Dion-le-Val et Dion-le-Mont - Val et Oli

Eglise Notre-Dame Le portail d’entrée classique du 18e siècle est surmonté de deux pots-à-feu. Sur la droite, face à l'église, l'ancienne cure. Sur le parking face à l'église, un petit monument discret, celui dédié à Albert de Dion. Il n'a jamais vécu dans la région. Pourtant, le marquis Albert de Dion est commémoré par cette stèle, en l'honneur de sa qualité de (l'un des) fondateur de l'automobile. L'œuvre du sculpteur intègre une gravure de la « Populaire », modèle célèbre des automobiles Dion-Bouton. Une sculpture qui prend place près du château de Dion derrière la Cure), berceau de la famille du même nom. Les recherches généalogiques montrent qu'Albert de Dion est le dernier descendant de la lignée du Seigneur de Dion-le-Val, explique Robert Haulotte, président du Cercle historique de Chaumont-Gistoux. Une fois connues ces informations généalogiques, il était donc normal que la stèle commémorative à la mémoire du marquis soit construite sur les terres de ses ancêtres. Mais qui est exactement Albert de Dion ? Jules Philippe Félix Albert de Dion, marquis de Malifrance, est né à Carquefou, près de Nantes, le 8 mars 1956. En 1851, il rencontre Georges Bouton, ingénieur parisien créateur d'une petite machine à vapeur. Le couple de Dion-Bouton venait de naître et la grande aventure de leur automobile pouvait commencer. C'est en 1903 que les deux hommes rencontrent le succès, avec le lancement de la « Populaire ». Le moteur de l'essieu arrière de cette automobile est déplacé vers l'avant et recouvert d'un capot métallique de forme dite « toboggan ». Un capot tout en symbole puisque, avec ce dernier, la silhouette type de l'automobile était née. La firme de Dion-Bouton arrêtera la production de voitures de tourisme en 1932 et cessera toute activité en 1948, deux ans après la mort du marquis. Le marquis est venu plusieurs fois à Dion-le-Val pour se recueillir sur la terre de ses ancêtres, détaille Robert Haulotte. Des visites folkloriques car il était accompagné de son chauffeur noir, l'Abyssin Zélélé. À chaque fois, il visitait le château, l'église et le cimetière où se trouve une pierre tombale de ses ancêtres.

On vient de quitter la rue du Sartau. C'est là que vivait la princesse Claire avant d'épouser le prince Laurent.

dans la brume...

Environ 400 mètres de route asphaltée (avec un peu de circulation)

Les cartes d'état-major renseignent ici une servitude de passage sur ce terrain, qui semble faire partie du jardin de cette charmante maison. Mais il est donc autorisé d('y passer.

Quartier résidentiel peu fréquenté

On est ici sur le trajet de la procession du Grand Tour. Uhe chapelle de chaque côté de ce croisement. C'est déjà près de 500 fois que la la procession du Grand Tour, parcourt 9 km, dans la campagne autour de Wavre et dans la cité, s’arrêtant devant une dizaine de chapelles et à l’église St-Jean-Baptiste. Cette marche se fait dans la joie, les chants et la prière. Devant la croix qui ouvre la marche, un cavalier, monté sur un cheval blanc, prend place. Le cortège accompagne la châsse -130 kg-, portée par des pèlerins. À cette occasion, plusieurs façades de maisons situées sur le parcours de la procession sont décorées par leurs habitants, en hommage à Marie. Des enfants et des jeunes y participent activement en encadrant la châsse, les bannières et en portant des costumes de saints.

Rivière

Prudence. C'est la N243, avec pas mal de passage.