On peut remarquer sur cette stèle un oeil dans un triangle, symbole de la Franc-maçonnerie. Cet oeil est pointé vers l'église.On ignore la date de la constrution de ce monument mais on ne peut s'empecher de penser au conflit qui, à la fin du XIXème siècle (1893) opposa un maire d'Agassac Franc-maçon à un curé fanatiquement attaché à l'ordre moral de ce début de la IIIème république.
En passant devant la Mairie ne manquez pas la « pierre blanche », une stèle gallo-gomaine en marbre de Saint-Béat représentant la déesse Epona, déesse protectrice des cavaliers et voyageurs.Pièce majeure du patrimoine d’Agassac. Visible durant les heures d’ouverture (le Mardi et jeudi, de 14h à 17h et le samedi de 9h à 11h).
Avant de partir, prenez le temps d’admirer le panorama que vous offre la surélévation de la butte Médiévale datant du XIème siècle.
Au cours de votre balade arrêtez-vous quelques instants pour découvrir un ancien four à tuile, témoin du développement économique de village entre le XVIIème et le XIXème siècles.
Profitez de votre randonnée pour vous imprégner des paysages Agassacois.
C’est une espèce fréquente sur le territoire français. Son pelage alterne les teintes de gris, de blanc et de noir. La femelle s'appelle « blairelle ». Elle est aussi grande que le mâle, mesurant jusqu'à 70 cm. Il pèse entre 12 et 15 kg, mais peut atteindre les 20 kg à la fin de l'automne. La silhouette est massive, les pattes et la queue sont courtes, blanches au bout. La tête est assez petite mais le museau est relativement allongé. Il est essentiellement nocturne et crépusculaire sauf s’il est dérangé. Très prudent, il sort de son terrier avant la nuit entre mai et août, après s'être assuré, en restant longuement caché à l'entrée du terrier, qu'il n'y a pas de présence étrangère. Ses sorties sont moins régulières de novembre à février car en hiver, son activité diminue et il reste au plus profond du terrier. En été, les jeunes sortent en plein jour pour chercher à manger si les aliments sont rares.
Eglise
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coeur du village