Au dehors de l’enceinte templière de La Couvertoirade, une expédition des plus agréables sur la frange sud du Larzac aveyronnais, dans un paysage aride que constellent les buis et les genévriersDepuis le parking, rejoindre la porte Nord (possibilité de visiter l'intérieur de l'enceinte du site templier de La Couvertoirade). Puis suivre à gauche sur 200 m la petite route jusqu’à une croix. Obliquer à gauche et au carrefour, prendre en face la D185 sur 800m.Bifurquer à droite sur un chemin de terre.Avant une intersection de pistes, obliquer à gauche sur un ancien chemin qui rejoint une piste en terre. Tourner à gauche et rejoindre la petite route de la Salvetat à hauteur d’un virage. Bifurquer à gauche et descendre vers le passage souterrain. Passer sous l’autoroute et remonter à gauche par l’ancienne voie romaine vers un bosquet.Tourner à gauche, descendre vers la clôture de l’autoroute, la suivre à gauche, emprunter le passage souterrain, couper la D185 et prendre en face un chemin bordé de murets et de buis qui ramène à La Couvertoirade.Recommandations : Balisage de 1 à 3 : Blanc - Rouge ; de 3 à 4 : Jaune; de 4 à 1 : Blanc - Rouge - Prévoir de l'eau.
10 km
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max. 802 m
min. 754 m
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Cette maison de la fin du XVe siècle présente une superbe fenêtre à meneau et une tourelle, rajoutée au XVIIe siècle, qui laissent deviner la richesse des propriétaires. Cette maison, qui doit son nom à l’une de ses propriétaires (la veuve de Monsieur Scipion Sabde, surnommée la Scipione), abrite aujourd’hui le Point accueil du village. A l’intérieur, une superbe salle voûtée servait de bergerie. Les étages de la maison se visitent, et l’escalier à vis qui y mène donne également accès au chemin de ronde.Source : Point Accueil de La Couvertoirade
Ce four doit son nom à l’impôt que l’on devait payer pour pouvoir l’utiliser : la banalité. Construit au XVe siècle par les hospitaliers et restauré dans les années 2000. Il est aujourd’hui en état de marche et des fournées y sont régulièrement faites par le boulanger du village.Source : Point Accueil de La Couvertoirade
La Cardabelle ou Carline à feuilles d’acanthe (Carlina acanthifolia) est un vrai « soleil » en été ! Dépourvu de tige, mais muni de grandes feuilles très piquantes, ce « chardon » présente un capitule (ensemble de multiples petites fleurs) jaune vif. C’est l’emblème des pelouses caussenardes !Texte : PNR des Grands Causses
Si les causses sont connus pour leurs vastes étendues de végétation rase, il ne faut pas croire que la forêt est absente. C’est uniquement l’action de l’homme qui limite sa progression.Le Pin sylvestre (Pinus sylvestris) est le conifère naturel du causse. Son écorce orangée et ses petits cônes l’identifient facilement. Il pousse dans des conditions parfois extrêmes de pente ou de climat (crête ventée, rochers en falaise…). Il ne faut pas le confondre avec le Pin noir (Pinus nigra) qui a été largement planté sur les causses et qui a des grandes facultés d’adaptation aux sols maigres.Texte : PNR des Grands Causses
La Couvertoirade conserve l'intégralité de ses remparts, édifiés au milieu du XVe siècle. Dès 1346, des "routiers" pillent le Larzac. C'est par crainte de ces bandes armées que les villageois demandent en 1439 l'autorisation de fortifier le village. La construction se poursuit jusqu'en 1445, sous la direction du maître maçon Déodat d'Alaus.Cette muraille, de 420m de long et d'1.30m d'épaisseur, est percée par des archères-canonnières et est surmontée d'un chemin de ronde.Sources : Point Accueil Tourisme La Couvertoirade
Cette maison de la fin du XVe siècle présente une superbe fenêtre à meneau et une tourelle, rajoutée au XVIIe siècle, qui laissent deviner la richesse des propriétaires. Cette maison, qui doit son nom à l’une de ses propriétaires (la veuve de Monsieur Scipion Sabde, surnommée la Scipione), abrite aujourd’hui le Point accueil du village. A l’intérieur, une superbe salle voûtée servait de bergerie. Les étages de la maison se visitent, et l’escalier à vis qui y mène donne également accès au chemin de ronde.Source : Point Accueil de La Couvertoirade
Ce four doit son nom à l’impôt que l’on devait payer pour pouvoir l’utiliser : la banalité. Construit au XVe siècle par les hospitaliers et restauré dans les années 2000. Il est aujourd’hui en état de marche et des fournées y sont régulièrement faites par le boulanger du village.Source : Point Accueil de La Couvertoirade
La Cardabelle ou Carline à feuilles d’acanthe (Carlina acanthifolia) est un vrai « soleil » en été ! Dépourvu de tige, mais muni de grandes feuilles très piquantes, ce « chardon » présente un capitule (ensemble de multiples petites fleurs) jaune vif. C’est l’emblème des pelouses caussenardes !Texte : PNR des Grands Causses
Si les causses sont connus pour leurs vastes étendues de végétation rase, il ne faut pas croire que la forêt est absente. C’est uniquement l’action de l’homme qui limite sa progression.Le Pin sylvestre (Pinus sylvestris) est le conifère naturel du causse. Son écorce orangée et ses petits cônes l’identifient facilement. Il pousse dans des conditions parfois extrêmes de pente ou de climat (crête ventée, rochers en falaise…). Il ne faut pas le confondre avec le Pin noir (Pinus nigra) qui a été largement planté sur les causses et qui a des grandes facultés d’adaptation aux sols maigres.Texte : PNR des Grands Causses
Se déplacer en bus ou en train, en covoiturage Aires de covoiturage, en autostop Rezopouce.
Cet itinéraire est situé dans la zone cœur du Bien Causses et Cévennes, paysage culturel de l'agropastoralisme méditerranéen.
Parking à l'entrée du village (payant: 4€).
La Couvertoirade, à 42 km au sud-est de Millau par la D809 (ou par l'A75) et la D185
La Couvertoirade
La Couvertoirade, perle templière, vous suggère une découverte du causse du Larzac environnant, au gré de buissières, de chaos rocheux et de vastes étendues. Balade dans un paysage de rêve dont, au début de la saison d’été, les cheveux d’ange - superbes épis soyeux - et le parfum des chèvrefeuilles augmentent un peu plus le charme indicible
La Couvertoirade