80 km
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max. 444 m
min. 266 m
1167 m
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Public : Randonneurs aguerris |
14 Village 31420 Cazeneuve-Montaut
Dans le cimetière de Saint-Elix Séglan se trouve une tombe d'un soldat de la Garde Impériale napoléonienne Jean-Joseph Soubiran. Il est par la suite devenu maire de la commune. Cette tombe est gravée de deux inscriptions témoignant d'une part, de la profonde foi chrétienne qui habitait cet homme, et d'autre part, de sa ferveur bonapartiste. Il a donc notamment servi dans la garde impériale dans les dernières années du Premier Empire puis a reçu la Légion d'Honneur ; il est enfin devenu maire de Saint-Elix-Séglan.
L'église Notre Dame d'Aulon date du XIème siècle mais a été agrandie et aménagée tout au long du Moyen Age. Elle a été inscrite en 1926 aux Monuments historiques français.Elle dispose d'un clocher tout à fait particulier : clocher octogonal de type toulousain, il est situé au centre de l'église ce qui est assez rare dans les églises de France.Restaurée à partir du XVIIIème siècle, l'église a gardé son type roman d'époque.
Le Circaète Jean-le-Blanc est un grand rapace d’apparence blanche qui se perche sur les sommets des arbres, des rochers ou encore des pylônes électriques. Ces oiseaux sont des spécialistes du vol en stationnaire. Leur ventre est blanc, parsemé de taches ou de flammèches beiges ou marron chocolat. Leur tête, leur gorge et leur poitrine sont d’un brun plus ou moins foncé. Le circaète se retrouve sur le pourtour méditerranéen (Espagne, Turquie, France, Italie, Grèce), en Moyen-Orient, Asie centrale et Afrique, mais aussi dans les pays du nord et de l’est de l’Europe. En Europe, l’effectif serait de 4200 à 6000 couples. Les circaètes nichent sur des arbres : pins, sapins, chênes, hêtres, ... Ils chassent sur des zones ouvertes et riches en reptiles : terrains rocailleux, clairières forestières, garrigues et maquis, prairies, friches, jachères et cultures (vignes, vergers.),… Enfin ces rapaces font partie des espèces règlementées sur le territoire européen.
Le Milan Royal est un rapace que l’on retrouve très souvent dans le Comminges, près de forêts ouvertes ou de bouquets d'arbres avec des zones herbeuses et des terres cultivées proches. On le reconnaît grâce à son plumage brun-roux avec une tête blanchâtre. Ce rapace est souvent confondu avec la buse variable qui elle n’a pas la tête blanche et possède une queue plate alors que celle du milan a la forme d’une fourche. Il mesure en moyenne 60 à 65 cm pour 1,75 m d’envergure (d’un bout d’une aile à l’autre aile dépliée). Enfin, le Milan Royal a les iris ambrés, ce qui lui procure une vue excellente pour repérer ses proies, de près de huit fois supérieure à celle d’un humain.
Le Faucon Pèlerin est le plus rapide des rapaces pour capturer les oiseaux en vol. Il a réussi, au fil des générations, à être l’oiseau de haut vol par excellence. Il se rencontre dans les montagnes, les falaises côtières ou de l'intérieur, les villes, ainsi que dans la campagne cultivée et dans les forêts clairsemées. Il niche sur les falaises abruptes, à proximité de ses proies de prédilection : les pigeons. Il est remarqué parfois sur les églises dans les villes, où les pigeons sont légion. Il est présent principalement dans l'Est (de l'Alsace à la Méditerranée), dans le Massif central, dans les Pyrénées et en Corse. On peut le voir hiverner également sur les côtes atlantiques avec falaises. Autrefois répandu, le Faucon Pèlerin a connu une forte régression et a même été menacé de disparition. Cette raréfaction de l'espèce s'est expliquée en partie à cause des substances toxiques (comme les pesticides, etc...) qui se retrouvaient dans ses proies, ainsi que par les persécutions qu'elle a subies.
Cette chapelle, dédiée à celle qui fut la femme du roi Clotaire Ier et la patronne de la ville de Poitiers, est située au sommet du village et entourée par un cimetière faisait l'objet d'un pèlerinage jusqu'à récemment. En effet, une pierre censée représenter une empreinte du genou de la sainte était conservée dans la chapelle ce qui attirait les fidèles jusqu'à Latoue.Construite sur un site occupé depuis l'époque gallo-romaine, la chapelle a été dédiée à la sainte au XIIème siècle et possède, par exemple, encore des dallages d'origine gallo-romaine.
L'église Saint-Gilles de Cassagnabère-Tournas est une église datant de l'époque moderne, elle a été consacrée le 30 Août 1855.Bâtie en pierre de Séglan elle a été construite dans un style néo-classique et son apparence extérieure est semblable à celle d'un temple romain. A l'intérieur on peut cependant y trouver des vestiges de l'ancien sanctuaire dont elle a remplacé la fonction, mêlés à du bâti du XIXème siècle.
Elle fut construite dans les années 30 en pierre et en brique par le fondateur des pneus Michelin, Raymond Bergougnan, natif du village.
Chêne situé à Saint-André qui a été classé Arbre Remarquable depuis octobre 2015 ! Il a été daté d'environ 600 ans !
L’impressionnante église Saint-Germier date du XVIème et XVIIIème siècle. Son clocher pignon à 3 ouvertures campanaires et les visages sculptés dans le porche en font sa particularité. Du village, vous aurezune vue sur le Château d’Eoux (XVI ème siècle) et un magnifique panorama sur les Pyrénées.
De ce village, se dévoile également une vue remarquable sur les Pyrénées.L’église Notre-Dame-de-l’Assomption (X, XVI et XIXème siècle) est marquée d’une plaque.
A proximité du sentier, une piscine gallo-romaine (parement en marbre) a été découverte en 1957 et date du IIIème ou IVème siècle.Elle servait d’espace de détente et était chauffée à l’aide d’un hypocauste. Il est possible de la visiter en s’adressant au propriétaire des lieux.
Véritable point culminant du village d'Aurignac, le château Comtal s’élève à 404 mètres d'altitude et le sommet de son donjon offre une vue saisissante du pays de Comminges et de la chaîne de Pyrénées. Bâti dans les années 1230 par le comte de Comminges Bernard V, il deviendra la place forte de l'une des châtellenies du comté de Comminges jusqu'au XVème siècle.Au fil des siècles, le château va progressivement tomber en ruine et être plusieurs fois restauré ; il en reste aujourd'hui le donjon, les vestiges de la grande cour, la prison et les murs d'enceinte qui témoignent de son rôle passé.
Le village d’Aurignac fut une importante châtellenie au XIIIème siècle. C’est dans un but défensif que le village fut construit sur un promontoire rocheux avec ses lignes de remparts, ses tours (Horloge, Merci, Savoie) et le donjon que l’on peut apercevoir de très loin. Délimité par plusieurs enceintes, la première et plus vieille enceinte du village date des XIIème et XIIIème siècles. On y pénétrait par de grandes portes gardées, dont la porte de l’Horloge (près de l’église) en est un bel exemple encore visible.La seconde enceinte date des XVème et XVIème siècles et permet aux flâneurs d’admirer les magnifiques façades des hôtels particuliers Renaissance comme l’hôtel Carsalade ou Feraut Barège.
Musée d'Aurignac
Musée d'Aurignac
Bien entendu, ce parcours étant balisé, il est possible de débuter votre sortie à n'importe quel point du circuit : Aurignac, Latoue, Cassagnabère-Tournas, Alan...
Parking de la mairie