ViaRhôna à vélo - Étape 12 - Sablons / Serrières > Tournon-sur-Rhône / Glun

Le Caveau M. CHAPOUTIER vous propose des prestations de dégustations, visites de vignoble, ateliers d'initiation, balades à vélo pour explorer le vignoble. Animés par nos sommeliers conseils, ils vous feront découvrir les valeurs et l'âme de la Maison.Depuis 200 ans, la Maison M. CHAPOUTIER produit les plus grands vins dans le respect absolu des équilibres naturel, dans la recherche la plus juste de chaque terroir. La convivialité, la générosité propres à l'univers du vin, M. CHAPOUTIER souhaite les partager à travers un art de vivre ouvert à tous. Nos prestations de dégustation sur mesure ou thématiques s’adapteront à vos envies et vous partagerez la passion de nos sommeliers experts en vins. A travers ces visites vous découvrirez l'âme et le savoir-faire de la maison M. CHAPOUTIER. La boutique du caveau vous invite à prolonger l'expérience : grands vins, millésimes rares, spiritueux et coffrets à offrir. Une source d'inspiration pour vos idées cadeaux.

Préparez vos 5 sens pour une expérience inédite au cœur du goût et des savoir-faire. Déambulez le long d’un parcours gourmand, ludique et interactif sur 2 000 m² consacré au chocolat responsable.La Cité du Chocolat Valrhona est un lieu riche et expérientiel où le chocolat se dévoile, se partage et se déguste ! Les visiteurs viennent découvrir les secrets du chocolat et profiter de cette escale gourmande, pédagogique et multi-sensorielle avec, à la clé, la promesse de vivre un moment de gourmandise en famille ou entre amis. Cette année, un nouvel espace dédié à l’histoire du cacao vient compléter la scénographie déjà existante du 1er étage avec plusieurs activités interactives. Pour ses 10 ans, la Cité accueille un mystérieux vase ancien venu d’Équateur. Ce vase a été découvert lors de fouilles archéologiques et démontre la domestication du cacao en Amazonie équatorienne plus de 5000 ans av. J.-C., et donc antérieure aux Mayas. La Cité du Chocolat Valrhona dispose d’une réplique du vase, autorisée par l’Institut national du patrimoine équatorien.

Ce musée s'articule autour de trois thématiques fortes : la batellerie de halage traditionnel (traction par les chevaux sur le fleuve), les fresques du 18ème et l'église nécropole avec ses mandulons.Le musée est installé dans l’ancienne église Saint-Sornin du 12ème siècle dont la charpente de châtaignier (14ème siècle) est construite en « cul de barque », certainement par des Mariniers. Des peintures mises à jour au début du 21ème siècle ornent les murs de l’église (certaines du 14ème siècle). Ce musée comporte des croix de mariniers, d’anciens plastrons de joute nautique, ainsi que divers outils utilisés par les mariniers du Rhône. Dans une aile de l’église-musée se trouvent les « mandulons ». Il s’agit de centaines d’ossements dont 4 corps momifiés, ici depuis le 17ème siècle. Longtemps le mystère a plané sur ces corps. Victimes d’épidémies ? Des Guerres de religion ? Il semblerait qu’en fait ces ossements soient issus d’une fosse commune, dont les anciens « occupants » furent entreposés là. Les corps momifiés auraient été des défunts transférés ici, car le cimetière était submergé par une crue du Rhône. L’hydrométrie particulière de ce lieu aurait permis une momification naturelle de ces cadavres.

Premier pont suspendu sur le Rhône, avec ce type de technique (cables en faisceau de fils de fer). Invention du célèbre Marc Seguin. Cette passerelle est la réplique exacte de celle de 1825 et détruite en 1965. Pas de traversée possible en vélo.Entre 1958 et 1965, 3 ponts reliaient Tournon sur Rhône à Tain l'Hermitage. Le premier, offrant un nouveau modèle de pont suspendu, plus léger et permettant de grandes portées, inaugura la vogue des ponts suspendus en Europe entre 1825 et 1845. Réalisé en un temps record par Marc Seguin et ses frères, en 18 mois à peine, le premier pont suspendu entre Tournon et Tain, achevé en 1825, fut le premier grand pont suspendu en Europe continentale à utiliser des câbles de fil de fer et non des chaînes en fer forgé comme il était d'usage. Plus économiques, plus résistants, plus flexibles et moins complexes à fabriquer, les câbles de fils de fer offraient tous les avantages. Après avoir connu un vif succès, ce premier pont devint rapidement inadapté à l'augmentation du trafic routier et aux passages fréquents des bateaux à vapeur. Transformé par la suite en passerelle pour piétons, il fut finalement détruit en 1965, non sans protestations. Une plaque sur le Quai Marc Seguin signale son emplacement. Un deuxième pont, sur le même modèle mais plus élevé et à double voie, fut donc construit par les frères Seguin, entre 1847 et 1849, cent mètres en aval du premier. L'ensemble de la suspension a la forme d'un berceau, légèrement, cintré au milieu, donnant ainsi davantage de rigidité à l'ensemble de la travée. C'est aujourd'hui une passerelle uniquement pour piétons.

Hérons, canards, castors, libellules, orchidées se nichent au coeur du plus grand écrin de verdure de la moyenne vallée du Rhône. Partez à la découverte de ce territoire avec 4 circuits thématiques balisés.Quatre sentiers de découverte sont répartis dans et autour la réserve naturelle et abordent différents aspects de la plaine alluviale, l'usage de l'eau et les aménagements du Rhône. Un bac à chaînes permet d'accéder à l'île et sa "petite jungle", coeur de la réserve naturelle, et un observatoire offre une vue sur le Rhône naturel et ses oiseaux : hérons, martin-pêcheurs, aigrettes, grands cormorans... Peut-être qu'avec un peu de patience, vous pourrez apercevoir un castor en soirée qui remonte la lône...