Marclopt - Sentier du Papillon

Petite boucle familiale à travers champs et sur les bords de Loire. Admirez, au point
de départ de la balade, le sarcophage gallo-romain datant du 2ème siècle.

DEPART: place de l’église.(A)

- Face à l’église, se diriger à droite rue du 19 mars 1962 puis tourner à gauche
rue Charles De Gaulle. Passer devant les jeux pour enfants puis devant la mairie.

- Après les terrains de sport, WC tourner à gauche rue Georges Pompidou
puis poursuivre sur le chemin carrossable. Bifurquer à gauche sur la route.

- Au carrefour, prendre à droite Route de Saint-Laurent puis à gauche en direction
des Chavrins / Le Pallot. Continuer au lieu-dit "Le Pallot" et poursuivre sur le chemin en terre qui mène à la Loire.

- Abandonner le bord de Loire et tourner à gauche sur la route.

- Arriver sur la route principale (rue du 19 mars 1962), tourner à droite pour
rejoindre la place de l’église.(B)

(A) L’église : L’histoire de l’église de Marclopt se confond, en partie avec celle du château, puisque à l’origine elle était incluse dans l’enceinte du château. Elle avait alors un clocher-mur que l’on distingue au-dessus des habitations, à l’intérieur des remparts.

(B) Le château : Il se trouvait à l’emplacement de l’actuel Maison-forte et aurait existé dès la seconde moitié du XIIème siècle. Il eut de multiples propriétaires, notamment Guigonne de Forez ou encore Pierre, duc de Bourbon, et Anne de France, fille de Louis XI et dont les armoiries, Bourbon-France et Bourbon-Forez, figurent très abimées sur la face Ouest du clocher de l’église. Le château fût sans doute détruit durant la guerre de Cent ans.
La Maison-forte : Le portail du XVème siècle de l’ancienne Maison-forte subsiste. Elle remplaça l’ancien château lorsqu’il fût détruit. Dès lors, les seigneurs de lieu se titreront, indistinctement, de la Maison-forte ou de Marclopt.
Le sarcophage : Ce sarcophage gallo-romain date du 2ème siècle, long de 2,80m avec une épitaphe gravée sur la cuve cassée dont une partie a disparu avant sa reconstitution en 1972. Une des traductions de l’épitaphe serait : "Aux dieux et mânes et à la mémoire de… mort à l’âge de vingt et un ans dix mois et onze jours, après avoir rempli chez les siens tous les offices civils, Titius Audax son père a fait ériger ce monument, et l’a dédié sous la hache"

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