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À voir autour

Balade dans le Marseille du XIXème siècle

La Canebière
Immeuble Canebière
Façade Canebiere
Kiosque à musique Canebiere
Canebière Odéon Réformés de nuit
fontaine des Danaïdes
Palais Longchamp
Crédit : ©hkotcm

Description

Cette randonnée urbaine débute sur la Canebière : elle vous conduira jusqu’au Palais Longchamp et sa fontaine monumentale.

Le parcours emprunte le Cours Saint Louis, le « Petit Cours » qui tient son nom de Louis d’Anjou. C’est ici que se tint en 1803 la première foire aux santons. Puis on entre dans le quartier de Noailles.
Dans une effervescence colorée, plongez dans les cultures méditerranéennes et découvrez les différents étals. Le boulevard Garibaldi franchi, vous rejoignez la rue du Théâtre Français. Théâtre à l’italienne et baptisé un temps « théâtre français » pour marquer sa vocation dédiée à la littérature française.

Puis on rejoint à nouveau la partie haute de la Canebière. On y retrouve une borne pour des livres en libre-service en forme de girafe afin de rendre hommage à la célèbre Zarafa, évoquée dans la balade urbaine qui mène à la Préfecture et le Monument aux Mobiles qui célèbre les soldats de la Garde Mobile de la guerre Franco-Prussienne de 1870.

Tout au bout de la Canebière, vous vous retrouvez face à l’église Saint–Vincent de Paul, surnommée « les Réformés » car située à l’emplacement de la chapelle des Augustins Réformés. Ses 2 flèches s’élèvent à 70 m au-dessus de la Canebière.

En remontant la majestueuse allée de platanes du boulevard Longchamp, vous découvrez sur votre droite l’hôtel particulier qui abrite le musée Grobet-Labadie. Pour clore cette balade urbaine, il vous reste à découvrir le Palais Longchamp qui a été édifié pour célébrer l’arrivée des eaux de la Durance à Marseille. Découvrez aussi ses musées et son jardin à l’anglaise.

Informations techniques

Marche
Difficulté
Très facile
Durée
1h
Dist.
2.1 km
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Profil altimétrique

Point de départ

Départ Office Métropolitain de Tourisme et des Congrès 11 La Canebière , 13001   Marseille
Lat : 43.296111Lng : 5.376111

Points d'intérêt

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La Canebière

La Canebière est ouverte en 1666 lors de l'agrandissement de la ville ordonné par Louis XIV. Son nom vient du provençal "Canebe", chanvre, qui perpétue le souvenir des cordiers installés ici depuis le Moyen-Age.Mais ce n'est qu'avec le départ du Grand Arsenal à la fin du XVIIIe siècle que la Canebière est prolongée jusqu'au port et que de beaux immeubles y sont construits. Le Second Empire et l'expansion coloniale bouleversent la ville : de grandes percées sont ouvertes, de riches bâtiments sont construits, un nouveau port est créé. La Canebière connaîtra ses heures de gloire sous la Troisième République grâce à l'intense activité intellectuelle et commerçante régnant dans les cafés, grands hôtels et grands magasins. La Canebière acquiert une réputation internationale et devient très vite un lieu-symbole de Marseille et de son port. Ce n'est, officellement, qu'en 1928 que la Canebière s'étendra du Vieux-Port jusqu'à l'église des Réformés englobant ainsi la rue Noailles et les allées de Meilhan. Certains immeubles sont classés Monument Historique. Un des premiers grands cafés installés sur la Canebière, le Café Turc (à l'ancien emplacement de l'Office du Tourisme et des Congrès) est dès 1850, le passage obligé des voyageurs pour l'Orient. Un salon à l'orientale ouvrait sur la rue Prince de Beauvau. Au centre de la salle principale donnant sur la Canebière, trônait une fontaine monumentale surmontée d'une horloge à quatre cadrans. Symbole de l'ouverture de Marseille sur le monde, elle marquait à la fois l'heure turque, chinoise, arabe et européenne. Son décor fastueux et son ambiance ont été souvent évoqués dans la littérature. Le café turc disparut au lendemain de la Première Guerre Mondiale. La rue Beauvau fut ouverte en 1785 sur les terrains de l'Arsenal des Galères, elle porte le nom d'un gouverneur de Provence. Elle fut l'une des premières rues de Marseille équipées de trottoirs. A noter au numéro 4 l'Hôtel Beauvau qui hébergea Lamartine en 1832 ainsi que George Sand et Frédéric Chopin en 1835. L'Opéra. Les Marseillais ont toujours été des amateurs de théâtre et d'opéra. Plusieurs salles de spectacle furent d'ailleurs construites en divers points de la ville pour répondre à cet engouement local. Mais il faudra attendre la vente des terrains de l'Arsenal des Galères en 1781 pour permettre la construction du Grand Théâtre (une des clauses de l'acte de vente stipulait l'obligation de construire un opéra selon le principe de la concession à perpétuité). L'ensemble des terrains est cédé par le Ministère de la Marine à la ville qui les revend trois ans plus tard à une Compagnie dirigée par le génois Rapalli. Il procède à la construction d'immeubles qui vont donner lieu à d'extraordinaires flambées de prix. Tout le quartier va dès lors s'organiser autour de cette vaste parcelle et les rues seront dédiées au théâtre et à la musique (Corneille, Molière, Lully ...) ainsi qu'aux grands représentants de la Royauté en Provence. Le Grand Théâtre, inauguré en 1787, était l'oeuvre de l'architecte Benard. De style néo-classique, il l'avait conçu comme un temple de la musique et de la danse. En 1919, un incendie détruisit entièrement la salle et la scène seuls furent conservés les murs maîtres, la colonnade ionique et la façade principale en pierre de taille. L'architecte Gaston Castel associé à Raymond Ebrard fût désigné pour reconstruire l'opéra de 1921 à 1924 dans un style Art Déco. L'idée de Castel fût d'ouvrir ce chantier à une pléiade de créateurs et de techniciens qui vont intervenir dans tous les domaines : peinture, sculpture, mosaïque, ferronnerie. Sur la façade, on peut voir les quatre allégoriques de Sartorio ainsi que la phrase inscrite sur la corniche supérieure : " L'Art reçoit la Beauté d'Aphrodite, le rythme d'Apollon, l'équilibre de Pallas, et doit à Dionysos le mouvement et la vie ". Dans la salle surmontant le cadre de la scène " la naissance de la beauté " réalisée par Antoine Bourdelle, en stuc rouge sur fond or dans le grand foyer, deux superbes vases spécialement conçus pour ce vaste espace par la manufacture de Sèvres et le décor plafonnant de Carrera illustrant dans des tons acidulés le mythe d'Orphée et d'Eurydice. L'originalité du bâtiment est d'avoir réussi à mêler le style néo-classique du XVIIIe siècle et le style Art Déco du XXe siècle. Les grands hôtels Une des plus belles réalisations est sans aucun doute l'ancien Hôtel du Louvre et de la Paix de l'architecte Pot occupé aujourd'hui par le magasin C&A. La façade offre aux visiteurs une entrée monumentale encadrée par quatre opulentes cariatides représentant les quatre continents (l'Europe, l'Asie, l'Amérique et l'Afrique). Cet hôtel était classé parmi les hôtels de première classe et avait 250 chambres, 20 salons et 2 salles de restaurants. Il fonctionne jusqu'en 1941 où il est réquisitionné et acheté par la Marine Nationale, puis occupé par la Kriegsmarine. Après la guerre et jusqu'en 1977 la Marine revient, installe ses bureaux, utilise les salles de réception pour les manifestations officielles, le mess des officiers... Le décor est alors tel qu'il était sous le Second Empire. En 1980, après 3 ans d'abandon et de dégradations, le bâtiment est vendu les architectes ne garderont que les façades, l'escalier et deux salons classés Monuments Historiques et en 1984 le magasin C&A ouvre ses portes. À l'intérieur, à gauche l'escalier est toujours visible et au fond du magasin des portes banales dissimulent ces deux magnifiques salons, témoins de l'époque fastueuse du Grand Hôtel du Louvre et de la Paix. C'est dans cet hôtel qu'en 1896, eut lieu la première représentation cinématographique des frères Lumière à Marseille "Entrée en gare de La Ciotat". L'Hôtel Noailles fut édifié par l'architecte Bérengier en 1865. C'est un très beau bâtiment, beaucoup plus sobre dans son architecture que le Louvre et Paix, avec un avant-corps central surmonté d'un fronton triangulaire. La façade est rythmée par l'alternance de frontons triangulaires et curvilignes. C'était autrefois un hôtel très luxueux et jusqu'en 1979 les grands de ce monde, qu'ils soient artistes ou hommes politiques, "descendaient" au Noailles. Tous les hôtels de la rue Noailles étaient d'ailleurs si réputés qu'une rubrique quotidienne leur était consacrée dans le journal. Aujourd'hui transformé en commissariat, le Noailles reste néanmoins une adresse prestigieuse. Les allées de Meilhan L'agrandissement de 1666 prévoyait la création d'une promenade publique au-delà des remparts. Les travaux ne furent achevés qu'en 1775 grâce à l'intendant de Provence, Sénac de Meilhan. Ces allées étaient alors réputées pour leurs guinguettes où les jeunes gens venaient s'amuser et danser. Le style des immeubles est très différent de celui de la Canebière et de la rue Noailles et ils datent pour la plupart de la fin du XVIIIe siècle. On retrouve d'ailleurs le type du "3 fenêtres marseillais" que l'on rencontrera plus loin sur le boulevard Longchamp. C'est sur cette partie de La Canebière que se tenait la foire aux santons. Elle est l'une des traditions les plus vivantes et les plus populaires de Marseille. Les origines de la foire aux santons remontent au lendemain de la Révolution et en font la plus vieille foire aux santons de Provence. La foire aux santons de Marseille est ouverte chaque année du dernier dimanche de novembre au 31 décembre. Son inauguration s'effectue, au son des tambourins et en présence d'une foule joyeuse, à l'issue de la messe des santonniers célébrée en provençal, en l'église Saint-Vincent de Paul les Réformés. Le kiosque à musique Le kiosque à musique en métal remplace depuis 1911 un kiosque en bois plus ancien. Une fontaine Wallace, que l'on retrouvera dans le parc Longchamp, a été mise en place ici dans les années 1930. Le Monument aux Mobiles Il a été érigé ici en 1894 en souvenir des soldats marseillais morts pendant la guerre de 1870. On reconnaît la France Armée avec à ses pieds les vaillants soldats. Le Monument aux Mobiles est le point de départ des manifestations qui descendent la Canebière vers le Vieux-Port, puis souvent se dirigent vers l'Hôtel de Ville ou vers la préfecture selon la nature des doléances ! Mais c'est aussi là que se forment les défilés, que ce soit pour le 14 juillet ou pour le carnaval quand les héros du jour pavoisent fièrement sur La Canebière, applaudis par la foule toujours prête à faire la fête ! Les Réformés Au XIVe siècle, les ermites de Saint Augustin s'installent à l'emplacement de l'église Saint-Ferréol les Augustins, située sur le Vieux-Port. Au XVIe siècle, une réforme de leur culte s'organise les Augustins Déchaux bâtissent un autre couvent au-delà de la Canebière. Sous la Révolution, les moines sont dispersés. En 1803, une nouvelle paroisse est créée dans ce quartier dont la population augmente. Un prêtre de la Mission, congrégation fondée en 1625 par Saint-Vincent de Paul en devient le premier curé. La construction de la nouvelle église d'inspiration néo-gothique se fera selon les plans de l'architecte Reybaud. L'église est consacrée en 1888. En 1989, l'ASPRA est créée pour la sauvegarde de l'édifice. En 1998, un carillon de quatre cloches est enfin placé dans l'une des deux flèches. Leur hauteur, 69 mètres au-dessus du sol de la crypte donne une idée des dimensions imposantes de l'église. À l'intérieur, les vitraux réalisés par Didron évoquent les principales scènes de la bible et les saints de Provence. Les fonts baptismaux, le maître autel en marbre, lapis-lazuli, onyx, bronze doré orné d'émaux, la chaire en bois sculpté, l'autel en marbre réalisé en 1999 avec l'ancienne table de communion, le Christ du Saint Suaire du sculpteur marseillais Botinelly.

- Office de Tourisme et des Congrès de Marseille -
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Le cours Belsunce et le cours Saint-Louis

Le carrefour cours Belsunce - cours Saint-Louis est le point zéro de la ville, c'est à partir de là que sont mesurées les distances entre Marseille et les autres villes de France. Au XVIIe siècle, suivant l'exemple d'Aix-en-Provence, Marseille décida d'ouvrir son Cours qui était la promenade favorite des Marseillais. C'est sur le cours, baptisé plus tard Belsunce en souvenir de l'évêque de Marseille qui s'illustra pendant la Grande Peste de 1720, que se que se tient chaque année du 15 juin au 14 juillet, la foire à l'ail et aux tarraïettes (petite vaisselle en terre cuite). En traversant le cours Belsunce, vous apercevez du côté gauche l'arc de Triomphe de la Place d'Aix élevé en 1839 par l'architecte Michel-Robert Penchaud. Lors de l'agrandissement de la ville en 1666, l'ouverture de la Porte Royale (future Porte d'Aix) procura à Marseille une entrée plus large pour le trafic des voyageurs et des marchandises entre la France, Marseille et l'Orient. De l'autre côté se trouve le cours Saint-Louis sur lequel étaient installés les 18 pavillons en fonte des bouquetières de 1847 à 1968 leurs étals colorés ont fait le bonheur des passants et les artistes de l'Alcazar ne manquaient jamais d'y acheter une rose porte-bonheur avant d'entrer en scène. Vous apercevez à droite la fontaine Castellane située sur l'axe Porte d'Aix-Obélisque, qui est l'une des plus longues perspectives d'Europe. L'Alcazar Au 44 du Cours Belsunce, la nouvelle Bibliothèque Municipale à Vocation Régionale (BMVR) de l'Alcazar a été ouverte au public en mars 2004 à l'emplacement du célèbre " Théâtre de l'Alcazar ". Mais bien avant, en 1636, c'était la maison de " L'Institut des Prêtres du Saint-Sacrement " placée sous le patronage de Saint Hommebon. Les prêtres de la Mission de Provence ne prononçaient aucun voeu et y vivaient en communauté pour le salut des âmes jusqu'à la Révolution Française. Alors les prêtres laissèrent la place à une auberge : " l'auberge neuve " dès le début du XIXe siècle. C'est en 1857 que le café concert ouvre ses portes en plein coeur de Marseille, dont l'activité portuaire est à son apogée. Durant plus d'un siècle l'Alcazar incarne la scène marseillaise, des opérettes des années folles au début du show business des années cinquante-soixante. Des vedettes telles que Fernandel, Tino Rossi, Maurice Chevalier, Yves Montand, Georges Brassens, Johnny Hallyday,...furent à l'affiche. En 1966 le lieu mythique du music-hall ferme ses portes et le 14 novembre 2004, après une année de fouilles et quatre années de travaux, la bibliothèque est inaugurée par le président Jacques Chirac. La conception de la BMVR par les architectes Adrien Fainsilber et Didier Rougeon. est un judicieux mélange de modernisme et de tradition. Le marbre, la tuile et le verre ont été mariés pour tirer le meilleur d'un climat particulier et utiliser l'éclairage naturel voire même l'adapter. La BMVR, qui s'étend sur 18 000 m2, accueille quelques 55 000 inscrits et 10 000 visiteurs par jour. Elle offre 350.000 documents (livres, périodiques, vidéos, CD) en libre accès et quelques 700.000 ouvrages en magasins. L'Alcazar possède des fonds précieux : près de 200 manuscrits médiévaux, une collection de 143 incunables, les archives des Cahiers du Sud... Le public dispose de 1700 places assises et 230 ordinateurs en en libre accès et 200 agents à son service.

- Office de Tourisme et des Congrès de Marseille -
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Palais Longchamp

Situé dans le quartier des Cinq Avenues, le Palais fut édifié à partir de 1862 par la municipalité pour célébrer l'arrivée des eaux de la Durance dans la ville, via le Canal de Marseille.Situé dans le quartier des Cinq Avenues, le Palais fut édifié à partir de 1862 par la municipalité pour célébrer l'arrivée des eaux de la Durance dans la ville, via le Canal de Marseille. Les travaux du Palais furent dirigés par l'architecte Henri-Jacques Espérandieu et achevés en 1869 pour des raisons budgétaires. Il a été inauguré le 14 août de la même année et ouvert au public le lendemain, 15 août, jour de la fête de l'Empereur Napoléon III. Sous sa colonnade circulaire, le Palais abrite deux musées : le Musée des Beaux-Arts dans son aile gauche et le Muséum d'Histoire Naturelle dans son aile droite. Les jardins du Palais ont également accueilli jusqu'en 1987 un jardin zoologique. Ils abritent actuellement l'Observatoire de Marseille. L’Architecture Château d'eau, entouré d'un jardin et de cascades, le Palais Longchamp a été conçu comme un véritable hymne à l'eau : La gloire de l'eau de la Durance est marquée par la jeune femme au centre et ses compagnes symbolisent la fertilité : le blé et la vigne. Derrière, des enfants joufflus des gerbes de blé et des grappes de raisins, les bas-reliefs de la scène des tritons, rappellent le baroque.­ ­ Le très riche décor du bâtiment évoque l'abondance et la fertilité amenée par les eaux du canal. La sculpture y tient un rôle prépondérant. Le célèbre sculpteur animalier Antoine Louis Barye a réalisé les lions et les tigres de l'entrée. La fontaine monumentale au centre de la colonnade est l’œuvre de Jules Cavelier. Le décor intérieur des musées est également remarquable. L'escalier d'honneur du musée des Beaux-Arts est orné des deux grandes toiles commandées en 1867 à Puvis de Chavannes (Marseille, Colonie grecque et Marseille, Porte de l'Orient). Le muséum a préservé avec la salle Provence peinte par Raphaël Ponson un très bel exemple de muséographie ancienne. Le Muséum d’Histoire Naturelle : Le Muséum d’Histoire Naturelle est installé dans l'aile droite du palais depuis 1869. Ses collections lui ont valu d'être classé de « première catégorie » en 1967 comme neuf autres grands Muséums de France. Depuis, il se trouve sous tutelle du Ministère de l'Education Nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche avec, à sa tête, un conservateur d'Etat. En près de deux siècles, le Muséum d'histoire naturelle a rassemblé des témoignages inestimables du patrimoine naturel qu'il met à la disposition du public et des scientifiques dans les salles de zoologie, d'ostéologie et de préhistoire ou encore en Salle de Provence. L'Observatoire : C'est aujourd'hui un centre de traitement des données obtenues sur les plus grands télescopes du monde et à partir des grandes expériences spatiales, ainsi qu’un laboratoire de développement instrumental. Les thèmes de recherche principaux sont orientés vers l'étude des galaxies et le milieu interstellaire. Depuis janvier 2000, l'Observatoire s'est élargi en devenant, avec le "Laboratoire d'Astronomie Spatiale" aux Trois Lucs à Marseille, l'Observatoire de Haute Provence et l'Observatoire Astronomique Marseille Provence au sein de l'Université de Provence. Outre ses activités de recherche, l'Observatoire est ouvert au public et aux scolaires et propose régulièrement des activités de diffusion de l'astronomie. Le Musée des Beaux-Arts : Installé dans l'aile gauche du Palais, le Musée des Beaux-Arts conserve des peintures, des sculptures et des dessins du XVIe au XIXe siècle.

Place Henri Dunant Bd de Montricher 13233 Marseille
- Apidae -
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Informations complémentaires

Mis à jour par

Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille - 20/10/2025
www.marseille-tourisme.com
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Contact

Téléphone : 08 26 50 05 00

Email : information@marseille-tourisme.com

Site web : https://www.marseille-tourisme.com/

Nature du terrain

Revêtement dur (goudron, ciment, plancher)
Adapté aux poussettes de ville

Animaux

Oui

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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾