Sur les pas des conteurs d'histoires

Espace arboré de 3 ha à moins de 2 km du village d'Etrez. C'est à la fois un lieu de promenade et de pique-nique pour petits et grands et un lieu dédié à la conservation des espèces d'arbres et d'arbustes.C'est un lieu ouvert toute l'année au public à condition de respecter la charte du visiteur qui figure sur le panneau d'entrée. Il est fréquenté par des individuels, par des groupes et des scolaires en particulier pour la journée de la nature. L’Association « Arbres et Nature » s’est engagée dans la réalisation d’un arboretum au nord de la commune. Elle a pour but de promouvoir l’arbre auprès de tout public de toutes générations par une meilleure connaissance de l’arbre, de sa vie, de son histoire, de ses utilisations, de son rôle, de sa fonction dans la nature et sa mise en valeur. Objectifs : • Préserver des essences régionales et introduire des arbres de même essence, mais d'espèces rares, à titre pédagogique. • Offrir aux générations futures un lieu de ressourcement, dans le calme d'un espace forestier protégé et aménagé. Actuellement 150 arbres d'essences différentes et 80 arbustes ont été plantés et tous sont signalés par une plaque comportant leur nom latin et leur nom français. Une haie champêtre de 250 m le borde sur 2 côtés. On peut y voir aussi une charmille « plessée », âgée de 200 ans environ, un des arbres remarquables répertorié par Patrimoine des Pays de l'Ain. Deux zones humides ont été créées : une mare et une zone de 3 bassins avec une passerelle, elles accueillent des plantes aquatiques, des insectes et des batraciens dont le crapaud sonneur à ventre jaune qui est une espèce protégée. L'association organise des visites guidées pour sensibiliser les visiteurs à la nécessité de conserver la biodiversité en particulier lors des journées du patrimoine. Pour agir encore plus pour la biodiversité, l'association a acquis le terrain adjacent ( 2 ha environ) et oeuvre pour réhabiliter l'étang qui était encore en eau il y a une centaine d'années.

Envie de vacances en plein air ? La Plaine Tonique vous accueille au cœur de l'Ain ! Profitez de son parc de loisirs aquatiques et des nombreuses activités proposées, sensations garanties !Partagez un moment de détente et de dépaysement en famille ou entre amis à La Plaine Tonique au cœur de l'Ain. Baignade dans le lac ou au centre aquatique Carré Tonique avec 3 piscines dont une chauffée avec toit amovible, 2 pataugeoires, 2 toboggans et une plate-forme de jeux d'eau ...faites votre choix ! Vous aimez le sport et les sensations? La Base de loisirs La Plaine Tonique est faite pour vous ! Parachute ascensionnel, surf électrique, bouée et banane tractées, canoë-kayak, ski nautique, bateaux électriques et à pédales, catamaran, mini-golf, tennis...il y en a pour tous les goûts. Pour poursuivre l'expérience, le camping**** de La Plaine Tonique vous propose un grand choix d'hébergements : mobil-homes, cottages, tipis et emplacements nus vous attendent pour un séjour en toute intimité. Un snack vous accueille sur place pour un moment de convivialité et de gourmandise.

Le centre aquatique Carré Tonique, situé au sein de la base de loisirs La Plaine Tonique à Malafretaz vous accueille pour un moment de détente en famille ou entre amisCarré Tonique possède une piscine couverte chauffée naturellement . Venez découvrir le bassin sportif de 25 x 10 m. Des créneaux horaires sont réservés pour les nageurs sportifs (4 couloirs de nage). Pour profiter des rayons du soleil, le toit amovible est découvert quand la météo le permet ! En été vous pouvez profiter d'une piscine ludique, de trois bassins pour les petits, de deux toboggans extérieurs et d'une plateforme de jeux d'eau pour le plaisir des petits et des plus grands !

Ses origines remontent aux XIIIe et XIVe siècles. Il tient son nom de son dernier propriétaire, le marquis Dutour de Salvert Bellenave. Le donjon fut rasé à la Révolution et le château en partie démoli. Il fut réaménagé au cours du XIXe siècle.Le rez-de-chaussée du château est aujourd’hui entretenu et utilisé pour des réunions, réceptions, expositions… Au premier étage, l’ancienne chapelle a été transformée en bibliothèque. Charles Dutour de Salvert (1811-1895) est officier de marine. Il entre à l'École navale en 1828 et devient enseigne de vaisseau. Son fils aîné, Étienne Marie Noé Dutour de Salvert (1845-1909), entre à l'École polytechnique en 1865 et il est reçu premier au Génie maritime. Il est ingénieur en chef de 1ère classe et directeur des constructions navales à Toulon (5e arrondissement maritime). Il est chevalier puis officier de la Légion d'Honneur, officier d'académie et officier de l'ordre royal du Cambodge. Il donne son nom au château d'Attignat dont il fut le propriétaire. Membre de plusieurs sociétés de bibliophilie et proche d'Octave Uzanne, son importante bibliothèque est vendue à Drouot en cinq parties entre 1909 et 1910. Son occupante la plus célèbre : la baronne Dutreuil ou la Dame d'Attignat (1718-1805). Formée de marchands tanneurs riomois, la famille est anoblie en 1710 par une charge de secrétaire du roi, en la personne de Claude Dutour (1674-1747).

L'église remonte pour partie au XIIe siècle (dépendance de Saint-Claude). Possède l'un des deux clochers tors de l'Ain (au premier tiers) : une rareté en France,

Dans le sud de la Bresse, plusieurs étangs subsistent, à l’instar de ceux de la Dombes toute proche. Parmi eux, l’étang Bizadan, une relique des temps anciens, plutôt originale.L’étang accueille sur ses berges des milieux marécageux qui regorgent d’eau... et de vie ! Couvert de plantes aquatiques et serti d’un écrin de forêt qui se teinte de belles couleurs à l’automne, Il offre des paysages de nature variés, à admirer au fil des saisons. "ENS" de l’Ain : Le marais de l'étang de Bizadan a été labellisé "ENS" par le Département de l'Ain en 2017. Véritables joyaux naturels et paysagers du Département de l'Ain, les sites bénéficiant du label ENS « Espaces naturels sensibles » sont gérés de manière à préserver la biodiversité qu’ils accueillent et aménagés pour l’ouverture au public (sauf exception due la fragilité des milieux).

Aujourd'hui cette motte est le reste du château de Jalamonde qui a été rasé en février 1794. La poype, cernée de sa douve sur lequel a été édifié le château est bien visible. Site visible de la route (propriété privée).A proximité, le hameau de Balvay (beau regard, belle vue...) explique peut être la présence de ce site. Une très ancienne voie passait également sur ces hauteurs en direction d'Etrez ou de Bourg en Bresse. Les "poypes" ou "mottes castrales" sont des buttes de terre souvent artificielles qui accueillent en leur sommet un habitat médiéval à fonction défensive. Longtemps négligées par les historiens au profit des châteaux de pierre, ces "châteaux de terre" ont été redécouverts et étudiés à partir du 19e siècle. Dans l'Ain, une densité importante de ces vestiges s'observe encore en Bresse et en Dombes. Le terme italien "incastellamento" est un terme que l'on peut traduire par « enchâtellement » et qui désigne, en particulier à l'époque médiévale, le phénomène de fortification des zones rurales par la construction de châteaux. Le véritable essor de la construction des châteaux a lieu dans le dernier quart du 10e siècle. L’édifice fortifié s’oriente vers une vocation plus individuelle que collective, destiné à abriter un seigneur et sa suite, un chef et ses guerriers, et la basse-cour continue de servir à l’occasion de refuge aux paysans des alentours. Le symbole caractéristique de cette nouvelle orientation est la motte castrale. Les mottes appartiennent à la grande famille des « châteaux de terre » du Moyen-Age, demeures ou résidences fortifiées symbolisant une puissance politique éclatée. Ces châteaux prennent des formes variées mais sont toujours caractérisés par l’aménagement du terrain : terrassements, déplacements de matériaux pour former des refuges, plates-formes et remparts souvent complétés par des fossés et des dispositifs défensifs en bois. Aujourd’hui, ces fortifications marquent encore nos paysages ruraux de manière très nette. Leurs traces sont lisibles dans la topographie, le découpage cadastral, les contrastes de végétation ou encore les indices toponymiques. La région Rhône-Alpes s’est révélée riche en sites fossoyés, qu’il s’agisse d’enceintes, de maisons fortes, ou de mottes castrales, majoritaires en Bresse et Dombes.