En 1755, la tour est cédée à l'État qui en fait une prison militaire jusqu'en 1860.

69 Quai de Londres 55100 Verdun
- Meuse Attractivité -
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Le Mess des Officiers

Réalisé sur pilotis à la fin du 19e siècle, le mess des officiers fait partie des bâtiments nécessaires à la vie militaire. Il fut offert à la garnison par les entreprises en charge de la construction des forts, ouvrages et batteries aux alentours de Verdun. C'est désormais un hôtel 4 étoiles.

22 Quai de la République 55100 Verdun
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Monument du Lion

La statue représente un lion abattu. Il a été construit à l’emplacement d’une chapelle détruite pendant la bataille de Verdun en 1916 et il marque la limite de l’avancée allemande sur Verdun. Réalisée par René Paris, cette oeuvre reprend un thème souvent repris par les allemands. Celui-ci rend hommage aux combattants de la 130ème division qui se sont battus courageusement en ces lieux afin d'empêcher l'ennemi de passer. On y trouve aussi les numéros de l'ensemble des divisions qui ont participé aux combats dans ce secteur entre juin et octobre 1916.

D913 55100 Fleury-devant-Douaumont
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Mémorial de Verdun

Le parcours du Mémorial place au cœur de la visite la figure du combattant de Verdun, qu’il soit français ou allemand. 2000 objets de collections, une multitude de photos souvent inédites, des témoignages français et allemands et des dispositifs audiovisuels exceptionnels se mêlent pour évoquer l’expérience combattante de ces hommes venus de toutes parts. Le parcours se déploie sur trois niveaux au fil d’un parcours de découverte plein de pédagogie et d’émotion : · Dès l’entrée, le visiteur est invité à situer la bataille de Verdun dans le temps et l’histoire. Au cœur de la visite, un spectacle audiovisuel de 100m2 évoque l’expérience combattante dramatique de ces hommes sur un champ de bataille dévasté, tandis qu’une crypte permet d’entrer dans l’intimité fragile d’un soldat exposé au feu des canons. · Le second niveau laisse découvrir aviateurs, artilleurs, états-majors qui prennent part à la bataille ainsi que la vie en Meuse aux arrières immédiats du front où les médecins travaillent sans répit. · Au dernier niveau de visite, entièrement créé en 2015, les murs du Mémorial s’ouvrent sur le paysage environnant. Il est par ailleurs composé de bornes interactives, d’un espace d’exposition temporaire, d’un centre de documentation, d’un lieu de détente et d’une salle pédagogique.

1 Avenue Corps Européen 55100 Fleury-devant-Douaumont
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Les villages détruits

Suite à la Bataille de Verdun, neuf villages de la "Zone Rouge" furent totalement rayés de la carte, balayés par la tourmente de la bataille : Beaumont-en-Verdunois, Bezonvaux, Cumières-le-Mort-Homme, Douaumont, Fleury-devant-Douaumont, Haumont-près-Samogneux, Louvemont-Côte-du-Poivre, Ornes, Vaux-devant-Damloup. Restent les vestiges où les emplacements des maisons et des lieux publics sont symbolisés. Ils rappellent les métiers et les activités de ces anciennes communautés villageoises. Ils n’ont jamais été reconstruits. Ces villages fantômes, Morts pour la France, présentent une mémoire émouvante à travers les chapelles et les monuments commémoratifs érigés après guerre. Accès libre.

Avenue Corps Européen 55100 Fleury-devant-Douaumont
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Mémorial aux combattants israélites

Ce mémorial est long de 25 mètres et haut de 15 mètres. De 1916 à 1917, au cœur du champ de bataille de Verdun, près de 700 000 soldats, français et allemands, ont perdu la vie. Ce monument a été construit par l’architecte verdunois Stern en 1938 pour honorer la mémoire des victimes juives de la Première Guerre mondiale.

20 D913C 55100 Fleury-devant-Douaumont
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Ossuaire de Douaumont

Les fosses de l'Ossuaire réunissent les ossements de 130 000 soldats inconnus. Sa tour et son musée sont à visiter. Du haut de sa tour, vous découvrirez un panorama sur l'ensemble du champ de bataille. Face à l'ossuaire se trouve la nécropole nationale, où reposent plus de 16 000 soldats français. L'Ossuaire et la nécropole font partie de la mémoire nationale de la Première Guerre mondiale. Salle de projection "Verdun des hommes de boue" - Séances toutes les demi-heures. Projection disponible en français, allemand, anglais, hollandais, russe et chinois.

D913C 55100 Fleury-devant-Douaumont
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Mémorial aux combattants Musulmans

Le mémorial aux combattants musulmans de la Première Guerre mondiale, souhaité par le Haut Conseil de la mémoire musulmane, a été inauguré par Jacques Chirac lors des commémorations nationales du 90ème anniversaire de la bataille de Verdun en 2006. Près de 600.000 tirailleurs, goumiers et spahis, venus du Maghreb, d'Afrique sub-saharienne et de Madagascar, ont été enrôlés sous l'uniforme français lors de la Grande Guerre ; parmi eux 70.000 musulmans, dont 28.000 ne se relèveront pas. Si des monuments dédiés aux soldats chrétiens et juifs existaient depuis les années trente sur le site de Douaumont, les musulmans devait se contenter jusque-là d'une simple stèle rappelant le sacrifice des troupes coloniales. Aujourd'hui, l'injustice est donc réparée avec ce monument de style mauresque, composé d'un déambulatoire de 25 m sur 19, agrémenté d'arcades et de murs crénelés, avec en son centre une koubba (coupole) en pierres de Meuse. Le tout aura été construit en un temps record : première pierre posée le 23 mars 2006, pour une inauguration en fanfare le 26 juin 2006.

D913 55100 Fleury-devant-Douaumont
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Ornes Village détruit

Ornes était un vrai bourg, plus grand que les autres villages détruits, mais qui, en fin de compte, après la Grande Guerre, se retrouve au même point qu’eux, ou presque, sous leurs pierres. Au cours de son histoire, le château de son seigneur subit le même sort, en février 1653, lorsqu’il fut pris, puis détruit, par les troupes lorraines catholiques, alors que, lui, défendait fermement le protestantisme comme ses ancêtres depuis 1563. En 1587, déjà, un combat très sanglant s’était produit entre ses troupes et celles, catholiques, du Duc de Lorraine. A la moitié du 19ème siècle, il comporte 1367 habitants, puis retombe à 750 habitants en 1914, principalement à cause de l’exode rural qui alimente en main d’œuvre les grands centres industriels en pleine croissance à la fin du 19ème siècle. Pourtant, ce bourg dispose d’un tissu industriel textile et de transformation bien adapté aux productions agricoles locales et venant de la plaine de la Woëvre voisine. Mais sa situation géographique, proche de la frontière avec la Moselle annexée, puis du front stabilisé après la Bataille de la Marne, ne le favorise pas, car il se retrouverait très rapidement en première ligne en cas d’offensive ennemie. Il est donc demandé à la population d’évacuer le village dès le 25 août 1914. Mais tous ne partent pas, à leur risque et péril, car les bombardements et les patrouilles allemandes faisant des incursions dans le village s’intensifient. En septembre 1914, deux enfants sont tués par des éclats d’obus. En octobre 1914 une partie des villageois sur le départ sont capturés et faits prisonniers par les Allemands… En 1915 et jusque février 1916, les troupes françaises tiennent le village où sont positionnées des unités, en 2ème ligne face au front, lors du déclenchement de la grande offensive allemande. Mais du 21 au 24 février, la poussée allemande est si forte que le village d’Ornes est pris par leurs fantassins le 24 février 1916, après de violents bombardements mettant à bas l’ensemble des habitations et bâtisses du village. Il n’est repris par nos poilus que le 23 août 1917. Classé en « zone rouge » à la fin de la guerre, il ne peut plus jamais être reconstruit. Son statut de village détruit autorise néanmoins l’édification d’un monument aux morts dans l’ancien cimetière et de la chapelle-abri Saint-Michel qui est inaugurée le 14 août 1932. Enfin, les émouvants vestiges de son église, encore debout, témoignent à la fois de l’existence d’une vie passée prospère et de l’âpreté des combats qui se déroulés sur ce sol ravagé…

D24 55150 Ornes
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Observatoire de Senon

Panorama sur l'étang d'Amel L’étang d’Amel, aménagé par les moines au 12° siècle pour la pisciculture, est l’un des derniers étangs de la plaine de la Woëvre ayant gardé son caractère sauvage. Riche de forêts de roseaux, les alentours sont devenus un refuge pour les oiseaux qui y vivent, nichent et trouvent là, eux aussi, de quoi se nourrir : petits poissons, insectes aquatiques… L’avifaune représente une centaine d’espèces, parmi lesquelles celles emblématiques des zones humides : butor étoilé et blongios nain. On y trouve aussi le busard des roseaux ou encore la rousserolle turdoïde. On a également relevé sur le site la présence d’une quarantaine d’espèces de libellules et une population de cuivré des marais. Le secteur est également très apprécié des amphibiens comme la rainette verte, les grenouilles vertes et rousses, les crapauds et les 4 sortes de tritons visibles dans la région. Le secteur abrite également 7 plantes protégées comme la grande douve, le séneçon des marais et le potamot à feuilles aigües.

À l'Étang 55230 Amel-sur-l'Étang
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Observatoire de Amel

Site d'observation des grues

Unnamed Road 55230 Amel-sur-l'Étang
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Monument aux Morts de Vaux devant Damloup

Ce monument en calcaire, érigé en l’honneur des Poilus morts à Vaux, est un obélisque sculpté, coiffé d'un coq gaulois, posé sur un socle. Il a été conçu par l'architecte Henri Calley (1885-1959) né à Paris et qui habita Verdun. Adossée à l'obélisque, une femme casquée tenant une épée et une couronne se dresse au dessus de l'inscription : "Vaux. On ne passe pas. Vaux détruit en 1916 au cours des combats acharnés qui fixèrent l'arrêt des Allemands et leur défaite devant Verdun ". Les sculptures sont de Paul Vaast (1879-1948) né à Paris et qui habita Bernay (27). Le monument, qui porte le nom de 20 victimes, a été inauguré le 10 août 1924.

1 Vaux-Devant-Damloup 55400 Vaux-devant-Damloup
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Bois Fumin

La descente vers l’étang suit un boyau de combat, sinuant sous une altière futaie d’épicéas. Puis le sentier emprunte la digue de l’étang ; quelques pierres rappellent l’ancien moulin du village.

D112 55400 Vaux-devant-Damloup
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