12 km
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max. 121 m
min. 39 m
158 m
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Suivre le quai de la Gourdine puis tourner à droite rue du Canada, puis rue du Chariot d’or et à droite chemin des Etoisies.
Au premier tournant, ne pas manquer le petit chemin montant à droite. Emprunter le chemin tout du long jusqu’à la D934. Prendre Chemin du pont Jeanne, tourner à droite.
Retrouver la route bitumée chemin de Bergame, puis continuer tout droit sur un chemin en terre. Contourner l’étang sur la droite, continuer tout droit jusqu’au parc des Frênes.
Après le parc, traverser la D934, première gauche rue Laguesse puis descendre tout droit.
Une fois l’avenue de la Fontaine descendue, longer le champ et tourner à gauche juste après le stade. Prendre le chemin de halage.
Ces deux parcs contemporains sont rassemblés en un parc unique de plus de 30 hectares. Le tout petit ru du Bicheret y prend sa source et reçoit, plus loin, des eaux de ruissellement de la ville dans un bassin central.Cet espace abrite également des arbres remarquables : chênes, platanes et saules.
La légende veut que Jeanne d'Arc ait emprunté ce pont lors de ses trois passages à Lagny-sur-Marne entre 1429 et 1430. Datant de l'époque médiévale, il franchit le ru du Bicheret, petit affluent de la Marne.
C’est à partir de l’ancien pont de l’aqueduc de la Dhuys, bombardé en 1939, que Jacques Servières réalise, depuis 1987, un parc d’une quarantaine d’imposantes sculptures en pierre sur les bords de la Marne à Chessy.Le jardin de sculptures de la Dhuys ou Dhuis prend son nom de la rivière, anciennement acheminée en cet emplacement par un aqueduc, jusqu'au réservoir de Ménilmontant à Paris. La quarantaine de statues est réalisée à partir des pierres du pont aqueduc détruit. Elles sont réparties entre une clairière et un chemin : Le sculpteur Jacques Servières s'est inspiré pour le départ de son oeuvre du site cambodgien d'Angkor... Cet espace est accessible librement. Les statues sont monumentales, certaines hautes de près de 4 mètres. Elles représentent des personnages humains, essentiellement féminins, ou des animaux, mythiques ou réels. Chaque sculpture porte l'initiale du sculpteur, ainsi que sa date de réalisation. En 2016, Jacques Servières a donné une longue interview audiovisuelle, dans le cadre d'une série thématique sur les représentations autour de l'art, en collaboration avec le collectif l'Humain visible. Le lien vers cette vidéo se trouve ci-dessous.