En empruntant ce sentier, vous allez découvrir les paysages typiques qui entourent Ansac-sur-Vienne. À Ansac-sur-Vienne, les paysages sont formés par les bocages et les vallées. Par ailleurs, vous traverserez plusieurs bois qui sont essentiellement constitués de feuillus (chênes).
By taking this path, you will discover the typical landscapes that surround Ansac-sur-Vienne. In Ansac-sur-Vienne, the landscapes are made up of wooded countryside and valleys. Moreover, you will cross several woods which are essentially made up of deciduous trees (oaks).
Ce pont a été construit entre 1880 et 1887, période de construction de la voie ferrée reliant Roumazières à Confolens. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce pont a été construit entre 1880 et 1887, période de construction de la voie ferrée reliant Roumazières à Confolens. Historique de la ligne ferroviaire : La voie Roumazières - Confolens - Le Vigeant a connu une longue histoire entre 1856, date du vœu de sa construction par le conseil général, et sa première concession en 1872, son tracé étant arrêté définitivement en 1879. L'essentiel des travaux est achevé en 1883, mais l'inauguration de cette voie n'a lieu que le 31 juillet 1887 pour la section Roumazières-Confolens et 1901 pour Confolens-Le Vigeant, section pour laquelle les travaux n´ont débuté qu´en 1895. En 1901, il y avait quotidiennement trois trains de voyageurs dans chaque sens, mais seulement deux en 1914. Les années suivantes, le nombre de voyageurs chute et, en 1938, le Conseil général décide la fermeture du trafic voyageurs. La ligne est progressivement déclassée : d´Availles-Limousine au Vigeant (Vienne) en 1970, puis la section sud jusqu´à Confolens en 1979, la ligne étant utilisée jusqu´en 1978 pour le transport des pierres de la carrière de Négrat vers Confolens. Aujourd'hui, la ligne ferroviaire est utilisée par le vélo-rail. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine.
Le puits à balancier est figuré sur le cadastre de 1826, avec un simple point sur l'exemplaire communal et surmonté d'un symbole tréflé sur l'exemplaire conservé aux archives départementales. La matrice de cet ancien cadastre précise qu'il appartient au " village de Montvallier ". Il s'agit donc d'un puits collectif. Le puits à balancier ou à bascule d'Ansac-sur-Vienne est le seul qui subsiste en Charente avec celui de Pers, commune de Pressignac. Il a une ouverture ovale (dimensions intérieures : 3,20 m et 2,75 m) et sa profondeur est de 5 m jusqu'à la margelle. Situé dans le hameau de Montvallier, dont les habitants ont droit de puisage, il fut restauré en 1995. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Ce manoir apparaît sur le cadastre de 1826 (les Prats sur l'exemplaire communal, les Pras sur l'exemplaire des archives départementales) mais a été très remanié. Sur le cadastre ancien, de nombreux bâtiments qui appartenaient auparavant à cet ensemble complexe sont répartis autour d´une cour plus fermée qu´aujourd´hui suite à la disparition au nord-ouest et au sud-ouest. Le profil des bâtiments à l´ouest de l´ensemble est déjà très différent sur un plan dressé en 1880 à l'occasion de la modification du chemin vicinal n° 3 d'Ansac à Roumazières et sur le cadastre de 1972. L'ensemble des bâtiments alignés à l'est, le long de la route, n´a en revanche pas beaucoup changé par rapport à 1826, à l'exception d'un petit corps ajouté à l'extrémité nord. La date de 1624 (?), difficilement lisible sur un blason situé au-dessus de la porte de la grange septentrionale, est compatible avec l´architecture des deux granges. Les logements situés dans le corps de bâtiment oriental semblent eux plus récents (XVIIIe siècle ?) et ont certainement fait suite au logis du manoir primitif. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
L'origine de cette fontaine est inconnue. Elle ne semble pas avoir été aménagée au XXe siècle. Cette fontaine se trouve dans le hameau du Vieux-Fougerat. Elle est constituée de pierres irrégulières. Elle est couverte d'une grande dalle monolithe. Elle alimente une petite mare, puis un ruisseau se jetant dans la Vienne. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
Le four ne figure pas sur le plan cadastral de 1824. Il pourrait dater de la deuxième moitié du XIXe siècle. Le four, précédé d'un fournil, est couvert d'un toit en tuiles creuses. L'entrée du four et la cheminée sont en briques. Il menace ruine. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine
L'origine de la fontaine est inconnue. Cette fontaine est située au bord du chemin menant du hameau du Jeune-Fougerat à la Vienne. Elle est envahie par la végétation. Elle alimente un petit bassin. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine