Le long de la Roselle et à travers le Bois Badaraud, géré par l’ONF, suivez le sentier d’interprétation imaginé par les élèves de l’école primaire de Saint-Bonnet Briance.Du parking, descendre vers la Roselle.Emprunter la passerelle et tourner à gauche.Après la maison, continuer à gauche jusqu’au pont.Après le pont, tourner à gauche. Suivre le chemin le long de la Roselle.Retour au parking.
1.6 km
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max. 384 m
min. 359 m
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Géré par l’ONF, ce bois fut particulièrement endommagé lors de la tempête de 1999. En 2005, chênes, aulnes, châtaigniers, hêtres, charmes et bouleaux y furent replantés. On peut y apprécier une grande richesse floristique (iris du marais, balsamine des bois, lathrée clandestine…). Au sol, fougères, lierres, mûriers, aubépines constituent d’épais massifs et grâce aux zones marécageuses, ce bois constitue un habitat privilégié pour de nombreuses espèces faunistiques (poissons, amphibiens, mammifères aquatiques, espèces remarquables de chauve-souris…).
Elle prend sa source au lieu-dit Puyfraud et se jete 22 km plus loin dans la Briance. C’est une rivière abondante, parfois sujette à des crues. On y trouve truite, chabot et vairon, espèces très sensibles à la qualité du milieu aquatique à l’instar de la Loutre d’Europe, elle aussi habitante de ce cours d’eau et du Crossope aquatique, l’une des plus grosses espèces de musaraignes. On trouve enfin plusieurs espèces de crapauds, grenouilles, et autres salamandres, tritons, et couleuvres verte et jaune.
Comme un peu partout dans la région, le débit des rivières a longtemps été utilisé pour créer de l’énergie. Le moulin du Bois Badaraud produisait de la farine jusqu’au début du XXème siècle. Abandonné depuis longtemps il est désormais en ruines, et a subi d’importants dégâts lors de la tempête de 1999.
Plusieurs petits ponts surmontent le cours d’eau. Les passerelles sont en châtaigner, tandis que le pont plus ancien est un pont-planche, caractéristique de la région. Il est constitué de piles en pierres surmontant des « planches » en pierre monolithes. La pierre est par ailleurs omniprésente le long du cours d’eau, où l’on retrouve de nombreux blocs de gneiss.
Géré par l’ONF, ce bois fut particulièrement endommagé lors de la tempête de 1999. En 2005, chênes, aulnes, châtaigniers, hêtres, charmes et bouleaux y furent replantés. On peut y apprécier une grande richesse floristique (iris du marais, balsamine des bois, lathrée clandestine…). Au sol, fougères, lierres, mûriers, aubépines constituent d’épais massifs et grâce aux zones marécageuses, ce bois constitue un habitat privilégié pour de nombreuses espèces faunistiques (poissons, amphibiens, mammifères aquatiques, espèces remarquables de chauve-souris…).
Elle prend sa source au lieu-dit Puyfraud et se jete 22 km plus loin dans la Briance. C’est une rivière abondante, parfois sujette à des crues. On y trouve truite, chabot et vairon, espèces très sensibles à la qualité du milieu aquatique à l’instar de la Loutre d’Europe, elle aussi habitante de ce cours d’eau et du Crossope aquatique, l’une des plus grosses espèces de musaraignes. On trouve enfin plusieurs espèces de crapauds, grenouilles, et autres salamandres, tritons, et couleuvres verte et jaune.
Comme un peu partout dans la région, le débit des rivières a longtemps été utilisé pour créer de l’énergie. Le moulin du Bois Badaraud produisait de la farine jusqu’au début du XXème siècle. Abandonné depuis longtemps il est désormais en ruines, et a subi d’importants dégâts lors de la tempête de 1999.
Plusieurs petits ponts surmontent le cours d’eau. Les passerelles sont en châtaigner, tandis que le pont plus ancien est un pont-planche, caractéristique de la région. Il est constitué de piles en pierres surmontant des « planches » en pierre monolithes. La pierre est par ailleurs omniprésente le long du cours d’eau, où l’on retrouve de nombreux blocs de gneiss.
Parking sur la route 7 bis A1, route de Linards
N'oubliez pas : un petit ravitaillement, de l'eau, des chaussures adaptées, un vêtement de pluie. Pensez à emporter vos détritus, et à refermer les barrières derrière vous. Ne partez jamais sans avoir indiqué le lieu de votre randonnée. Respectez la faune et la flore. Ne pas faire de feu. Evitez toutes dégradations des chemins et de leurs abords.
A 30 min de Limoges. Prendre l’A20, sortie 39. Prendre la D15 en direction de Saint-Hilaire-Bonneval. Tourner à gauche sur la D7 bis vers Saint-Bonnet Briance. De Saint-Léonard de Noblat, suivre la D7 bis.
Un petit circuit tout en fraicheur entre bois et rivages, à la découverte des trésors naturels à portée de main.
Parking sur la route 7 bis, Lieu-dit Le Bois Badaraud
Parking sur la route 7 bis, Lieu-dit Le Bois Badaraud