AU PIED D'UNE CATHEDRALE DE CALCAIRE

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Ce paisible village cher à Cézanne, a une petite église à la façade de style classique, édifiée à partir de 1703 et dont le porche récemment restauré, a retrouvé tout son lustre. Un maître-autel en marbre, une chaire en bois sculpté, deux tableaux des XVIIe et XIXe siècles, et quelques ex-voto constituent l’essentiel du mobilier.

Cette modeste église du XVIIIe siècle recèle deux monumentales statuesclassées en bois doré provenant de l’église de l’Oratoire d’Aix.

Église en vieilles pierres, agrémentée d’une statue de la Vierge en façade et d’un clocher latéral surmonté d’un petit dôme ; son chevet est semicirculaire à pans coupés

Édifiée au-dessus d’une grande croix, d’où son nom, la chapelle fut foudroyée et brûlée en 1890. Restaurée par sa propriétaire et un groupe de bénévoles, cette belle chapelle de pierres est un lieu culturel et un lieu de rencontre qui accueille expositions, concerts, conférences...

L’église de Rousset fut construite par l’abbé Ferdinand Meissonnier en un temps record, à peine deux ans, parce qu’il sut mettre à contribution, toutes les forces vives du village : la plupart des Roussettains ont participé au chantier, souvent en tant que manoeuvres.

Cette chapelle parallélépipédique du XIIe siècle a un aspect des plus rustiques de par la nature très hétéroclite des matériaux utilisés : moellons et pierres brutes diverses, mais aussi marbres, briques et blocs de grès taillés.

Cette petite église de village (1738), en vieilles pierres, ne présage pas la richesse de son mobilier classé : clôture de communion, majestueux maîtreautel et retable, tableaux... Quelques mètres plus bas, petite chapelle du château (XIe ou XIIe siècle). Intérieur visible de l’extérieur à travers une grille.

Cette chapelle, consacrée en 1001, s’offre après une superbe promenade de 50 mn dans le massif de Sainte-Victoire ; elle est construite à l’endroit où l’ermite Servus s’était retiré au Ve siècle. Assassiné et les oreilles coupées, il est à l’origine d’une croyance : il guérirait les troubles de l’audition. Le lundi de Pentecôte, un pèlerinage lui rend grâce. Splendide panorama, aire de pique-nique devant la chapelle. S’informer des conditions d’accès ( 0811 20 13 13).

L’église paroissiale Saint-Pons, reconnaissable avec son beau campanile, a été édifiée entre 1869 et 1874, afin de remplacer la vieille église Sainte-Marie, située en haut du village et dont on peut toujours voir les beaux vestiges.

En prenant la route de Trets (D12), passez devant la chapelle Saint-Roch (XIIe siècle) avant d’atteindre au milieu des vignes, celle dédiée à Saint Pancrace, bâtie à l’endroit où il aurait laissé ses empreintes de pieds sur un bloc de pierre, au IIIe siècle : les enfants qui y apposent leurs pieds seraient assurés de « marcher droit ». Plusieurs ex-voto remercient son intervention. Une procession en mai perpétue cette très vieille tradition.

Élevée à l’emplacement d’un temple païen, l’église est bien antérieure au château. Les différentes époques de reconstruction (XIVe, XVIe et XVIIe siècles) sont visibles à l’extérieur, tandis que l’intérieur compte de nombreuses oeuvres remarquables : maître-autel et retable de Christophe Veyrier, élève et neveu de Pierre Puget, tableaux de J.-B. Van Loo et de Michel Serre, superbe cuve baptismale (XVIe siècle)...

Le chemin de Saint-Jean mène à Kirbon puis à ce prieuré fondé au Ve siècle,sur un ancien temple païen. Racheté aux enchères par les habitants à la Révolution, c’est un lieu très prisé, qui offre un point de vue exceptionnel sur les environs et permet de réaliser pique-niques, promenades et randonnées. Un pèlerinage est organisé le 1er mai.

Entouré de vignes, de quelques pins et des cyprès du cimetière voisin, cet édifice en parfait état, est un superbe exemple de chapelle romane provençale : vieilles pierres, abside en cul de four, robustes contreforts et clocher-arcade, en constituent l’archétype. Une procession, le premier dimanche d’août, remercie Saint Pierre d’avoir épargné les Peyniérens, lors de la terrible épidémie de peste de 1720.

L’église Saint-Julien, est nichée au coeur du village médiéval de Peynier, dans un petit labyrinthe de ruelles, plein de caractère. Le bas de sa tour, reconstruite au XIIe siècle, désormais surmontée d’un beau campanile, constituait à l’origine le choeur de l’église.

L’église monumentale de Fuveau, dévoile, derrière sa façade d’inspiration baroque, au fond du choeur, une partie du mur en vieilles pierres de l’ancienne église tandis que le vitrail n’est autre que l’ancien fenestron du Château, qui permettait aux seigneurs d’assister aux offices. À quelques pas, la petite chapelle Saint-Roch rappelle l’importance du saint protecteur dans cette Provence très exposée à la peste.

Cette chapelle romane serait à l’origine du village : dès le VIIIe siècle, le site était occupé par des moines de Saint-Victor. Aujourd’hui, elle expose ses vieilles pierres, dans une petite pinède.

Sous ses apparences des plus modestes, cette vénérable chapelle romane semble oubliée et ignorée des automobilistes qui passent sans même la remarquer, malgré sa longue histoire.

Cette petite église présente en façade au-dessus du monumental portail daté de 1689, une petite statue de Notre Dame de la Rose du XIe siècle, vestige de l’ancienne église et un oculus-vitrail représentant un lion, le symbole de Saint Marc.

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