
Cette jolie balade permet l’accès aux vestiges du château situé sur un éperon rocheux qui domine la vallée de la Drôme. De là, le panorama est exceptionnel sur les montagnes du Diois.
Fédération Française de la Randonnée Pédestre
1/ De la place de l’Eglise, s’engager au nord dans la rue du Raillet. Elle devient route puis piste. Continuer à travers les vignes et garder la même direction nord. Après 300m, la piste décrit plusieurs virages serrés pour franchir deux talwegs dans une végétation arbustive. 2/ A la fourche, se diriger à gauche au milieu des vignes. Le chemin continue vers le nord, rectiligne. Au banc, il oblique à gauche, passe des ruines et franchit le talweg du Barry. 3/ Au cairn, monter par le large chemin à gauche. Il s’élève en grands lacets dans la forêt et arrive près de la crête. 4/ Par le sentier à gauche sur 50m, couper le lacet du chemin par le versant sud avant de le rejoindre sur le versant nord-ouest. Le suivre à gauche et parvenir au bord de la falaise. Continuer jusqu’au croisement. 5/ Descendre par le sentier pour gagner le château (30 min aller-retour). Ces vestiges situés sur un promontoire rocheux offrent une vue plongeante sur la vallée de la Drôme. 6/ Revenir au croisement. Bifurquer à gauche pour descendre dans la combe. Le sentier rejoint la rive droite du vallon, puis dévale la pente en larges lacets. Rester sur ce sentier sans tenir compte des divers départs. 7/ A l’embranchement, ne pas descendre à droite, mais conserver le chemin principal. Continuer par la route entre les maisons. Poursuivre à gauche et retrouver le parking.
La maison du Gap
Les multiples rangées de génoises, la présence d’un pigeonnier, les armoiries peintes au-dessus du portail d’entrée confirment l’appartenance de cet ensemble de bâtiments à une famille noble, les De Neyrol, au début du XVIIe siècle. C’est probablement au cours de ce siècle que les lieux deviennent une bégude (une auberge). Vers 1750, l’aubergiste Simon Lombard ajoute à son activité celle de fabricant de céramique : des carreaux de poêle en terre vernissée, puis en faïence. Ceux que l’on peut encore voir, en réemploi sous la toiture, témoignent de ce passé. Les archives attestent de la fabrication de vaisselle de table et le musée de Die conserve dans ses collections deux petits réservoirs de lampes à huile en faïence.
Office de tourisme Coeur de Drôme – Pays de Crest et de Saillans
04 75 25 11 38
valleedeladrome-tourisme.com