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Sentier du Maquis

Tombe Abel - Camp de Cize
Camp de Cize
Camp de Cize
Camp de Cize
Camp de Cize
Camp de Cize
Camp de Cize
Camp de Cize

Description

Circuit pédestre n° 89 d'une distance de 7,7 km
Temps : 2h30 - Dénivelé : 200 m - Balisage : Jaune

Suivre le n°80. Tout droit sur 2 km. A gauche, monter au Camp du Maquis. Le traverser et redescendre dans les parcelles de bois. Au chemin, à gauche jusqu’à la D 59b. Possibilité d’aller-retour vue sur le viaduc et la boucle de l’Ain. La remonter, (couper le virage), traverser la D 59b. A l’intersection à gauche, continuer à travers prés jusqu’au chemin. Prendre à droite jusqu’à la Croix Pierre Rejoindre la D.936.

Informations techniques

Marche
Difficulté
Non renseignée
Durée
2h30mn
Dist.
7.9 km
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Profil altimétrique

Point de départ

Départ de la salle des fêtes, place Charles Blétel , 01250   Corveissiat
Lat : 46.241602Lng : 5.480354

Points d'intérêt

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Barrage de Cize-Bolozon

La centrale hydro-électrique de Cize-Bolozon construite sur l'Ain entre 1928 et 1931, était prévu pour l'alimentation des usines du Creusot et de Decize, le surplus pour les compagnies qui fournissait Gueugnon, Bourges, Dijon, Lyon.À l'époque de la construction du barrage de Cize-Bolozon, les sociétés d'électricité avaient chacune leurs usines, leurs lignes électriques et leurs clients. La centrale hydro-électrique de Cize-Bolozon construite sur l'Ain entre 1928 et 1931 par la société "l'Energie Electrique Rhône-Jura" était prévu pour améliorer l'alimentation des usines métallurgiques du Creusot et des houillères de Decize, le surplus étant revendu à la "Compagnie Bourguignonne de Transport d'Energie" qui fournissait Gueugnon, Bourges, Dijon, Lyon et voulait renforcer ses débouchés vers la région parisienne. Cette usine était la plus importante de la vallée de l'Ain. Actuellement sa production, comme celle de la plupart des autres usines de la vallée s'en va sur le réseau régional 63 000 V. La construction du barrage à travers une rivière aussi capricieuse qu'était l'Ain à l'époque n'a été rendue possible que par la confection d'enceintes circulaires en palplanches. Les crues nombreuses et exceptionnellement violentes du printemps et de l'été 1930 ont à plusieurs reprises noyé le chantier, mais la pugnacité des hommes a vaincu les déchaînements de la nature. Avec ses superstructures, le barrage est typique des constructions de cette époque. Sa disposition était rendue nécessaire par le type de vannes plates de 60 tonnes roulant sur des trains de chenilles, appelées vannes "Stoney". La grue imposante, aujourd'hui déclassée, est utilisée pour mettre en place les batardeaux de béton stockés près du pont et que l'on place les uns sur les autres pour former une espèce de barrage voûte devant les vannes que l'on veut réparer et qui peuvent ainsi être mise "hors d'eau". Cette grue a aussi quelquefois servi à transborder des marchandises ou de petits bateaux de part et d'autre du barrage, puisque l'Ain était navigable à l'époque

Chalour 01250 Corveissiat
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Eglise de Saint Maurice d'Echazeaux

Ancienne église paroissiale du 14e (état actuel), au toit de laves, construite en pleine nature, au sommet d'une falaise (200m) : beau panorama sur Conflans et son château (13e), le confluent de l’Ain et la Valouse, la vallée de l'AIn et Thoirette.L’église de Saint Maurice est belle dans sa simplicité… Le parti architectural adopté est sobre : deux rectangles, un grand pour la nef et un plus petit pour le chœur. De solides contreforts viennent épauler la structure et le lourd toit en laves. On le voit, ce type de construction est « gourmand » en pierres, ce qui n’est pas un problème dans le Revermont. Ces pierres sont ce qu’on appelle des pierres de ramassage, non taillées. Seules les parties sensibles de l’édifice, angles, contreforts, encadrement des ouvertures, sont réalisées avec des pierres de taille. Un soin particulier est aussi apporté aux premières assises (les premiers rangs de pierres) avec des pierres mieux choisies pour la stabilité de l’ensemble. La nef (11,90 m sur 6,15 m) et le chœur (4,08m sur 5,37m) sont couverts d’une voûte en berceau brisé. Simple à réaliser, ce voûtement ne nécessite pas de colonnes, chapiteaux… De tradition romane, cette technique confère à l’église une grande sobriété et un archaïsme qui ont parfois autorisé des datations antérieures. Comme à l’extérieur, la construction reflète le contexte de sa création : elle ne requérait pas une grande qualification des ouvriers et exploitait au mieux les abondantes ressources en pierre calcaire. A l’origine, l’église Saint Maurice est une fondation monastique et comme telle, l’isolement présida à la recherche d’un site pour son édification. Sa fondation se situe entre 854 et 1084, elle appartient au monastère de Saint Oyend de Joux (Saint Claude, Jura). Très tôt, Saint Maurice devint siège de paroisse dont Chaléa (Jura) et Corveissiat dépendaient. Elle perdra ce statut de fait au cours du 17e siècle en raison de son éloignement, son mauvais état et l’augmentation de la population de Corveissiat. En 1743 est créé le diocèse de Saint-Claude qui réunit notamment des paroisses détachées du diocèse de Lyon dont celle de Saint Maurice. C’est en cette occasion qu’un état de fait fut légitimé : le siège paroissial fut transféré à Corveissiat et Saint Maurice devint son annexe. L’église de Saint Maurice d’Echazeaux reste un des seuls exemples d’églises revermontoises de cette transition vers un premier art gothique qui nous soit parvenu à peu près intact. Hormis l’amputation de son porche et de sa sacristie, elle n’a pas subi de transformations, aménagements ou adjonctions intérieurs ou extérieurs au cours des 19e et 20e siècles. Et, de surcroît, son implantation sur un site à la beauté remarquable est un modèle du genre. C’est pour ces raisons et concourir à sa restauration que l’Etat l’a classée au titre des Monuments Historiques en 1941. Panorama remarquable. (Prudence recommandée). Accès possible par voie carrossable ou par chemin balisé depuis Corveissiat (environ 1h - 1h20 de marche). A proximité : Château de Conflans (propriété privée) sur un mamelon au confluent de la rivière d’Ain et de la Valouze. Depuis l'église, chemin balisé jusqu'aux ruines du château de Montdidier. Visite commentée gratuite sur demande quelque soit le nombre de personnes.

Saint Maurice d'Echazeaux 01250 Corveissiat
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Fontaine-Noire, ENS de l'Ain

En rive droite de l'Ain, dans un méandre caractéristique, entre les villages de Corveissiat et de Bolozon, magnifique site en bordure de la rivière. Des eaux d'une couleur impréssionante en forte eau. Accès pedestre depuis le viaduc de Cize.Depuis le viaduc, longez la rivière d'Ain et ses cabanes de pêcheurs. A côté d'une petite cabane en pierre à deux pas de l'eau, on découvre ce petit ruisseau qui sort de la roche pour rejoindre l'Ain. La "fontaine Noire" fait partie de l'ENS Haute vallée de l'Ain labellisé "ENS" par le Département de l'Ain en 2019. Véritables joyaux naturels et paysagers du Département de l'Ain, les sites bénéficiant du label ENS « Espaces naturels sensibles » sont gérés de manière à préserver la biodiversité qu’ils accueillent et aménagés pour l’ouverture au public (sauf exception due la fragilité des milieux). Spéléologie : Lors d'une prospection des rives de l'Ain en 1976 la cavité est découverte par les spéléologues. Robert Durand et Jean-Louis Fantoli explorent 402m de conduits noyés jusqu'à une laminoir étroit. Le 05/06/1977, une opération interclub (Daniel Andrès, O.Bigot, Jean-Louis Fantoli et Pierre Licheron) permet de trouver la suite dans le siphon et de déboucher dans une galerie exondée terminée par une trémie. La cavité se compose principalement de deux parties, caractérisées par l'existence d'une branche siphonnante à l'aval du trajet souterrain et d'une partie semi-active à l'amont. La vasque d'entrée plonge à -3 jusqu'au départ de la galerie. Après un point bas à -7, le couloir noyé (2,5 x 5m de section), au plancher et au plafond étonnement plans et lisses, remonte au bout d'une cinquantaine de mètres dans une salle d'effondrement, exondée en partie à l'étiage. De gros blocs et dalles de rocher entravent le passage et d'épais dépôts argileux tapissent à cet endroit le sol et les parois. En amont, le conduit s'immerge totalement et plonge à -10m. Tout au long du parcours, des stalagmites et stalactites attestent d'une phase exondée de la cavité, et demeurent une des curiosités maîtresse de la Fontaine. A 170m de l'entrée, un puits de 2m de diamètre est taillé à l'emporte-pièce au beau milieu de la galerie, qui se prolonge par un laminoir de 30m de long. Le puits donne accès à -20 à une galerie basse reliée également au laminoir par une cheminée de 8m. Des lames d'érosions hérissent le conduit jusqu'à la cote 280m, dans une salle à -18. Deux options se présentent : - au fond de la salle, en hauteur, un laminoir à -10m exhale un courant perceptible. - A l'ouest, une haute diaclase recoupant perpendiculairement l'axe de la salle, débouche à l'air libre en s'y refermant. A mi-hauteur, à -5, une galerie se prolonge sur une cinquantaine de mètres jusqu'à l'air libre, à 350m de l'entrée. La galerie exondée s'oriente vers le nord durant 284m. Les eaux de trop-plein de la circulation sous-jacente y circulent. Elle se développe sur un joint de strate (4 x 1,5m), recoupée par de nombreuses fractures perpendiculaires. Un redan de 6m précède un lac baignant en son extrémité une trémie impénétrable. Température de l'eau : 10°C.

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Grotte et reculée de Corveissiat, ENS de l'Ain

LE SENTIER DE LA RECULÉE DE CORVEISSIAT EST FERMÉ TEMPORAIREMENT (Arrêté municipal en pièce jointe sur le site Internet). La circulation est interdite au public entre le chemin d'accès à la grotte jusqu'à la passerelle, jusqu'au 31 décembre 2025Cette reculée est l'un des sites les plus remarquables du Revermont avec ses imposantes falaises et sa grotte. Son porche mesure 30 mètres de hauteur. Points de vue remarquables. Visite guidée l'été. Mini circuit à faire en famille. La grotte et reculée de Corveissiat a été labellisé "ENS" par le Département de l'Ain en 2014. Véritables joyaux naturels et paysagers du Département de l'Ain, les sites bénéficiant du label ENS « Espaces naturels sensibles » sont gérés de manière à préserver la biodiversité qu’ils accueillent et aménagés pour l’ouverture au public (sauf exception due la fragilité des milieux). Les montagnes de l'Ain, globalement calcaires, sont fendues, fracturées, courbées, plissées de toutes parts. Au fil des siècles, les eaux de ruissellement se sont infiltrées dans la roche en grandissant lentement ces fissures qui peu à peu se structurent en un réseau souterrain de galeries et de cavités. Ces paysages sont l'une des caractéristiques majeures du patrimoine naturel de l'Ain. En surface, elles modèlent fissures, dolines, pertes et gouffres. Une faune particulièrement rare est associée à ce type de paysage (rapaces et oiseaux rupestres entre autres).

Garez-vous au niveau du pont, sur la D59, traversant le ruisseau de la Balme 01250 Corveissiat
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Viaduc de Cize-Bolozon

Très bel ouvrage du génie civil du XIXe siècle, ce pont ferroviaire et routier enjambe l'Ain et relie les communes de Bolozon et Corveissiat. Reconstruit après-guerre (1950), il est composé de onze arcades disposées sur deux niveaux et fait 273 m de long.En 1865, le Conseil général de l’Ain souhaite créer une ligne ferroviaire entre Bourg-en-Bresse et La Cluse. Pour passer l’Ain, le choix se porte sur la commune de Cize. Les travaux débutent en 1870 et requièrent un travail important au niveau des fondations nécessitant des fouilles au fond de la rivière. Les matériaux utilisés proviennent de l’environnement immédiat : gravier et sable de la rivière, pierres des carrières voisines de Bolozon, Grand-Corent et Corveissiat, ou encore chaux de Virieu-le-Grand et du Teil. La construction s’achève en 1875 pour atteindre une longueur totale de 269 m et une hauteur de 52 m. Elevé sur deux étages, il comprend dix-sept arches en plein cintre : onze supérieures pour le trafic ferroviaire et six inférieures pour le trafic routier. Le 6 juillet 1876 ouvre la section Simandre-Cize après l’achèvement du tunnel de Racouze et de l’ouverture de la gare de Cize-Blozon. Le pont est ouvert au trafic routier en 1905. La ligne des Carpates à voie unique est exploitée jusqu’en 1884 par la Compagnie des Dombes et des chemins de fer du sud-ouest, puis le PLM jusqu’en 1938 date à laquelle la SNCF nouvellement créée prend le relais. Aujourd’hui c’est le TGV « Bourg-Genève » qui emprunte le viaduc pour traverser la rivière. Le 12 juillet 1944, des résistants français lancent une action sur le viaduc destinée à couper les communications ferrées et ainsi ralentir la progression des allemands. Ils placent des charges explosives sous une voute de la voie routière et sous une autre de la voie ferrée. Les explosions sont uniquement censées endommager légèrement l’ouvrage mais elles se révèlent fatales et le détruisent quasi entièrement. Le viaduc ne comportant pas d’appuis à ses extrémités, son tablier est uniquement soutenu par les piliers. En à peine vingt minutes, ceux des voutes minées s’écroulent, déstabilisent la structure qui s'écroule complètement. La quantité impressionnante de gravats modifie même le cours d’eau de la rivière ! Le nouveau viaduc est reconstruit de manière quasi identique entre 1947 et 1950. Quelques modifications toutefois : la pierre est en grande partie remplacée par du béton, celle-ci étant réservée au revêtement. Les dimensions sont légèrement modifiées, en particulier au niveau de l’étage inférieur pour répondre à la demande de certains maires qui souhaitent élargir les ouvertures voutées du passage routier.

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Informations complémentaires

Mis à jour par

Bourg-en-Bresse Destinations - Office de tourisme - 10/10/2025
www.bourgenbressedestinations.fr
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Période d'ouverture

Toute l'année.

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Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾