Sentier de la résistance n°23

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, certains des habitants de la région ont contribué à la Résistance et à la libération de la France du joug nazi. C’est leur histoire que vous allez découvrir, tout au long de ce chemin qu’ils ont sillonnés, à l’époque.

Monter la route sur 400 m. Au parking servant à stocker les grumes de bois, gravir le chemin à droite sur la gauche se tiennent les ruines de Goutte Grelinche avec un ancien four à pain. Peu après, le chemin continue à plat pour aller franchir le ruisseau barré par une ancienne scierie des pointes de flèche en pierre taillée auraient été trouvées à cet endroit.

Le sentier continue par une courbe à droite pour traverser le canal d’amené d’eau à la scierie puis à nouveau le ruisseau. Se hisser jusqu’à une piste forestière.

La prendre à gauche sur 30 m et, à la place des Trouillères, monter le chemin à droite, d’abord face à la pente, puis infléchir à droite. Après le replat, rejoindre le GR® de Pays Les Grenadières.

Jonction avec le GR® de Pays Les Grenadières qui monte de Saint-Jean-la-Vêtre.

Grimper le chemin à gauche. Monter la piste à gauche au-dessus des captages d’eau de Leigneux pour atteindre le col des Placiaux.

Hors-circuit (aller-retour de 600 m) pour le rocher de Ché Gronlé (plaque explicative sur ces rochers qui servirent de cache aux réfractaires au service du travail obligatoire (STO)) : continuer la piste tout droit sur 100 m et gravir le chemin à gauche, puis infléchir à droite.

Séparation avec le GR® de Pays Les Grenadières qui va Ché Gronlé et à Jeansagnières.

Partir par la piste à gauche. Dans la courbe à droite, dévaler le sentier en contrebas. Après le ruisseau, la descente devient caillouteuse. Gagner la piste forestière ; la prendre à gauche avant le ruisseau, elle passe au-dessus de la loge de Tirebœuf ; ce camp du maquis fut incendié le 25 mars 1944 par la milice et les GMR (Groupe Mobile de Réserve). Retrouver les Trouillères.

Passer au-dessus du sentier de l’aller et, 25 m plus loin, monter le chemin qui contourne le pic de Morand par la droite. Au début de la descente, continuer le plus à plat possible vers le nord à travers bois, vue sur les monts du Lyonnais à l’est, puis sur les monts du Beaujolais au nord-est. Au carrefour, descendre à droite par le chemin qui décrit une large courbe à gauche pour s’orienter à l’ouest. Dévaler alors le chemin à droite. Près de la lisière, poursuivre la descente par le chemin à droite. Passer un château d’eau témoin de la ressource en eau de cette partie des monts du Forez. Regagner la fontaine couverte de Morand.