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Découverte des Aravis

Découverte des Aravis

Description

Partez à la découverte des Aravis, cette barrière rocheuse qui se dresse face au Mont-Blanc et qui abrite le berceau d’origine du fromage Reblochon. Les cols des Aravis et de Manigod vous permettront d’enchainer les virages tout en bénéficiant d’un magnifique paysage!

Informations techniques

Moto
Difficulté
Non renseignée
Durée
3h30mn (1j)
Dist.
179 km
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Profil altimétrique

Point de départ

75 Rue de la Gare , 74340   Samoëns
Lat : 46.08273Lng : 6.72301

Points d'intérêt

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Église Notre-Dame de l'Assomption

Achevée en 1555, l’église Notre-Dame de l’Assomption à Samoëns est un témoignage architectural de l’œuvre des renommés tailleurs de pierres du village.La première mention de l'église date de 1167. Ancienne collégiale du Diocèse de Genève, l'église actuelle a été construite sur les ruines de l'ancienne église détruite en 1476 lors de l'invasion des Bernois. De cette église d'origine, ne semblent subsister que la partie inférieure de la tour-clocher (XIIIe siècle), ainsi que la chapelle Saint-Claude (XVe siècle). Il fallut attendre 1555 pour voir s'achever les travaux de construction (porche, bas-côté droit). S’ensuivirent alors les travaux du chœur de l’édifice religieux, achevés en 1605. Puis enfin ceux du bas-côté gauche (1621), puis de la sacristie (1840). L'église de Samoëns, marquée par le travail des tailleurs de pierres, est l’un des symboles du village avec le Gros Tilleul. En effet, les chantiers de l'église et les éléments de décoration ont été l'œuvre des Maçons de Samoëns, tailleurs de pierre réputés en Savoie et en France. Tailleurs auxquels Vauban, Voltaire et Bonaparte ont fait appel pour de multiples travaux. Les bâtisseurs du Giffre ont laissé dans l'église de nombreuses les traces de leur savoir-faire. En 1917, Marie-Louise Cognacq-Jaÿ, fondatrice des grands magasins de la Samaritaine à Paris, 10 ans après avoir créé le jardin botanique alpin fut de nouveau la bienfaitrice du patrimoine de Samoëns. Elle accepta de subventionner la rénovation de l'intérieur de l'église de son village natal décorée selon le style de l'époque d'inspiration néo-gothique. Ce décor en plâtre armé devenu à son tour vétuste, on entreprit une seconde rénovation générale de l'édifice entre 1978 et 1982. C’est de là dont vient l'aspect moderne de l'église contemporaine, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1987.

1 rue des Chanoines MAISON PAROISSIALE 74340 Samoëns
- OT Samoëns -
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La Grenette

Au cœur historique de Samoëns, les anciennes halles du marché et le Gros Tilleul renvoient à un passé ancestral, en demeurant des lieux de rencontre et de convivialité incontournables de la vie locale. Un bel exemple de patrimoine vivant.Les anciennes halles couvertes, qui se dressent fièrement sur la place du Gros Tilleul, évoquent ce temps ancien où toute l’économie de la vallée gravitait autour du chef-lieu et de son marché hebdomadaire. Dans la petite cité de Samoëns, la tenue régulière d’un marché tous les mercredi matin a été instituée par lettres patentes du comte Amédée VI de Savoie, en 1355. Pour abriter le marché, protéger les marchandises et faciliter la perception des redevances, les habitants du bourg construisirent, dès cette époque, une première halle. Ce grand bazar couvert où s’achetaient et se vendaient chaque semaine des draps, des fourrures, des bonnets, des graines, des fruits, des œufs, du fromage, de la viande, n’eut de cesse de prospérer. La halle doit son nom de « Grenette » à l’une de ses fonctions primitives qui était de protéger les grains et les semences des intempéries chaque semaine pendant le marché. Elle abritait aussi deux foires annuelles, des ventes à la criée au printemps, et des réunions publiques où s’ébauchèrent les premières formes de vie municipale. Cette grenette médiévale, construite en bois, fut entièrement détruite au cours du grand incendie de 1476. Reconstruite à l’identique dans les années suivantes, la halle était de nouveau ravagée par les flammes en 1537. Le bâtiment actuel fut élevé au cours du XVIIIe siècle. Robuste et massif, reposant sur une colonnade monumentale en pierre des Fontaines, il a bénéficié du savoir-faire des maçons de Samoëns, et des soucis hygiénistes de son temps. Un ruisseau fut dérivé vers le bâtiment pour servir d’égout : il devait couler au grand air pendant plus de deux cents ans, avant d’être recouvert pour la commodité des promeneurs. Les constructions se desserrant peu à peu autour de la halle, la menace d’incendie se dissipant peu à peu, le bâtiment put traverser le temps et nous parvenir sans encombre. A plusieurs reprises, il fut restauré au cours. La belle charpente apparente qui couvre la Grenette a été refaite dans les années 1880, mais elle conserve des pièces du bâtiment d’origine. Intégrée au périmètre de protection de l’église au titre des monuments historiques en 1983, la Grenette n’a plus vocation à abriter le marché alimentaire du mercredi matin. Elle n’a cependant jamais été autant utilisée : convertie en forum d’animation populaire, pour le plus grand plaisir des Septimontains et des visiteurs de la station, elle demeure un lieu d’échange original et apprécié.

Place du Gros Tilleul Chef-Lieu Village 74340 Samoëns
- OT Samoëns -
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Chapelle du Chinaillon

Fondée en 1677, la chapelle est nichée au cœur du hameau du vieux Chinaillon. Malgré la rénovation principale en 1977, elle conserve un cachet ancien et recèle plusieurs objets qui témoignent du temps passé : du style baroque jusqu’à l’art contemporain.La chapelle du Chinaillon est placée sous le vocable de Notre-Dame-du-Puy, afin de protéger les habitants du hameau contre l’incendie. Sur la façade, le portail est entouré de deux petites ouvertures anciennes et surmonté d’une petite niche, qui protège une Vierge à l’Enfant. Depuis 1977, la chapelle est placée sous le vocable de Notre-Dame des Neiges. A l'origine, la chapelle était recouverte d'un enduit. C’est lors de l’importante rénovation réalisée en 1977 à l’initiative du frère capucin Barthélémy, que les murs ont été laissés avec des pierres apparentes. La dernière restauration intérieure de 2009 a permis de retrouver les couleurs douces d'antan, selon la volonté des gens du hameau. La chapelle est surmontée d’un clocheton, à base pyramidale, surmontée d’un dôme, de la flèche et enfin la croix. Le clocher abrite une cloche fondue en 1901 par les frères Paccard, dont l’atelier se situait à Annecy-le-Vieux (aujourd’hui à Sevrier). A l’intérieur, le piédestal de deux colonnettes témoigne qu’à l’origine, en 1687, la première cloche avait pour parrain Jean-François Sonnerat-Lanioz et qu’en 1901, la cloche avait pour parrain Victor Perrissin-Fabert et pour marraine Elisabeth Tochon-Danguy. Si autrefois, Alphonse Fournier a sonné la cloche de la chapelle toute sa vie, et ce depuis son retour de la Deuxième guerre mondiale, désormais, la cloche est électrifiée et sonne à 12 h et à 19 h. A l’intérieur, à gauche en entrant, le tableau de Saint-François de Sales, Sainte-Barbe (avec le symbole de son martyre, la tour) et Saint-Just (au dessus une Vierge à l’Enfant couronnés, très probablement Notre-Dame-du-Puy, patronne de la chapelle) est daté de 1687. Ce tableau a été offert par Dominique Tochon, curé du Grand Bornand comme en témoigne la dédicace sur la partie basse du tableau. Ce tableau est inscrit à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis avril 1983. Il a été restauré récemment. Ce thème est repris par le tableau central est dédié à la Vierge à l’Enfant, assise entourée de Saint-François de Sales à gauche et Sainte-Barbe à droite. Ce tableau a été offert en 1822 par Jean Angelloz-Diron, qui pourrait être un émigré bornandin (cf don de la famille Angelloz-Nicoud à l’Eglise également au XIXe siècle). Ce tableau est entouré de deux colonnettes torsadées avec des angelots, l’une surmontée d’une Vierge et l’autre d’une croix. Cet ensemble témoigne de la période baroque (fin XVII/XVIIIe siècle). Jusqu’en 2009, le maître autel est un bloc de granit ; il est remplacé depuis par un autel en bois contemporain, très épuré. On remarque également une statuette d’une Vierge à l’Enfant, posée sur un globe étoilé. Les vitraux, réalisés en 1977, sont l’œuvre de Mme Mongeaud de Thonon-les-Bains. Le premier ensemble de vitraux évoque la réalité des habitants : la ruche d’abeille figure le travail laborieux de la montagne et le mouton en alpage exprime la douceur et la tranquillité. On retrouve de nombreux symboles chrétiens : les colombes pour la paix, les raisins et les épis de blé représentent le pain et le vin de l’eucharistie. Enfin, un petit vitrail est plus énigmatique : il s’agit de Saint Charles dormant au pied de son cheval. En sortant, on remarque le chemin de croix de la fin du XIXe siècle, mais aussi le très beau confessionnal, ainsi que le bénitier daté de 1769, situés tous deux juste derrière la porte d’entrée.

Vieux village du Chinaillon Le Grand-Bornand Chinaillon 74450 Le Grand-Bornand
- Le Grand-Bornand tourisme -
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Eglise Notre Dame de l'Assomption

L’église du Grand Bornand a été consacrée en 1877 après 60 ans d’importants travaux à charge de la communauté. Elle témoigne du style néo-gothique typique du milieu du XIXe siècle, où l’on redécouvre l’architecture de l’âge d’or de l’Eglise catholique.Du XIe au XIIIe siècle, il existait une simple chapelle, un appendice de l’église de Thônes, la seule du territoire paroissial actuel. D’après la description faite dans les visites pastorales de l’Evêque de Genève au XVe siècle, l’église était alors en bois. Au XVIe siècle, en 1569, l’église brûle entièrement et les 4 cloches fondent. Elle est reconstruite dans le style baroque comme le prouvent les fonts baptismaux et le clocher à bulbe du XVIIe siècle. Le clocher, à l’origine en fer blanc (aujourd’hui en inox étamé), est le témoin de l’émigration savoyarde dans les pays germaniques. A la Révolution française, en 1794, comme dans toutes les paroisses, l’église est pillée, le clocher est abattu et 3 des 4 cloches sont fondues. La plus ancienne cloche datée de 1767 subsiste. Au début du XIXe siècle, en 1816, l’église tombe en ruine et s’effondre sous le poids de la neige. Les travaux de l’église durent entre1817 et 1877. Le clocher à bulbe est reconstruit entre 1820 et 1845. Le mobilier est inscrit à l’inventaire supplémentaire des MH (les fonts baptismaux, la chaire, les stalles et un tableau). Il est réalisé par des artistes du Piémont, de Val Cesia : les Gilardi et les Pellegrini. L’orgue Giroud de 44 jeux, est inauguré en 1988. La visite est libre mais en été, la visite guidée de l'église est comprise dans la visite guidée du Village. Voici les mobiliers, pour certains classés, que vous pouvez observer dans l'Eglise : - Toile du XVIIIe : La Vierge donnant le St Rosaire à St Dominique - Toile peinte du XIXe : Tableau du Sacré Coeur - Cloche en bronze de 1767 - Stalles en noyer - Chaire sculptée en 1827 montrant les quatre évangélistes - Retable avec une partie basse du XVIIe représentant la Dormition de Marie - Orgues (manufacture Giroud) de 40 jeux de 1988 - Fonds baptismaux classés en bois sculpté du XVIIe et de 1829 - Autel de 1995 avec des panneaux latéraux représentants deux aspects fondamentaux de la vie économique de la paroisse : le tourisme et la vie agricole - Crucifix en bois

Place de l'Eglise Le Grand-Bornand Village 74450 Le Grand-Bornand
- Le Grand-Bornand tourisme -
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Maisons suspendues - Panorama

Les maisons suspendues de Flumet, dont les fondations reposent à même la roche, surplombent l'Arly 40 mètres en contrebas. Cet ensemble architectural d'une grande originalité, quasiment unique en Savoie, offre une vue vertigineuse et saisissante.Au 13e siècle, les sires de Faucigny fondent la cité de Flumet. Pour peupler la localité, ils octroient des franchises (libertés et privilèges) aux bourgeois de Flumet, chacun se voyant délivrer une parcelle de taille uniforme pour bâtir sa maison. Le bourg ainsi créé est entouré de murailles. Du côté de l'Arly, les maisons sont construites sur l' éperon rocheux qui surplombe l'Arly de plusieurs dizaines de mètres : il n'était donc pas nécessaire de fortifier l'enceinte à cet endroit, la géographie des lieux offrant une protection naturelle suffisante. Une porte marquait l'entrée du bourg de ce côté, dont l'ouverture est toujours visible aujourd'hui dans la rue du Mont-Blanc. Elle donnait sur un chemin descendant sur l'Arly et permettant de monter sur Notre-Dame-de-Bellecombe. Depuis le 13e siècle, malgré l'incendie du bourg en 1679 et les vicissitudes du temps, l'aspect de ces maisons suspendues a très peu évolué (voir le cadastre de 1730), si ce n'est la disparition des toits en tavaillons et l'apparition de traces de modernité (paraboles, grandes baies vitrées, garde-corps non ouvragées) qui ont atténués le charme traditionnel de cette architecture. Cependant, ces maisons suspendues ont gardées leur originalité faite d'enchevêtrement de balcons, de galeries, de logis, d'escaliers,de cheminées etc. De même, les fondations en pierres apparentes remontent sans doute aux origines du bourg. Sans parler de leur aspect vertigineux qu'il faut absolument voir et que l'on peut apprécier en différent endroits du bourg (place du château, pont des Abymes, lacets des Avenières).

- Office de Tourisme du Val d'Arly -
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Auteur de la donnée

Image alexane
proposé par alexane

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