Partiendo de las cuevas de Sare (que bien merecen una visita), el ascenso a esta orgullosa cumbre ofrece un inmenso panorama. El ascenso por la vertiente francesa, que puede ser bastante empinado, pronto nos acerca a la cresta de la cumbre, que seguimos para llegar a la cima de Atxuria. La ruta continúa frente al pueblo de Zugarramurdi, el pueblo de las brujas, antes de descender por la vertiente española. Una travesía salvaje precede a un descenso más directo hacia el lado francés, pasando al pie de acantilados formados por innumerables laderas de color marrón rojizo: salientes, sirven de refugio y nido a las colonias de buitres leonados que sobrevuelan este idílico paisaje pastoril. Al acercarse al bosque, las hayas centenarias y la refrescante compañía de los arroyos dan a este apacible valle un aire encantador.
A côté du parking (180 m), passer la barrière métallique et monter de suite à droite sur un sentier fait d’escaliers en rondins de bois. À l’orée de la forêt, au niveau d’une intersection (barrière en bois + captage d’eau à gauche), prendre le sentier vers la droite. Il débouche rapidement sur une piste : repérer cette intersection afin de ne pas la manquer au retour. Pour l’heure, monter la piste vers la gauche ; un peu plus loin, laisser une piste à droite puis atteindre un carrefour avec une barrière à droite (330 m), d’où viendra le chemin du retour.
Au carrefour de pistes avec une barrière à droite (330 m), prendre celle de gauche. En croisant une autre piste, la remonter vers la droite. Laisser ensuite un chemin qui descend à droite et continuer à monter à gauche. En arrivant au bord d’une plantation de conifères, la piste décrit un virage à droite, puis à gauche. Environ 120 m après, quitter la piste et monter à droite sur une chemin secondaire, herbeux. Il décrit quelques virages puis s’estompe. Veiller à monter en diagonale vers la gauche en se rapprochant progressivement de la crête, tout en restant 10 à 20 m en contrebas. Gagner le sommet de l’Atxuria (gros cairn).
Dépasser le sommet (759 m), s’éloigner de la crête en descendant de quelques mètres en contrebas vers la gauche. Après 90 m de dénivelé du sommet, le sentier arrive à un col sur la crête (vestige de mur au sol et cairn) : descendre plein sud (à droite) sans difficulté. Au bout de 30 m, partir en traversée sur le sentier à droite. Au bosquet d’aubépines, monter légèrement à droite puis, après un léger plat, descendre vers la droite en longeant les falaises du sommet. Passer devant une première bergerie. Continuer sur une piste jusqu’à une intersection près d’une bergerie-bar (Loretxoa) située à droite dans un enclos.
Quitter la piste (455 m) et filer sur un chemin à gauche (chênes). Il débouche sur un autre chemin : partir à droite. Traverser un lit de ruisseau, suivre la piste vers la droite, retraverser le ruisseau, puis 15 m après, quitter la piste pour un sentier à gauche qui longe la rivière. Environ 800 m plus loin, le sentier débouche sur un chemin herbeux avec une bifurcation. Remonter à droite, puis à nouveau à droite au replat situé 15 m avant un enclos. Aux pierres levées devant la bergerie, partir à gauche vers un chêne isolé ; passer une première barrière puis, descendre à gauche après la deuxième. Rentrer au parking en suivant donc à contresens le parcours de l’aller.
Au cours de votre ascension, vous apercevrez peut-être quelques chèvres et boucs à demi-sauvages, qui parcourent la montagne. L’animal tient une place importante dans la mythologie basque, et en particulier les lieux qu’il fréquente : Akelarre, « la lande du bouc », est le lieu où les sorcières célébraient leurs rites. Elles y vénéraient Akerbeltz, « le bouc noir », associé au culte de Satan, afin d’obtenir pouvoir et richesse.
Depuis le sommet, on distingue clairement au nord-est et au pied de la montagne, le village de Zugarramurdi. À l’instar de Sare, le village est aussi connu pour ses grottes. Elles étaient jadis le lieu de rites païens insolites, avec des ripailles extraordinaires et des danses sans fin autour du feu. C’était aussi, dit-on, le lieu de retrouvailles des sorcières.
Le vautour fauve, que l’on identifie clairement grâce à son plumage de couleur fauve, sa queue courte plutôt carrée et sa collerette blanche, est un des plus grands rapaces d’Europe : jusqu’à 2,8 mètres d’envergure ! Nécrophage, véritable équarrisseur des montagnes, il nettoie les versants des bêtes mortes et limite la propagation des microbes.
Amarillo
Trait - Balisage directionnel sur supports locaux
Bucle
Histórico
Natural
De 3 a 4 horas
Power Point (supermercado, restaurantes)