En famille ou entre amis, à pied, à vélo ou à cheval (exepté pour la variante), parcourez le sentier de randonnée balisée du Circuit des Lavoirs de Saint-Rémy-la-Varenne, à la découverte du paysage ligérien, entre Loire et Aubance. Sur votre parcours, observez le Prieuré de Saint-Rémy-la-Varenne et son église, le Moulin de Bourgdion, les menhirs ainsi que les lavoirs jalonnant le paysage.
Depuis le point de départ sur la Place de l'Église, suivez le balisage correspondant à "La Boucle de la Loire" (jaune) jusqu'au panneau directionnel, afin d'arriver au point de départ du parcours.
Le balisage de ce circuit est de couleur bleue. Le circuit est balisé dans les deux sens.
Monument Historique classé, fondé en 929, l'ancien Prieuré Bénédictin a été l'un des plus riches d'Anjou. Il se distingue par une salle capitulaire et sa cheminée sculptée polychromée, restaurée.
Son origine remonte au XIème siècle. Elle a été la chapelle du Prieuré avant de devenir l'église paroissiale. Elle est inscrite dans le réseau "Eglises Accueillantes en Anjou" (dépliant disponible sur place).
(Demeure privée) : construit vers 1840, il est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques. Ce moulin à pivot sur cavier est complet. Le logement du meunier lui est accolé.
De forme inhabituelle en U, avec un bassin en arc de cercle, ce lavoir a été construit en 1861. Il est alimenté par une source au débit important.
Situé non loin de la source du ruisseau Saint-Aubin, il est à cheval sur 2 communes. En amont, de l'autre côté de la route, on peut remarquer un point d'abreuvoir pour les animaux. Le débit important de la source permettait de retrouver rapidement la pureté de l'eau dans le lavoir.
Entouré d'un chaos de roches de grès, ce dolmen est le plus grand d'Anjou après Bagneux avec une dalle avoisinant les 70 tonnes, aujourd'hui fendue en 4 morceaux. Le site a servi de carrières de grès pour faire des pavés et des rouleaux de pierre.
Il possède deux entrées distinctes. La fontaine, autrefois abondante, située dans l'enceinte, devait servir aux habitants.
Datant du XIXe siècle, son nom est d'origine gauloise : Bois de Cé, "pièce d'eau". Son style est inspiré du XVIIe siècle.